Accéder au contenu principal

Le taux d’immunisation et la rapidité d’intervention du tri

 Le taux d’immunisation et la rapidité d’intervention du tri

 


Les résultats sanitaires et économiques obtenus pour les épidémies de coronavirus sont très différents d’un pays à l’autre et montrent bien que le mode de stratégie choisi a une influence prépondérante. La propagation d’un virus ne connaît pas de frontières mais elle peut trouver des différences de possibilité de propagation, soit dus à la stratégie de lutte sanitaire, soit à des conditions d’accueil plus ou moins favorables liées au climat, aux habitudes de vie et au passé sanitaire d’un pays ou d’un continent donné. On peut citer par exemple la différence significative de mortalité entre l’Europe et l’Afrique. Mais en France la propagande anxiogène relayée par les médias est incessante en cherchant partout dans le monde ce qui peut attiser la peur. On a par exemple cité le Japon comme un pays en proie à une troisième vague et un article de Courrier international se prête à ce jeu le 11 novembre. En fait le 24 novembre on constatait 14 décès au Japon et 1005 en France pour une population moitié de celle du Japon. A l’inverse on a brocardé la Suède qui avait plus de décès que nous au début de la nouvelle épidémie, or dans la semaine du 19 au 25 novembre on avait 2,6 fois plus de décès compte-tenu des différences de population et depuis le début de l’épidémie en mars on avait 17% de décès en plus et donc 7500 morts de trop chez nous !

 

Ce dernier exemple soulève de vraies questions sur la stratégie sanitaire car celles adoptées par la France et la Suède sont diamétralement opposées. La France a pratiqué une politique de confinement strict et généralisé à résidence dans une première phase avec port tardif de masques alors que la Suède a joué sur les gestes barrières et la distanciation mais sans masque et sans confinement strict. Elle a ainsi protégé au maximum son économie. Cette stratégie est apparue lors de la première épidémie comme un sacrifice humain trop important car elle est basée sur le laisser-faire de l’immunisation collective. Elle a pourtant toujours fait moins de décès/million d’habitants que la France. Pourtant le Danemark a fait mieux en fermant très tôt ses frontières et en pratiquant le dépistage et l’isolement des personnes contaminantes. A la fin de la première épidémie le 31 mai le Danemark affichait un nombre de décès/million d’habitants 4,3 fois moins élevé que la France et la Suède. Cet avantage est poussé respectivement à 5,2 et 4,6 le 29 novembre. D’ailleurs depuis un mois le Danemark qui avait suivi l’Allemagne jusque-là fait nettement mieux qu’elle depuis un mois. Ces pays étant voisins cela marque une nette différence dans leur politique sanitaire depuis la mi-septembre. A la différence de l’Allemagne qui intensifie le dépistage depuis 6 semaines, le Danemark a remonté le nombre de tests dès la mi-septembre soit depuis près de 11 semaines.

On perçoit bien, quels que soient les caprices du virus, que la politique sanitaire consistant à dépister le plus tôt possible les foyers de contamination est celle qui freine la propagation au-delà de toutes les mesures barrières complémentaires y compris masques et confinements généralisés. Le Danemark ne recommande pas le masque. D’ailleurs ces dernières mesures peuvent s’avérer délétères lorsqu’un pays s’est laissé dépasser par la contamination. Il ne fait alors que jouer à l’apprenti-sorcier ou au marin épongeant les voies d’eau dans un bateau pourri. La confirmation vient de la Suède qui a dépisté plus fortement depuis un mois, alors que le nombre de décès était faible, sur les nouveaux premiers foyers de contamination. La Suède ne fait pas de confinement généralisé et ne recommande pas le port du masque depuis le début de l’épidémie.

