Mensonges pour cacher l’arnaque du siècle
A l’issue du Conseil des ministres en ce 15 juin le Premier Ministre a exprimé son satisfecit sur la politique sanitaire menée par son gouvernement, politique en réalité d’Emmanuel Macron. En effet le Chef de l’État s’occupe de tout contrairement à l’esprit et à la lettre de la Constitution de la Vème République. Pourtant il prolonge une politique de "muselage" et de couvre-feu déclarée inutile depuis des mois selon plusieurs études sérieuses parues. Néanmoins ce nouveau retard inutile et répressif sera interprété comme un soulagement par un peuple intoxiqué par la propagande. Il réagit comme le gosse puni dans sa chambre qui remercie papa de le délivrer. Cela fait partie des premiers signes d’acceptation d’une dictature et de la soumission. On prend pour argent comptant les affirmations du gouvernement relayées par les médias mainstream sans autre forme de réflexion et de recherche personnelle des autres sources d’information. Curieusement le peuple ne croit plus dans la parole politique, mais sous le coup de la peur insufflée, il perd tout doute et croit en celui qui s’affiche en sauveur. C’est le chien en laisse pendant 23h qui se réjouit d’une heure de liberté.
On aurait pu espérer que dans le cas de la vaccination, où l’on inocule une substance pouvant provoquer des effets secondaires bénins ou graves, le principe de précaution et l’évaluation rassurante du bénéfice/risque ait été menée par des équipes hors de l’industrie pharmaceutique et hors de tout conflit d’intérêt. Cela n’a pas été le cas et le rapport fourni par exemple par Pfizer est celui concocté par le fabricant. Pour avoir lu ce rapport statistique, j’ai déjà dit qu’il était bidon et c’est très facile à prouver avec quelques notions élémentaires de statistique. L’autorisation d’utilisation à grande échelle a fait l’objet d’une procédure d’urgence shuntant plusieurs étapes importantes pour la validation normale. En gros les vaccinés sont des cobayes, dont le seul espoir est que les effets indésirables ne soient pas graves à court terme, seul point sur lequel le fabricant semble avoir pris des précautions tout en obtenant néanmoins de pas être tenu responsable de toute façon des effets indésirables. Sur le long terme à un an ou plus il n’assure rien.
La vaccination agit-elle efficacement ? C’est ce que je vous propose de lire dans cet article où sur la quarantaine de pays que je suis depuis mars 2020 le graphique ci-dessous représente l’évolution des décès/jour/million d’habitants pour six européens depuis le 1er septembre 2020 jusqu’au 15 juin.
Le premier pays qu’il faut regarder c’est la Belgique qui a eu depuis le 1er septembre son pic de décès le 11 novembre, soit un mois et demi avant le début de sa vaccination. Son nombre de décès a subi globalement une évolution décroissante jusqu’au 15 juin. 90% de celle-ci s’est produite jusqu’au 15 mars alors qu’à cette date seulement 7,3% de la population avait reçu une seule dose ! De toute évidence la vaccination n’a pu avoir un effet aussi rapide et aussi brutal avec un tel taux de vaccination. Dans ce cas de la Belgique la vaccination est hors de cause, il s’agit de l’évolution naturelle du virus saisonnier qui conduit à un nombre moyen de 0,6 décès/jour/million dans la semaine du 08 au 15 juin. La vaccination en Belgique n’a eu aucun effet sur la décroissance et est donc inutile sauf si elle empêche une recrudescence de l’épidémie dans l’avenir, ce qui reste à prouver.
Le second pays intéressant est le Portugal qui a eu l’un des pics de décès journaliers le plus important du monde avec un sommet à 28,3 décès/jour/million le 1er février 2020 soit 35 jours après le début de la vaccination alors que seulement 2,6% de la population était vaccinée. La descente ensuite des décès a été aussi rapide que la montée et le 15 mars le nombre de décès/jour/million était tombé à 1,8 décès/jour/million d’habitants (djmh), soit une baisse de 93,6% avec un taux de vaccination de seulement 8,6% atteints ce jour. L’ordre de grandeur est le même que pour la Belgique mais cette fois le pic a eu lieu 35 jours après le début de la vaccination et non un mois et demi avant. Évidemment on ne peut pas penser que la vaccination ait eu là aussi un quelconque effet avec un aussi faible taux de vaccination.
