Une élection présidentielle de cache-misère (suite) Depuis mon précédent article Macron a été réélu à la Présidence pour 5 ans ou pour 7 ans, avec l’idée de révision constitutionnelle qui n’a pas été écartée pour l’instant. Les débats de la campagne présidentielle ont soigneusement évité de discuter des sujets de géopolitique dont l’appartenance de la France à l’UE mais aussi de la place de l’UE, qui nous régit, dans le monde futur. Ceux-ci ont quasiment été passés sous silence et réduits à une stigmatisation d’appartenance du parti RN à la tutelle de l’ennemi russe. Il reste, en dehors de Zemmour, quelques allusions dans les programmes de certains sur le souhait de secouer la tutelle européenne et de sortir de l’OTAN. C’était néanmoins l’aveu d’une partition du monde à propos de l’Ukraine avec un positionnement de plus ou moins tous les pays du monde dans le camp du bien, le nôtre, ou dans le camp du mal, celui du soutien à la Russie et à la Chine. On constate au passage que...