Un autre exemple intéressant est celui des deux pays voisins à savoir la Belgique et les Pays-Bas. La Belgique qui pratique une politique sanitaire et autoritaire stricte de confinement bat le record mondial de décès/million d’habitants avec 2,7 fois plus de décès au 29 novembre que les Pays-Bas qui ne recommandent pas le port du masque. Il y a forcément, au-delà de la variation de morbidité du virus, un impact très fort de la politique sanitaire appliquée. A l’inverse la France et l’Italie avec un décalage de 10 jours suivent jusqu’au 29 novembre la même évolution des décès compte-tenu de leur population. Le graphique ci-dessus, initialisé au jour d’atteinte du 1 décès/million d’habitants donc avec un décalage de 10 jours entre ces deux pays, en témoigne. On voit donc que deux politiques sanitaires identiques engendrent in fine le même résultat sur le taux de mortalité. Enfin la comparaison entre l’Argentine et la Suède amène une présomption sérieuse sur l’inefficacité du confinement généralisé. L’Argentine est le pays ayant confiné le plus longtemps avec une durée de 8 mois. La Suède n’a pas confiné. Au 29 novembre la Suède a 32% de décès en moins que l’Argentine.

On peut aussi montrer que le port du masque n’a non seulement pas prouvé son efficacité mais plutôt le contraire, même si le port du masque a été demandé ces jours-ci aux Pays-Bas. Je n’ai pas mis la Belgique dans les pays avec masque car elle bat le record du monde des décès/habitants, l’écart de 4,4 fois moins de décès pourrait donc être encore plus grand. On constate ainsi que le gouvernement et les médias procèdent à une désinformation permanente par omission des indicateurs qui peuvent soulever un débat et une réflexion sur l’opportunité de ce confinement personnel que représente le masque.

Il en est de même sur le confinement généralisé où tout est fait pour ne pas permettre une remise en cause d’une politique prise depuis l’origine et dont l’efficacité peut être mise en doute puisque la France fait partie du groupe de tête des 5 pays européens ayant le plus de décès/million d’habitants depuis le début de l’épidémie. Ce sont les 5 pays avec l’Italie ayant appliqué le plus sévèrement le confinement dans les deux phases de propagation du virus. Le contraste de la Suède (85,7) et de l’Argentine (666,6) est frappant mais on peut parler d’utilisation plus ou moins intelligente du confinement puisque l’Allemagne, l’Irlande, deux pays voisins de nous, y ont réussi tout comme la Grèce, le Danemark, la Norvège et la Finlande. Même la Corée du Sud n’a pas obligé à un confinement généralisé. Le Premier ministre suédois a réaffirmé que le port du masque et le confinement n’étaient pas à l’ordre du jour se limitant à porter la jauge des rassemblements à 8 personnes. Notons que le cas de la Suède est une épine dans le pied de la politique française d’où des messages du pouvoir et des médias laissant croire que la Suède est paniquée et reconfine. Sur cette deuxième épidémie le nombre de décès/habitants est le même que l’Allemagne mais l’Allemagne a une perte de 2,2% sur le PIB et la France de 5,9% par rapport à la Suède sur les 3 premiers trimestres 2020. On voit que dans cette deuxième vague la France ne fait pas mieux que dans la première phase épidémique relativement aux autres pays européens avec sa 5ème place et avec une perte de croissance 2,6 fois plus élevée que la Suède.


Le résultat sanitaire obtenu par la France, où elle tient la 5ème place des pays européens les plus touchés avec un bilan global de 760 décès/million d’habitants pour 750 le 26 novembre sur l’ensemble des pays européens, est mauvais. Les disparités sont énormes entre la Finlande et la Belgique avec un nombre de décès/millions d’habitants belges 20 fois supérieur. Il est donc de plus en plus évident que ce sont bien les politiques sanitaires qui sont le facteur principal des différences de taux de mortalité d’un pays à l’autre. Prenons le cas de la Suède et de la Finlande, pays voisins et de même climat avec 3 grandes villes suédoises, dont Malmö, récupérant la grande majorité de la population et une capitale Helsinki, toutes les 3 avec une urbanisation dense. Le reste du territoire de ces pays est très peu peuplé. Premier point la Suède est le cas extrême de la stratégie d’immunisation collective, de distanciation sociale sans contrainte en se basant sur l’information et le civisme, et de frontières ouvertes. Les écoles restent ouvertes mais à partir de 16 ans l’enseignement se fait en distanciel, les bars et restaurants restent ouverts. Le Suédois vit presque normalement car tout reste ouvert. Cette politique n’a pas été suivie par la Finlande qui a fermé très tôt ses frontières puis les a rouvertes à certains pays du nord mais pas à la Suède. Les mesures de distanciation sociale ont été demandées mais le port du masque n’est pas obligatoire. Il n’y a pas eu de confinement autre que celui des personnes infectées invitées à rester chez elles et une restriction de déplacement vers la capitale. On a largement fait appel au civisme dans un pays où le gouvernement est très respecté. Le télétravail a été augmenté jusqu’à 90% de ce qui pouvait l’être et le suivi des personnes infectées a été mis en place par un logiciel connecté et largement suivi par la population. Si l’on devait résumer la politique sanitaire finlandaise on pourrait la résumer par trois mots « civisme, distanciation, suivisme ». On peut ajouter que la Finlande a testé très tôt dès la fin février et atteint son pic de cas positifs le 6 avril. Dès la fin août une nouvelle campagne de tests a été engagée sur un public plus large. Sur le plan économique, mis à part les contraintes de distanciation physique dans les bars et restaurants, l’économie finlandaise est l’une des moins touchées d’Europe avec une baisse de croissance de seulement -3,9%, soit 2,5 fois moins que la France et légèrement plus que l’économie suédoise.

