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La Vérité n’est plus dans les discours des politiques, des médias et même des médecins (2ème partie)

 

La Vérité n’est plus dans les discours des politiques, des médias et même des médecins (2ème partie)

Nous voilà dans une phase de propagation de la peur où la certitude d’une attaque d’un nouveau variant, car on est déjà à la lettre µ (Mû), pour pouvoir nous parler d’une troisième dose de vaccin et même d’une quatrième en Israël. Comme l’a avoué un cadre de Pfizer, Israël est son laboratoire d’essai. Donc notre avenir est déjà écrit, on devra faire comme Israël et prendre un abonnement dans les vaccinodromes pour une dose tous les 6 mois voire plus souvent.

Israël détient-il la recette miracle ?

 

En Israël la vaccination a commencé le 19 décembre 2020 juste avant que le nombre de cas (tests positifs) croisse très rapidement jusqu’à un pic de cas le 17 janvier alors que la vaccination 1 dose n’avait atteint que 25,1% de la population et 3,8% pour 2 doses. Le pic des décès a eu lieu huit jours plus tard. Le nombre de cas a amorcé une descente rapide qui a d’ailleurs été de 27,5% en 3 semaines avec une variation de seulement 16,1% de l’augmentation 1 dose. Cette descente rapide des cas s’est prolongée sur 5 mois et s’est terminée début juillet avec un taux de vaccination de 62,5%, soit 2,5 fois celui du pic de cas. Notons que les 2/3 de la baisse des décès a été réalisée alors que le taux de vaccination n’est passé que de 31,5% à 53,84%. On pourrait y voir l’atteinte de l’immunité collective provoquée par le vaccin. Or, si le nombre de cas est passé par un minimum le 18 juin avec 62,5% de vaccinés 1 dose, malheureusement dès la fin juin, soit 10 jours plus tard, le nombre de cas recommence à croître très rapidement.  Le 14 septembre, malgré la vaccination massive à 68,9% 1 dose et 63,3% 2 doses, le nombre de cas dépasse de 28% celui du pic du 17 janvier et le nombre de décès est revenu au même niveau que le 16 février soit 7 mois avant ! La comparaison provisoire entre les nombres de cas et de décès du pic du 17 janvier et la situation au 14 septembre montre que le nombre de décès est plus de 2 fois moins important, et que les cas sont de plus de 25% plus nombreux à ce stade de l’attaque virale du variant delta.

La vaccination en Israël fait-elle mieux qu’ailleurs ?

Israël, pays cobaye et de référence choisi par Pfizer, est-il la preuve de l’efficacité vaccinale ? Il est intéressant de confronter les résultats obtenus par Israël avec une stratégie vaccinale forte et deux autres pays qui n’ont pas basé leur stratégie sur la vaccination ou tout au moins pas exclusivement. J’ai choisi l’Inde et le Sénégal. L’Inde va devenir en 2021 le pays le plus peuplé du monde et après avoir opté pour une stratégie essentiellement vaccinale s’est désormais tournée aussi vers un traitement hospitalier à l’Ivermectine. Le Sénégal s’est essentiellement tourné vers le traitement hospitalier précoce à base d’hydroxychloroquine selon un protocole copie de celui du Pr Raoult. On a donc bien affaire à trois stratégies différentes.


Alors qu’observe-t-on sur le graphique d’évolution de leurs décès et de leurs vaccinations ? II saute aux yeux que les pics de décès/jour/million d’habitants sont beaucoup plus importants en Israël que dans les autres pays et qu’ensuite la baisse après le deuxième pic est très semblable à la précédente malgré une vaccination importante rapidement mise en œuvre. L’Inde a un pic de décès 2,5 fois plus faible en nombre de décès et a commencé plus tard et beaucoup moins activement la vaccination. Il est donc impossible que la baisse qui s’en est suivie soit due à la vaccination. Quant au Sénégal il n’a pas connu d’augmentation des décès au-delà de ceux d’une grippe banale en France.

Israël a dépassé les 60% de population totalement vaccinée le 23 juillet 2021, alors que celle de l’Inde était près de 10 fois moins importante. A la même date le nombre de décès/habitant en Israël était plus de 3 fois supérieur ! La comparaison avec le Sénégal est encore plus défavorable à Israël. Le 23/07/21 seulement 1,5% de la population sénégalaise était totalement vaccinée, donc 40 fois moins qu’Israël. A la même date, le nombre de décès/habitant était 3,7 fois inférieur à celui d’Israël.

