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Quand les chiffres ne valident pas le discours

Le port obligatoire du masque dans le domaine public, décrété par le gouvernement, s’appuie sur le constat d’une recrudescence des cas de contamination. Il génère une nouvelle phase d’anxiété dans la population, un nouvel handicap pour l’économie du pays, et une gêne voire une cause de maladie pour les porteurs de masques, en particulier pour ceux qui doivent le porter de longues heures. Depuis le début juin on nous dit que le nombre de foyers de contamination se développe en France, c’est une réalité dans les régions préservées jusque-là de la contamination. Mais dans le même temps le nombre de nouveaux cas diminue dans les autres régions touchées depuis le début de l’épidémie.

La plupart des personnes testées positives au coronavirus ne sont pas hospitalisées, or le nombre de décès est fortement corrélé au nombre de cas hospitalisés. En France depuis le début mai on peut dire que 10% des hospitalisés décèdent, alors qu’au début de l’épidémie c’était 15%. Il y a donc une nette amélioration de la qualité du traitement de l’épidémie. Si nous subissions un rebond de l’épidémie depuis un mois après le déconfinement, nous devrions le voir aussi sur le nombre de décès. L’évolution de notre nombre de décès/million d’habitants du graphique ci-contre montre qu’il n’apparaît aucun changement notable dans l’évolution et tout au plus, si rebond il y a, il est de faible amplitude. La France n’affiche pas un véritable rebond des décès.

On notera au passage que le nombre de pays qui sont en voie de disparition de l’épidémie continue à croître : Belgique, Espagne, Italie, France, Irlande, Pays-Bas, Suisse, Allemagne, Danemark, Autriche, Hongrie, Grèce, etc. Le Royaume-Uni voit sa croissance des décès diminuer significativement. Les Etats-Unis s’y préparent, mais le Brésil est en pleine évolution de la contamination, à un rythme toutefois moins élevé que la France, l’Italie, l’Espagne et la Belgique en début de crise. Le martellement médiatique des chiffres de décès au Brésil et aux Etats-Unis est toujours relativement moins élevé que les pays cités ci-dessus de l’Europe de l’Ouest. La Russie est aussi en pleine évolution de la contamination mais avec un faible taux de mortalité encore inférieur à celui de l’Allemagne. La vitesse de contamination s’accélère en Iran mais le taux de mortalité reste encore faible. Seul le Portugal est le siège d’un rebond notable mais de courte durée parmi tous les pays représentés ici.

Mais revenons à la France qui se retrouve avec un retour vers le port obligatoire du masque depuis le 20 juillet. Les graphiques ci-dessous au 20 juillet montrent plus finement l’évolution de la contamination en France et dans quatre pays voisins. On voit nettement un rebond des cas en Espagne et en Suisse, contrairement à la France, l’Allemagne et l’Italie. Il n’y a pas de rebond globalement notable en France. Le 21 juillet il n’y a eu aucun décès et aucun cas signalé en France. L’application évoquée du principe de précaution est trop globale, bien trop prématurée, et entraîne des conséquences néfastes sur l’économie et la santé des porteurs de masques.  Ces atteintes à la santé sont dénoncées par de nombreux spécialistes, le port du masque n’est pas anodin, ce qui avait été d’ailleurs dit par le gouvernement lui-même en début d’épidémie.

Le déconfinement a permis au virus de se transporter dans des zones jusqu’alors épargnées, aux étrangers de venir en France, et à des français de se rapatrier. Ces trois raisons sont les principaux facteurs de nouvelle propagation mais visiblement la nocivité du virus est moindre, l’efficacité du traitement hospitalier plus grande, et la détection des nouveaux foyers beaucoup plus réactive. Le nombre des décès ne varie donc pas d’une façon significative. Alors la brutalité de la décision du port obligatoire du masque n’est plus opportune. La peur de nouveau inculquée à la population restreint sa liberté d’agir, influe sur sa santé physique et psychique, et handicape un peu plus notre économie. On peut ajouter que l’incitation à rester chez soi qui transparaît en filigrane est le meilleur moyen de recréer les conditions favorables à la propagation tout-au-moins dans les foyers à plus d’une personne et dans les zones d’habitation les plus défavorisées. Enfin, et cela est sans doute le plus grave, on a pris une mesure étendue à tout le territoire en faisant fi du degré d’auto-immunisation de la population, et aussi de l’apparition locale et non générale de nouveaux foyers.