De toutes ces comparaisons auxquelles il faut ajouter les bons résultats de l’Irlande et de l’Allemagne que peut-on avancer comme conclusion probable ? Le maître-mot est d’abord le choix de l’immunisation collective ou pas. Il semble que pour ces deux épidémies successives de 2020 le choix de l’immunisation n’est pas un bon choix en comparant Suède et Finlande. Visiblement la Finlande a refusé ce choix et s’en tire provisoirement très bien. Mais quelle sera la différence de résistance à une nouvelle épidémie de ce type entre suédois et finlandais en 2021 ? Personne n’est en mesure de le dire. Le virus mute en permanence et se recombine même avec d’autres types de virus. Donc l’immunité acquise en 2020 peut ne servir à rien en 2021, c’est d’ailleurs un des grands problèmes de la vaccination qui n’est efficace qu’à 60% pour la grippe dite normale et à renouveler chaque année. Mais on ne peut pas exclure que la stratégie suédoise soit sanitairement payante dans l’avenir. Les deux stratégies suédoise et finlandaise ont cependant minimisé l’impact sur la croissance et donc l’économie de leur pays. De plus elles se caractérisent par une restriction minimale des libertés, un appel orchestré au civisme et un stress minimal.

Du côté de l’Irlande et de l’Allemagne on est dans une conception plus autoritaire de la lutte contre la propagation du virus avec des résultats intermédiaires entre la Suède et la Finlande sur le plan sanitaire mais nettement moins bons sur le plan économique. Si la distanciation physique a été prônée, elle a pris un caractère d’obligation dans des cas ciblés. La fermeture des frontières allemandes n’a pas été complète en particulier avec les Pays-Bas qui ont bien réussi la maîtrise de la première vague avec la distanciation sociale, le port du masque non obligatoire. Dans ces pays le confinement a été à trous et adapté aux activités, aux lieux, et à la propagation du virus avec des directives beaucoup plus souples en Irlande qu’en Allemagne. Sur la première épidémie on constate que l’Allemagne a mieux réussi que l’Irlande mais avec des privations de liberté globalement plus sévères. Mais depuis 6 semaines la propagation du virus en Irlande s’avère beaucoup moins rapide qu’en Allemagne. On peut penser que le taux d’immunisation en Irlande était supérieur à celui de l’Allemagne.

 

Regardons l’historique des décès/jour/million d’habitants sur 8 pays représentatifs des différences de politiques et de résultats sanitaires. Trois pays (Belgique, France, Espagne) montrent une décélération des décès entre le 9 novembre et le 29 novembre mais avec une valeur encore forte des décès le 29 novembre. Pour la Belgique l’accélération et la décélération sont très marquées et le pic de l’accélération coïncide avec celui de l’Espagne. Il se produit le 9 novembre alors que le reconfinement belge a commencé le 2 novembre. Il est donc peu probable que, compte-tenu des délais de tests et de séjour des personnes hospitalisées jusqu’au décès, le reconfinement soit la cause d’un brusque renversement de tendance. Il en est de même pour l’Espagne mais le reconfinement est différent puisqu’il s’agit d’un bouclage des frontières de certaines régions. La France a procédé en deux temps avec le couvre-feu le 23 octobre et le reconfinement le 30 octobre. Le pic de l’accélération a eu lieu dans la semaine du 10 au 17 novembre avec un pic des cas positifs le 7 novembre. On est en droit de douter d’un lien dans un délai aussi court. A l’appui de cela on peut citer le cas de l’Italie qui a reconfiné plus tard le 6 novembre et imposé le couvre-feu. Or 21 jours plus tard ces mesures n’ont pas cassé l’accélération des décès. Le cas du Royaume-Uni est intéressant car, si le taux de décès est toujours croissant, l’accélération des décès s’atténue depuis le reconfinement du 1er novembre alors que le confinement est similaire à celui pratiqué en France, attestation de déplacement et fermeture des écoles mis à part.