Au passage de la quatrième attaque d’un variant du coronavirus, les chiffres amplifient la différence entre ces trois pays et en particulier avec Israël. Le 16 septembre 2021, la vaccination complète en Israël a atteint 63,4% de la population, 13,4% en Inde soit près de 5 fois moins, et 3,3% au Sénégal soit 19 fois moins. Les politiques vaccinales sont donc bien très différentes. Le nombre de décès/jour/million d’habitants lissés sur une semaine s’affiche à 2,47 en Israël, à 0,23 en Inde soit plus de 10 fois moins, et à 0,133 au Sénégal soit près de 19 fois moins !

Le moins que l’on puisse dire c’est que la politique vaccinale israélienne est beaucoup moins efficace que celles menées en Inde et particulièrement au Sénégal. Les chiffres sont implacables. Il serait étonnant que l’Inde, d’où le variant delta est originaire, et le Sénégal, soient plus épargnés par cette attaque qu’Israël qui a déjà déclenché une troisième dose. L’Inde et le Sénégal utilisent peu ou prou une stratégie clinique avec des succès incontestables. Le traitement français de l’IHU de Marseille, fortement attaqué en France et dans les instances sanitaires américaines et européennes, montre aussi une efficacité qui ramène l’épidémie à un taux de mortalité faible et comparable aux attaques grippales. Compte-tenu que les effets secondaires de la vaccination apparaissent de plus en plus comme non négligeables, et selon certaines études en plus grand nombre que pour les vaccins utilisés jusqu’ici, et qu’ils touchent des personnes saines, l’utilité de la vaccination de masse doit être remise en cause.

On ne peut pas définir une politique sanitaire sur ce type de virus sans un débat scientifique de haut niveau qui apporte des preuves incontestables de l’intérêt de cette vaccination, preuves qui n’existent que sur des documents des producteurs de vaccin, non validés par l’ensemble de la communauté scientifique, et qui ont été pris pour argent comptant sans véritable travail scientifique de vérification et dans l’urgence. Les producteurs ont non seulement dégagé leur responsabilité sur les effets secondaires à court terme mais n’ont donné aucune assurance sur les effets à long terme. Il s’avère que le principal sujet de travail des grands labos a été de vérifier que le vaccin n’allait pas susciter une floppée d’effets secondaires qui auraient rapidement discrédité leur campagne de vaccination à vocation planétaire. L’Afrique nous montre qu’une autre voie est possible. Alors ?



Tout au long de mes articles j’ai accumulé un grand nombre de preuves de l’inefficacité des vaccins ARN messager mais il était bon de les réactualiser en prenant des pays phare dans ce combat contre les coronavirus. Ce qui est de plus en plus certain, c’est que les traitements hospitaliers précoces faits selon un protocole strict avec des substances connues, dont la nocivité a été vérifiée nulle depuis longtemps, sont bien une solution qui aurait évité tout cet affolement avec des conséquences gravissimes sur tous les plans sauf pour Big Pharma et certains opportunistes. On doit véritablement s’interroger sur la finalité de cette campagne planétaire en dehors même des bénéfices colossaux de Big Pharma. La mise sous tutelle des populations n’est pas anodine et maintenir un couvercle au-dessus des têtes de nombreux peuples, en particulier européens et américains, relève d’une stratégie où la santé des peuples ne tient plus la plus grande part car d’une part l’efficacité de la vaccination reste à prouver, et d’autre part des traitements cliniques existent dont l’efficacité est inconstatable quoiqu’en disent les politiciens, les pseudo-scientifiques et les corrompus qui refusent le vrai débat.

Dans le prochain article l’étude comparative entre les continents amènera des confirmations sur les stratégies vaccinales et leur efficacité.

Les esprits de plus en plus formatés sombrent dans la peur et dans l’idolâtrie.

C’est l’état second où plus rien ne choque et où tout est acceptable.

Le licou de plus en plus serré ne fait même plus mal.

On sombre même dans un certain masochisme.

Souhaitons que pour tous ces yeux fermés

Le réveil ne soit pas vraiment trop brutal

Et que tous les montrés du doigt

Finissent par les plaindre

De leur cécité.

Claude Trouvé

17/09/21

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