Cette apparente négation des enseignements acquis dans les périodes précédentes de l’épidémie, et cet acharnement à distiller la peur sur tout le territoire, ne peuvent plus trouver une explication dans une série d’erreurs gouvernementales. Il s’agit de la poursuite inexorable d’un but caché dont le résultat est de rendre la population obéissante et moutonnière. Pourquoi ? Pour deux raisons essentielles. La première est la peur d’un soulèvement populaire dès la rentrée de septembre-octobre mettant en danger le gouvernement, voire le Président. La deuxième est le conditionnement du peuple à l’accueil volontaire d’un vaccin voulu par les grands laboratoires et l’OMS où la fondation Bill Gates devient majoritaire dans le financement depuis le départ confirmé des Etats-Unis. C’est pour cela que la guerre continue contre le protocole du Pr Raoult, seul traitement efficace, qui détruit l’intérêt du vaccin surtout obligatoire. Des juristes et des experts américains préparent déjà des textes pour rendre la vaccination obligatoire pour tout ou partie de la population américaine. Pour échapper à la mainmise des grands laboratoires la Russie travaille depuis des mois à un vaccin qu’elle espère être validable dès la fin août après les essais cliniques en cours. Le fait que ceci ait été confié à l’Armée russe n’est pas fait pour rassurer, car on sait que Bill Gates a officiellement dit que la vaccination permettrait de diminuer la population mondiale de 10 à 15%, donc une arme biologique.

Cet aspect désormais prouvé du pouvoir du vaccin pour gérer les peuples est sans doute le bilan le plus inquiétant de cette épidémie. On commence à nous persuader que ce n’est que le commencement de pandémies récurrentes dans l’avenir et ceci fait penser que Bill Gates, encore lui, l’avait annoncé en 2017-2018. Un essai de simulation des effets d’un virus inconnu sur la population avait d’ailleurs été réalisé. On comprend facilement qu’une dose de vaccin, destinée à exciter les défenses humanitaires contre un virus, peut contenir d’autres substances à but mortel ou invalidantes physiquement et psychiquement. Quand on parle de décroissance de la population mondiale, de transhumanisme, de robotisation accélérée, de gouvernent mondial, on parle d’un nouveau monde où les clefs de la vie des peuples peuvent être mises dans les mains d’une caste dirigeante de quelques milliers d’individus dans le monde.

On peut penser que l’opposition entre les deux grands blocs, Etats-Unis, Russie-Chine, bloc auquel va s’ajouter l’Inde, entrés en compétition économique, pour ne pas parler de guerre, mettra un frein à cette évolution vers un transhumanisme mondialiste. Mais rien n’est moins sûr, car entre le bloc asiatique et le bloc occidental, il ne faudra à terme qu’un vainqueur dans cette lutte à mort. Alors la vérification de la puissance de l’arme biologique que représente la vaccination n’échappera plus aux hommes forts qui dirigeront alors l’avenir de la population mondiale, celle de nos petits-enfants qui seront confrontés à une 3ème guerre mondiale d’un nouveau type.

Ce qui est sûr c’est que la manipulation des peuples, manipulation qui a toujours existé, prend une nouvelle forme encore plus efficace que celle de la sécurité de l’enceinte du château seigneurial contre les prédateurs, sécurité destinée à aliéner à l’impôt la France agricole. Cette épidémie du COVID-19, immédiatement qualifiée de pandémie, a fait l’objet de manipulations successives sur l’utilité des masques pour tout d’abord cacher leur absence et ne pas parler du manque de tests, moyens beaucoup plus indispensables en début d’épidémie, auquel il faut ajouter le manque de lits et de moyens hospitaliers de protection et de réanimation. Focaliser le peuple sur les masques était une première manipulation dont on se ressert à l’inverse en fin d’épidémie. Prédire un rebond général et l’anticiper sans constat d’une ampleur non maîtrisable, c’est nous manipuler par la peur. La manipulation mondiale, occidentale pour l’instant, se fait en deux temps. Dans le premier on distille aujourd’hui la peur du virus inconnu pour rendre le peuple obéissant et demandeur de la protection du vaccin. Dans le second demain on rendra plus ou moins obligatoire un vaccin dont la composition permettra à volonté d’agir physiquement et psychiquement sur la population au gré de ceux qui en financent l’élaboration et la fabrication.

Rien dans les chiffres ne permet cette relance de la peur

La vigilance nécessaire ne justifie pas la manipulation.

Le port du masque obligatoire masque autre chose.

C’est une poursuite de notre appauvrissement

Et une préparation au vaccin obligatoire,

Arme biologique du Nouvel Ordre

A imposer à toute l’humanité.

PS : George Soros : « Je dirigerai un gouvernement mondial pour le nouvel ordre mondial » July 20, 2018

Claude Trouvé

22/07/20

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