Le cas de l’Allemagne apporte aussi des informations. Avec un reconfinement identique à la France appliqué le 2 novembre l’Allemagne ne voit toujours pas une baisse de la progression de la hausse des décès dans la semaine du 23 au 29 novembre mais celle-ci reste très inférieure de moitié à celle de la France. Avec une politique de confinement moins stricte sans port de masque à la mi-octobre et un durcissement le 3 novembre avec fermeture des lieux publics et port de masque, les Pays-Bas ne limitent pas la liberté de circulation et les commerces restent ouverts sauf les bars et restaurants qui ne servent que des plats à emporter. Comme pour la Belgique et l’Espagne on note dans ce pays une baisse des décès dès le 10 décembre alors que les premières mesures de confinement ont été prises une dizaine de jours plus tôt que ces deux autres pays et que la baisse en France ne s’est produite que le 17 novembre. La Suède, qui ne recommande ni confinement, ni port de masque, voit encore progresser lentement son taux de mortalité mais reste à un niveau 2 fois inférieur à celui de la France. La comparaison se termine avec le Danemark et la Finlande, auxquels on pourrait ajouter la Norvège. On peut en gros dire que ces pays vivent presque normalement en dehors des gestes de distanciation et d’une jauge de rassemblement. Même si le Danemark voit son nombre de décès progresser, l’évolution est lente, et le niveau de décès journaliers reste une dizaine de fois inférieur à celui de la France.

Conclusion

Les propos qui vont suivre sont des interprétations probabilistes mais celles-ci montrent combien nous sommes au moins dans un domaine d’incertitude qui demande que toute mesure coercitive ne soit prise que s’il y a des exemples certains de réussite ailleurs ou pour le moins pas d’échec d’un pays qui ne la prend pas.

Il apparaît que l’hypothèse de la limite de la propagation du virus par rapport aux mesures sanitaires est liée au taux d’immunisation innée ou acquise de l’ensemble d’une population. Ce qui voudrait dire que les mesures sanitaires ne sont que des mesures retardatrices d’une propagation inéluctable du virus. L’exemple de la France et de l’Italie est particulièrement frappant sur ce point et représenté sur le premier graphique au début de cet article. Après avoir mieux freiné la propagation que l’Italie après les 40 premiers jours depuis le début de l’épidémie, la France a rattrapé rapidement le nombre de décès/habitants dès le départ de la deuxième épidémie pour le rejoindre depuis deux semaines avec le décalage initial de 10 jours. Autrement dit dès que le virus se propage dans un nouveau lieu c’est le taux d’immunisation local qui entre en jeu que ce soit dans une maison, une ville ou un pays.

Si l’on ne prend aucune mesure le taux de mortalité par catégorie d’âge donne le nombre potentiel de décès. Avec les données consultables du 28 octobre j’avais montré (lien en fin d’article) que, si l’on testait toute la population restante non testée, on aurait un nombre de cas positifs donnant une potentialité de 116 000 décès moins ceux déjà décédés à savoir 52 000 le 28 novembre. Il resterait donc encore 64 000 décès potentiels. Selon ce raisonnement, plus on teste plus on puise dans ce réservoir de décès potentiels avec le risque de surcharge des hôpitaux. Il y a donc compétition entre la vitesse de propagation du virus et le nombre de tests réalisés. Si l’on teste trop, on sature les hôpitaux, et si l’on ne teste pas assez la propagation de la contamination n’est pas ralentie. Mais le virus reste maître de la situation car il mute et son taux de létalité varie selon son propre cycle de vie. C’est le phénomène des grippes saisonnières où le virus ne disparaît pas mais réapparait au moment où les conditions lui sont favorables.

