De plus en plus de voix s’expriment sur la manipulation de la population par des informations anxiogènes. D’une épidémie du COVID-19, qui s’est déroulée de mi-mars à mi-juin, on est passé à une épidémie de l’angoisse. Dans l’article précédent j’ai tenté de quantifier un signal d’alerte crédible pour sortir d’un sentiment d’inquiétude basé uniquement sur la croyance que l’Etat ne peut pas nous tromper à ce point. Il est de plus en plus évident que la politique de gestion de ce qui n’est finalement qu’une épidémie de type grippal par un virus encore inconnu, comme l’ont démontré de nombreux pays comme la Suisse, le Danemark, les Pays-Bas, la Grèce, a été très mal gérée par la France dans sa première phase. De plus dans la phase suivante l’objectif n’est plus la santé publique mais l’application d’une politique de coercition menée de façon autoritaire en faisant de moins en moins appel à la responsabilité individuelle. On décide des mesures locales ciblées pour le port obligatoire du masq...