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La Vérité n’est plus dans les discours des politiques, des médias et même des médecins

 

La Vérité n’est plus dans les discours des politiques, des médias et même des médecins

L’actualité est essentiellement centrée sur la pandémie depuis 18 mois et les discours politiques montrent un amateurisme affligeant et une volonté délibérée de propagande largement relayée par les médias mainstream. Les querelles entre médecins et scientifiques mises sur la place publique et le choix d’une doxa balayant toute contestation laissent la plupart de nos concitoyens dans une expectative ou une docilité moutonnière inquiétante. Si les politiques et les journalistes non indépendants ont depuis longtemps manié le mensonge, il est très dommageable pour la science qu’elle vienne de perdre aussi son aura. Le débat sicientifique dans une équipe soudée sur un consensus ou entre équipes dans des joutes scientifiques parfois dures est la base même des grandes avancées de la science. Mais elles doivent rester dans leur contexte de spécialistes dans des publications plus ou moins ouvertes à la vulgarisation. Elles ne gagnent que la déconsidération à s’exposer publiquement. La récupération par les politiques, les journalistes des grands médias, et des scientifiques non spécialistes, ne jette que la confusion, le doute et la peur mauvaise conseillère dans les esprits.

Les non spécialistes qui n’ont pas fait des études personnelles et générales sur la pandémie feraient mieux de se taire. Leur vue est parcellaire voire orientée pour certains d’entre eux qui ont des liens avec les grands laboratoires ou des autorités sanitaires ayant barre sur eux. Habitué à utiliser l’outil statistique sur de grandes bases de données en particulier médicales, mes articles précédents sont tous basés sur une vue mondiale ou multinationale. Ayant présenté des études sérieuses mais fastidieuses à lire ou compliquées pour certains, cet article et les suivants vont essayer de présenter des graphiques assez probants à l’appui des conclusions déjà publiées.

La doxa initiale sur la vaccination a déjà évolué et admet, sans le dire haut et fort, que la vaccination est moins performante que prévu, que la protection contre une nouvelle attaque du virus est possible, que la vaccination génère des effets secondaires non bénins en nombre non négligeable mais que la gravité de ceux-ci est atténuée par rapport à ceux subis par les non-vaccinés. Elle admet même que certains vaccinés peuvent être contagieux et asymptomatiques. Ces messages sont volontairement parcellaires, émis par différentes sources officielles et volontairement brouillés. Ils n'ont donc finalement que peu d’impact sur la majorité de nos concitoyens. La protection du vaccin contre l’attaque virale et l’affaiblissement des effets secondaires ne peut pas en effet être prouvée simplement puisqu’il ne s’agit pas seulement d’un combat entre la nocivité du virus et le vaccin, mais tout d’abord entre le virus et notre défense immunitaire. Le distinguo entre nos défenses naturelles innées ou acquises et la nocivité plus ou moins grande du virus demande une grande prudence d’interprétation, balayée par la propagande gouvernementale et mondiale.

C’est pourquoi mes articles précédents sont sortis du cadre étroit de la seule France. Je me permets donc après des études multinationales, de présenter des constats particulièrement révélateurs de la fragilité des informations propagées par le gouvernement, les médias et certains spécialistes sur l’efficacité des vaccins les plus utilisés dans le monde. Sans contestation audible ou organisée elles ont amenées des certitudes dans l’esprit de nos concitoyens alors qu’elles sont particulièrement fragiles au regard des observations sur les situations sanitaires très différentes d’un pays à l’autre et d’un continent à l’autre. Or si la vaccination est efficace elle doit se voir partout. Les pays les plus vaccinés doivent être tous ceux ayant le moins grand nombre de décès et même de cas. Mais qui dit pandémie dit épidémie mondiale et c’est donc sur l’ensemble de notre planète que doit porter notre regard avant de s’intéresser à ce qui se passe en Europe, en France, en Bretagne, ou à Morlaix. Sinon notre vue risque de devenir microscopique et ne donner aucune indication sur l’importance de la propagtion, de la nocivité de ce virus et l’efficacité de la vaccination. Alors jetons notre regard sur le monde entier et sur toute l’échelle de temps de la propagation. La lecture du graphique ci-dessous montre ceci sur l’évolution mondiale des décès/habitants depuis l’origine de la pandémie :

 

L’évolution de la pandémie n’est pas jugulée par la vaccination !