Si cette hypothèse est retenue comme probable, la première chose est de ne pas encombrer les moyens de test et de tri. Ceci veut dire que la médecine générale a un important rôle à jouer dans le premier dépistage et le premier tri. Il faut éviter d’encombrer les centres de dépistage de personnes qui n’ont pas de symptômes, en particulier celles qui n’ont pas de morbidités, pas de fièvre, pas de perte d’odorat, pas de toux. Ces règles doivent être d’autant plus appliquées que la contagion se propage vite. Inversement on aurait dû dépister mieux les personnes contaminantes et asymptomatiques en période calme de juin, juillet, août.

En constatant que la lutte ne fait que retarder la propagation du virus sur un nombre de décès potentiels dépendant, d’une part de la répartition des âges dans une population, et du taux de létalité du virus à un moment donné, on peut dresser une politique sanitaire souple qui admet que le virus reste le maître du rythme de l’épidémie avec son cycle de vie en cloche et va disparaitre naturellement. L’objectif est alors de maximiser le taux d’immunité de la population en concédant le moins de décès quand le taux de létalité et le taux d’incidence sont élevés, et de profiter des moments de répit pour laisser l’immunisation naturelle se propager en pratiquant des campagnes de tests sur une plus large population en particulier sur les personnes à risques. Le déconfinement a été une bonne chose pour la santé mentale et pour l’économie, mais cet espace de temps n’a pas été utilisé pour tester plus largement la population au rythme des moyens de dépistage possibles sans surcharge, et augmenter les moyens de tests et de traitement hospitalier.

On ne fait pas la guerre au virus, on ne le maîtrise pas plus.

Mais on peut faire en sorte qu’il fasse moins de morts

Et qu’il trouve devant lui une population immunisée

L’obligeant à se mettre en sommeil et à muter.

Le traitement précoce et l’immunité

Feront toujours mieux que

Un vaccin à risques.

Claude trouvé

30/11/20

 L’ARNAQUE sur un pays que l’on enchaîne !

www.blogger.com/blog/post/edit/2028397089522331456/6096158645422394481

 

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Vaccination COVID et contradictions sur son efficacité

  Vaccination COVID et contradictions sur son efficacité C’est reparti ! Le virus ? Rien d’affolant pour l’instant mais la propagande de la vaccination mise toujours sur la réinitialisation de la peur comme le conducteur de locomotive qui remettait du charbon pour que la pression vapeur ne retombe pas. La manipulation des masses demande de tenir les tenir au chaud dans les creusets de la peur. La peur climatique commençait à voir son bateau catastrophique prendre l’eau rafraichissante dès la fin de 2019 au vu de la discordance qui s’aggravait entre les prévisions du GIEC et les mesures de températures globales mesurées. Le virus est donc tombé à point nommé (?) pour reporter l’attention des masses sur un virus nouveau parmi les nombreux qui se créent en permanence par mutation interne ou recombinaison avec d’autres types de virus. Le spectre d’une épidémie qui isolerait, parquerait, musèlerait de nouveau des millions de personnes comme à Wuhan suffit à créer le réflexe du « jamais

Les chiffres parlent et les mensonges israéliens apparaissent au grand jour

  Les chiffres parlent et les mensonges israéliens apparaissent au grand jour La presse française continue son œuvre de désinformation sur la réalité des faits dans le conflit israélo-palestinien. Les images et les chiffres servis à satiété sur le massacre des Israéliens dès le 7 octobre et les images nous ont été livrées par les médias comme des certitudes ne souffrant aucune contestation. Une manifestation importante cornaquée par le gouvernement et la bienpensante politique a réuni une France plutôt conservatrice mêlant des pro-israéliens, des humanistes horrifiés, et des apeurés sur la tournure des évènements en France. La présence des musulmans et des autorités musulmanes a été faible. Le nombre limité de participants, vu l’incitation de l’exécutif, cache néanmoins mal une profonde division du pays et son malaise d’identité et de sécurité. Celui-ci vient de la non-intégration d’un nombre croissant de musulmans et d’émigrés clandestins ou non, la plupart sans travail, de la volon

Désinformation climatique ou manipulation médiatique_3