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Affichage des articles du août, 2020

La vision alarmiste de l’épidémie imposée en France est dangereuse (suite)

De plus en plus de voix s’expriment sur la manipulation de la population par des informations anxiogènes. D’une épidémie du COVID-19, qui s’est déroulée de mi-mars à mi-juin, on est passé à une épidémie de l’angoisse. Dans l’article précédent j’ai tenté de quantifier un signal d’alerte crédible pour sortir d’un sentiment d’inquiétude basé uniquement sur la croyance que l’Etat ne peut pas nous tromper à ce point. Il est de plus en plus évident que la politique de gestion de ce qui n’est finalement qu’une épidémie de type grippal par un virus encore inconnu, comme l’ont démontré de nombreux pays comme la Suisse, le Danemark, les Pays-Bas, la Grèce, a été très mal gérée par la France dans sa première phase. De plus dans la phase suivante l’objectif n’est plus la santé publique mais l’application d’une politique de coercition menée de façon autoritaire en faisant de moins en moins appel à la responsabilité individuelle. On décide des mesures locales ciblées pour le port obligatoire du masq

La vision alarmiste de l’épidémie imposée en France est dangereuse

Plus les jours passent, plus le discours dont on nous abreuve se veut anxiogène. Le nombre de cas positifs ne cesse de battre des records et au Cap d’Agde le virus profite du retour à la nature de l’homme nu. Alors le graphe du nombre de décès par million d’habitants depuis le seuil atteint de 1 décès/habitant sur un échantillon représentatif des pays du monde devrait nous renseigner pour savoir si cette situation anxiogène pour l’avenir est ressentie partout. Il n’y a à priori aucune raison que le virus ait une action différente d’un pays à l’autre, seuls sont en cause la date d’arrivée du virus dans un espace donné, les conditions offertes à sa propagation, et la qualité et la précocité du traitement sanitaire qui est appliqué. Alors qu’observe-t-on sur cette représentation spatio-temporelle des décès dus au coronavirus ? Les différences sur les décès constatés sont considérables entre la Corée du Sud, modèle de référence sur la bonne gestion de l’épidémie, et la Belgique qui tie

Le coupable de la catastrophe du COVID-19 ? Virus ou Macron ?

Il court, il court le virus, il est passé par ici, il repassera par là . Le message sature les ondes et nos oreilles dans une mascarade en file indienne dans un théâtre d’ombres masquées. On reconnait à peine son voisin et on a une météo au son du «  protégez-vous  ». Père gardes-toi à droite, père gardes-toi à gauche… tu sais les vieux sont plus vulnérables. Tu ne voudrais tout-de-même pas faire partie du 0,05% des 25% de décès des maladies respiratoires tout ça à cause du virus, ce serait trop bête. D’ailleurs pourquoi prendre ce risque de surmortalité alors que, grâce à ces précautions, le nombre total de décès journaliers toutes causes confondues est le même que l’an dernier depuis le mois de mai ? Logique non ? Enfin aussi logique que les recommandations à girouette des autorités qui suivent le sens du vent de l’électorat ou des grandes entreprises Donc on ne confinera plus, mais le danger est toujours là. Vu le résultat obtenu, est-ce à dire que le confinement, tel que pratiqué

Les grandes questions sur la gestion sanitaire de l’épidémie (4ème partie)

Le battage médiatique culmine pour alarmer les français sur la chanson bien connue «  Il court, il court… le virus  » toujours prêt à rebondir d’une clôture à l’autre. On croise désormais des ombres aux yeux meurtris dont on espère un signe de reconnaissance bien loin de l’incognito du masque carnavalesque. Nous ne sommes plus à l’époque des réjouissances mais à celle de la jouissance morbide que procure le masque en se disant que l’on défit la mort dans une sorte de danse macabre. Nous en sommes revenus au stade de l’enfance où l’on nous dit «  si tu touches encore au pot de confiture, je t’enferme dans ta chambre  ». Mais là le message est clair et fort bien compris hormis que l’enfant n’a qu’une idée en tête, c’est de le faire encore une fois. L’enfant est rebelle par nature et est prêt à prendre un risque pour satisfaire son goût de vivre et de celui des confitures. L’adulte a pris conscience du risque de la désobéissance, et il n’est plus loup épris de liberté mais chien docile. I

Stop à la manipulation des français par la menace du rebond de l’épidémie du COVID-19

S top à la manipulation des français par la menace du rebond de l’épidémie du COVID-19   Oui le nombre de cas et foyers de contamination détectés chaque jour augmente avec le nombre de tests et la période estivale de déplacement de la population en vacances. Mais le nombre de décès journaliers reste faible et stable à moins de 14 décès/jour depuis 1 mois 1/2  ! Entre le 1er mai et le 20 juillet 2020, 123 104 décès sont enregistrés en France à la date du 31 juillet, soit 3 % de moins qu’en 2019 et 1 % de moins qu’en 2018 selon l’INSEE. Durant cette période on a subi une moyenne de 69 décès/jour dans une mortalité journalière globale de 1520 décès par jour, donc seulement de 4,5% de décès dus au COVID-19 . Depuis un mois et demi ce pourcentage de décès dus au COVID-19 est tombé à 0,88% du total des décès toutes causes confondues . Il est à comparer aux 25% de décès dus aux tumeurs malignes (27,6 % des décès), aux maladies de l’appareil circulatoire (maladies cardio-vasculaires, 25,1