La première attaque du virus s’est déclenchée fin janvier 2020 pour se terminer le 31 mai 2020. Il n’était question alors que de gestes barrières, de confinement et de couvre-feu. J’ai montré dans un article précédent que vu les résultats très contrastés obtenus dans les pays du monde, l’efficacité de ces mesures est loin d’être prouvée.

Cette attaque a été suivie par une période où le virus s’est répandu sur le monde entier jusqu’au 16/10/20 avec une décroissance des décès autour du niveau moyen grippal de 0,7 décès/jour/million d’habitants lissés sur une semaine (Djmh*) soit 17 000 décès par an en France.

La seconde attaque a duré du 16/10/2020 avec un Djmh à 0,673 au 12/03/21, avec un pic de Djmh à 1,854 Djmh le 28/01/21 soit 1 mois environ après le début de la vaccination dans un grand nombre de pays du monde. Lors du pic, la vaccination n’avait atteint que 0,66% de population pour 1 dose. L’arrêt de la progression des décès et la baisse qui a suivi ne doit donc rien à la vaccination dont on parlait alors d’atteindre  au moins 50% pour noter un début d’efficacité. Mais le plus intéressant c’est la baisse plus spectaculaire que la montée des décès jusqu’au 28/03/21 alors qu’à cette date finale la vaccination n’avait encore été faite que sur 7,2% pour 1 dose et 1% pour 2 doses. La participation de la vaccination à la baisse des décès ne peut donc qu’être marginale si même elle a été efficace. D’ailleurs sans vaccination notable le nombre de décès avait baissé de 39% le 12/03/21 par rapport à l’écart entre ceux du pic du 28/01/21 et du début de cette période le 16/10/20. Ce qui est en cause lors de cette deuxième attauqe, ce n’est pas l’efficacité de la la vaccination, c’est l’importance de la variation de la nocivité et de la propagation du virus dans le temps d’une part, et d’autre part de l’augmentation de l’immunité naturelle au contact du virus. Cette période a été la plus meurtrière dans le monde avec l’arrivée de plusieurs variants.

La troisième attaque a débuté le 28/03/21 avec un Djmh à 1,128 pour atteindre un pic avec un Djmh à 1,768 le 29/04/21 et se termine le 08/07/21 avec un Djmh à 0,999. On peut dire que cette attaque d’un ou de plusieurs variants a été moins meurtrière ou pour le moins avec un pic un peu moins meurtrier. Pour le reste elle ressemble à l’attaque précédente. Le pic a été atteint avec un taux de vaccination de seulement 7,5% 1 dose et 3,4% 2 doses. On peut évidemment dire que le taux de vaccination était trop faible pour juguler la remontée des décès. Mais alors il reste toujours difficile de justifier l’arrêt de la progression puis la baisse très rapide des décès avec un si faible taux de vaccination qui se poursuit d’ailleurs sans inflexion notable jusqu’à l’atteinte des  taux de vaccination de 25,0% 1 dose et 9,1% 2 doses le 08/07/21.

Il faut noter que le discours du Président Macron s’est appuyé sur cette descente des décès pour relancer la campagne alors qu’aucune preuve de son efficacité ne pouvait être observée dans le monde ! L’efficacité de la vaccination était toujours alors un postulat.

