Accéder au contenu principal

Articles

Affichage des articles du mars, 2022

Gouverner par la peur de la pandémie, du réchauffement, du nucléaire, de l’épuisement du gaz, du pétrole… (2)

    Gouverner par la peur de la pandémie, du réchauffement, du nucléaire, de l’épuisement du gaz, du pétrole… (2) La peur du réchauffement climatique vient d’être réactivée par le Secrétaire Général des États-Unis qui lance un nouveau cri d’alarme en s’appuyant sur le dernier rapport final destiné aux 195 pays du monde. Cette certitude mondiale affirmée par l’ONU fait évidemment fi de la lettre adressée à son Secrétaire Général signée par des centaines de scientifiques européens de haut niveau demandant une pause dans les mesures prises pour lutter contre le réchauffement climatique prévu car la science reste dans l’incertitude de celui-ci vu l’état actuel de nos connaissances. Dans le consensus inlassablement répété, il ne pouvait pas en être fait état, donc motus et bouche cousue. Dans un contexte de peur généralisée avec la pandémie, la peur énergétique, la peur sécuritaire, la peur d’un conflit mondial, il fallait finir de culpabiliser l’homme par la peur du réchauffement clima

Gouverner par la peur de la pandémie, du réchauffement, du nucléaire, de l’épuisement du gaz, du pétrole… (1)

  Gouverner par la peur de la pandémie, du réchauffement, du nucléaire, de l’épuisement du gaz, du pétrole… (1) La peur gouverne le monde occidental et la France cherche à se tenir toujours au premier rang des pays gouvernés par la peur. Une pandémie nous frappe et c’est la guerre. La température du globe augmente et c’est notre faute. La guerre menace des centrales nucléaires et la catastrophe de Tchernobyl va se reproduire. On va manquer de gaz mais l’homme consomme beaucoup trop de ressources naturelles, la guerre n’est qu’un révélateur de notre culpabilité. C’est même pire pour le pétrole où le pic qui donne le moment où l’on consomme plus que ce que l’on produit est là devant nous en 2025. Il faut une guerre pour nous jeter à la figure notre imprévoyance. Si la peur peut être parfois salutaire, elle est devenue une méthode de gouvernement mondial qui exclut toute contestation. Quelques centaines de ploutocrates puissants dans le monde sont dans le camp du bien et nous n’avons