On doit s’intéresser maintenant au Royaume-Uni, pays ayant dépassé les 50% de la population en vaccination complète et les 60% avec 1 dose. Le pic de décès s’est produit le 22 janvier, soit 43 jours après le début de la vaccination le 10/12/20, avec un djmh de 18,6 et un taux de vaccination de 8,8% 1 dose. La descente est très rapide ensuite avec un djmh de 2,2 le 15 mars, soit une baisse des décès de 88% comparable à la Belgique et au Portugal mais cette fois avec un taux de vaccination 1 dose de 37,3% ce même jour. Si on ne voyait pas se répéter le même scénario d’évolution que pour la Belgique et le Portugal, on pourrait soutenir que c’est dû cette fois à l’effet vaccinal malgré le fait que l’on est encore loin des taux de vaccination assurant l’immunité collective. Regardons alors le résultat obtenu le 15 juin avec un djmh moyen de 0,14 dans la semaine du 8 au 15 juin (France 0,8, Belgique 0,6, Portugal 0,17) avec plus de 50% de vaccination complète et avec 62,8% 1 dose sur la population. On est dans les valeurs préconisées pour atteindre l’immunité collective et le résultat parait concluant. S’il en est ainsi, on ne devrait plus avoir de nouvel assaut du virus dans les mois qui viennent même s’il s’agit d’un variant puisqu’on nous dit que la vaccination est efficace même sur les variants. Or comme on l’a vu plus haut sur le graphique le nombre de tests positifs s’est remis à croître depuis deux semaines sans que cela ait encore eu le temps de se traduire sur les décès. Non seulement cela remet en cause l’effet vaccinal sur la descente des décès mais cela pourrait montrer son inefficacité sur une nouvelle attaque du virus originel ou d’un variant.
Le cas de l’Irlande est comparable dans son évolution à la Belgique et au Portugal. Son pic de décès s’est produit le 3 février soit 35 jours après le début de la vaccination le 29/12/20. Le djmh était alors de 12,1 et le taux de vaccination 1 dose de 3,1%. Sauf si le ciblage de la vaccination s’est produit sur des personnes à risques, la vaccination est donc hors de cause dans cette montée rapide des décès. Comme pour les 3 autres pays la descente a été rapide et le 15 mars le djmh était de 3,2, soit 74% de baisse, et un taux de vaccination 1 dose atteint ce jour de 9,3%. Là aussi il est bien difficile de voir une efficacité vaccinale avec un aussi faible taux de vaccination. Mais l’Irlande est un cas intéressant car elle n’enregistre aucun décès depuis le 15 mai alors qu’à ce jour le taux de vaccination complète était à 10,5% et à 31% 1 dose. L’immunité collective serait-elle déjà atteinte avec des taux de vaccination aussi bas ou le virus a-t-il disparu naturellement ? Si c’est l’effet vaccinal pourquoi continuer à vacciner la population ? Pour être sûr de quoi ?
L’Espagne qui avait subi un pic de décès début novembre en a eu un autre le 13 février, 10 jours après l’Irlande et 48 jours après le début de la vaccination. Son djmh a atteint 10,2 alors que son taux de vaccination était à 3,1%. Après une montée très rapide, la descente l’a été également pour arriver à un djmh de 3,0 le 15 mars, soit une baisse de 71% comparable à l’Irlande, avec un taux de vaccination de 8,4% 1 dose. A la différence de l’Irlande, l’Espagne a connu une recrudescence à la fin mars, ce qui montre que l’immunité collective n’était pas acquise avec 10% de vaccination 1 dose. Le 15 juin, avec un djmh de 0,82 pour un taux de vaccination complète de 27,3% et de 43,9% 1 dose, l’Espagne n’est pas sortie de l’épidémie contrairement à l’Irlande car les nombres de cas et de décès restent voisins de ceux observés fin août 2020.
Regardons le cas de la Suède qui a adopté une attitude très différente sur les mesures sanitaires mais s’est pliée à la vaccination de masse au nom de l’immunisation collective. Elle a eu son pic de décès le 19 janvier soit avec un djmh à 12,8 et un taux de vaccination 1 dose de 1,5% donc apparemment hors cause du nombre de décès. Le 15 mars le djmh était retombé à 2,0, soit une baisse de 84% comparable aux autres pays examinés et cela avec un taux de vaccination atteint ce jour de 8,7% 1 dose. Il est aussi bien difficile d’attribuer cette descente à l’effet vaccinal. Mais si le 15 juin la Suède n’atteint pas le djmh du Royaume-Uni ou de l’Irlande, elle fait 2 fois mieux que la France et l’Espagne avec un taux de vaccination complète de 22% et de 41,1% 1 dose alors que l’Espagne et la France sont respectivement à 43,95% 1 dose et 45,33%. Donc doubler le nombre de personnnes vaccinées ne met pas en évidence l’effet de la vaccination bien au contraire.