La quatrième attaque débutée le 08/07/21 avec un Djmh à 0,999% semble avoir atteint un pic avec un Djmh à 1,286 le 27/08/21 et des taux de vaccination de 39,0% et 26,5% qui commencent à devenir significatifs. Sous l’impulsion des chefs d’Etat la vaccination s’est accélérée avec un bond de 14% pour 1 dose en 50 jours alors que le taux de vaccination est passé de 0% à 25% en 200 jours soit une vaccination 2,2 fois plus rapide. Si les décès ne remontent pas on peut penser que la vaccination a un effet mais on ne peut pas oublier que précédemment sans vaccination il y a toujours eu un pic et une descente rapide des décès. Depuis fin janvier 2020 la population a été atteinte au moins depuis avril 2020 et s’est immunisée au contact du virus et éventuellement de ses variants. Le taux d’immunisation acquise naturellement entre ces mêmes formes de virus est beaucoup plus élevé qu’à la fin janvier 2019. Sans vaccination on peut noter que depuis le 21/01/20, date du pic de la deuxième attaque, les décès/jour sont en nette diminution globale sans que l’on puisse le lier à une vaccination qui est encore loin d’atteindre les 50% de vaccinés avec 26,5% le 27/08/21.

On ne peut pas en même temps soutenir que la vaccination est efficace alors qu’elle n’a pas empêché une quatrième attaque en concédant qu’il s’agit d’un nouveau variant et en même temps oublier l’immunité naturelle alors qu’elle ne se développe qu’au contact des adversairs viraux et microbiens. Il est donc idiot et suicidaire de continuer des mesures sanitaires évitant justement le contact entre des personnes saines dont il suffirait de vérifier leur niveau d’immunisation pour leur éviter la vaccination. On oublie au passage les traitements cliniques efficaces, peu chers qui ne demandent que la précocité de diagnostic et de traitement. Atteindre l’immunité zéro est une idiotie et se vanter d’être parmi les pays les plus vaccinés du même niveau de puérilité car le but n’est pas la vaccination mais le meilleur plus bas niveau de décès et d’effets secondaires handicapants. On veut vacciner toute la planète et déjà on doute de l’efficacité sur le variant Delta alors que l’on n’a même pas atteint la moitié de la planète vaccinée.

On ne peut pas dire non plus qu’il faut vacciner en affirmant une efficacité du vaccin non prouvée jusqu’au début juillet 2021 puisque moins de 10% des habitants de la planète étaient vaccinés. On ne peut pas justifier de continuer à vacciner en ajoutant que l’efficacité ne dure pas et diminue progressivement jusqu’à devenir nulle au bout de 8 mois ! Ceci confirme donc que la baisse des décès  dès le 29 avril 2021 lors de la troisième attaque virale ne doit rien au vaccin si celui-ci était déjà en perte d’efficacité  après 4 mois de vaccination, efficacité dite nulle trois mois et demi plus tard lors de la quatrième vague ! On ne peut pas non plus dire que le vaccin protège des formes graves de la pandémie sous prétexte que les cas croissent plus vite que les décès dans cette quatrième attaque virale, c’est faire fi du nombre croissant d’humains mis au contact du virus qui développent ainsi leur immunité naturelle et sont donc moins exposés aux formes graves, sans compter que des sommités scientifiques pensent que les variants deviennent progressivement moins virulents et qu’une nouvelle épidémie très agressive ne peut se produire qu’avec un nouveau virus et non avec un variant. La vérité finit toujours par éclater et je peux mieux terminer cette étude mondiale qu’en reprenant l’affirmation brittaniquedu réprésentant de Downing Street :

(https://twitter.com/i/status/1434067010477084675)

« 60% des personnes hospitalisées sont totalement vaccinées ! »

Rappel : le 3 septembre 2021 au Royaume-Uni 70,68% des Britanniques avaient reçu 1 dose de vaccin et 63,41% 2 doses !

Mais on va voir que cette vision globale cache de grandes différences encore plus révélatrices entre les 6 continents alors que l’efficacité d’un vaccin devrait être très peu dépendante du lieu de vaccination. Ce sera l’objet de mon prochain article.

Le maniement de la peur pour l’asservissement des peuples

Se sert de la propagande comme nous l’a appris Goebbels.

Lui aussi ne voulait que la santé et de certains seulement.

La différence était limitée à l’hégémonie allemande

Aujourd’hui il s’agit d’un génocide planétaire !

Claude Trouvé

04/09/21

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