On ne peut pas terminer ce tour d’horizon sans parler d’Israël qui est cité comme l’exemple à suivre et qui affiche un nombre de décès nul du 11 au 15 juin avec une vaccination complète à 56,9% de sa population mais pratiquement arrêtée à ce chiffre depuis 1 mois. Cela veut être un marqueur de la réussite de la politique vaccinale de ce pays et un signal de l’atteinte de l’immunité collective acquise dès le dépassement du taux de vaccination de 50%. Cette démonstration semble sans appel contestataire possible.
On voit dans cette comparaison combien l’efficacité vaccinale dans la maîtrise de la pandémie est illusoire entre deux pays voisins et ennemis dotés de moyens vaccinaux très différents. Mais on peut aussi noter que le Sénégal s’illustre par une stratégie de dépistage et de traitement clinique précoce recommandée par le Pr Raoult mais vilipendée par le gouvernement français.
Avant de conclure je termine par les chiffres au 15 juin de l’Inde et de l’Afrique du Sud dont on nous agite les épouvantails des variants après le variant anglais. L’Inde en est à 15,06% de vaccination 1 dose et 3,5% 2 doses avec un djmh de 2,72 soit certes 3,5 fois plus que la France mais 4,2 fois moins que la Colombie. Pourtant on ne parle que de l’Inde. L’Afrique du Sud ne vaccine pratiquement pas avec 1,08% 1 dose le 15 juin et son djmh est à 2,20. Malgré tout ces deux pays sont beaucoup moins impactés que les pays d’Amérique du Sud où se concentre la propagation épidémique avec un taux de mortalité 5 fois plus élevé et malheureusement on constate avec le Chili que l’effet vaccinal n’apparaît pas être la solution. La manipulation de la peur est incessante et on nous projette des images de morts gisant dans les rues en Indonésie alors que le nombre de décès/jour/million d’habitants est de 0,78 et de 0,73 pour la France et de 11,6 en Colombie ! D’un problème local à Jakarta, capitale et mégapole que l’on projette de déplacer à Bornéo pour des problèmes environnementaux, on en fait une catastrophe nationale par projection induite de notre pensée.
Il est de plus en plus évident que la lutte contre le virus ne peut pas être gagnée par la vaccination et nous sommes devant une arnaque qui ne tient que par une propagande mensongère que n’aurait pas reniée Goebbels. C’est une propagande grise ou les meneurs sont une diaspora pharmaceutique entourée de moyens financiers énormes qui manipule les États et le médias. Bill Gates, principal pourvoyeur de fonds de l’OMS, a annoncé la couleur, il faut vacciner toute la planète pour sortir d’une pandémie. Rien n’est laissé au hasard et la manipulation de la peur fait des merveilles. Sans qu’aucune preuve réelle ait été apportée, la vaccination est portée aux nues. Tout le monde oublie ou feint d’oublier que le virus a sa vie propre et sa capacité de mutation. Toute décroissance de la mortalité est mise au crédit de l’action vaccinale sans autre forme de doute. Pourtant lorsqu’on effectue un travail de recherche plus approfondi on constate que cette vérité imposée n’a pas de preuve tangible comme je viens de le montrer. Même les propos de l’ancien Vice-Président et directeur technique de Pfizer qui demande d’arrêter la vaccination pour tous les âges, ou celui du haut responsable de l’EMA qui demande également d’arrêter le vaccin AstraZeneca pour toutes les tranches d’âges quand des alternatives sont possibles, ne résonnent pas dans les têtes de la grande majorité des peuples et de ceux qui les gouvernent. La contestation est très minoritaire en Europe et dans les Amériques et les tenants du traitement clinique sont mis à l’écart ou vilipendés. Seul le traitement génétique a droit de faire partie de la panoplie de la propagande. Il ne faut pas que la peur retombe et on prépare les esprits à l’arrivée d’une quatrième vague et d’un nouveau variant plus tueur pour assurer la poursuite d’une vaccination à répétition.
Hitler disait que « les grandes masses sont aveugles et stupides »
Et Goebbels qu’il suffit de le répéter en boucle
Pour qu’un carré soit pris pour un cercle.
La vaccination de masse devient
L’une des plus grandes
Arnaques du siècle.
Claude Trouvé
18/06/21
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