Donald Trump transfert son ambassade de Tel-Aviv à Jérusalem
dont certains pensent que c’est la ville du monde qui doit rayonner sur toute
la planète sous le prétexte d’être le carrefour des trois religions du Livre.
Cette vision est un leurre car le carrefour visé par les puissants est la City,
enclave mondiale de la finance à Londres. J’ai eu l’occasion dans des articles
précédents de développer ce point de vue en s’appuyant sur les évènements
circonstanciels à portée mondiale ou nationale. Parmi eux il faut retenir les
discours de Sarkozy et de Hollande sur notre entrée inéluctable dans le NOM, que
nous le voulions ou non, et l’allégeance faite par le pape François baisant les
mains du puissant duo Rockefeller-Rothschild lors de leur rencontre aux
Etats-Unis. Ce baiser, signe d’allégeance, n’avait rien à voir avec le baiser de
Jésus sur le pied de Madeleine.
Si je reviens sur l’action du NOM, c’est qu’une
nouvelle importante étape se joue avec le Brexit. Il est désormais
historiquement connu que l’UE est une construction des Etats-Unis reproduisant
le modèle d’une Europe unifiée du Reich, selon le schéma adopté par Hitler. Il
est avéré aussi que Jean Monnet a été l’agent choisi et payé par les Etats-Unis
pour mettre la nouvelle Europe sur les fonds baptismaux. Il convient néanmoins
de dire que lorsque l’on parle des Etats-Unis, il faut faire une distinction
entre le peuple, les représentants du peuple et les grands
banquiers-commerçants apatrides. Ces derniers sont les véritables promoteurs du
NOM. Ils n’ont aucune considération pour les peuples, et ils cherchent à
instituer une domination sans partage sur le monde par le pouvoir de l’argent.
Ils corrompent les dirigeants des Etats ou les font disparaître politiquement
ou physiquement grâce à la complicité de la CIA, du MI6 et du Mossad ou aux
armées occidentales.
Pour le NOM, l’ennemi à abattre c’est les Etats eux-mêmes qui
n’ont d’existence que par leur indépendance et leurs moyens de l’affirmer par
la force et la monnaie. Le NOM va détruire les Etats, Etats-Unis y compris,
pour construire un Etat-Monde soumis à un pouvoir central, celui du profit et
du servage des peuples. La construction européenne avec cette allégeance à
l’OTAN a eu pour but de détruire leur indépendance et jusqu’à leur monnaie par
l’euro. Cette phase est arrivée à son terme et doit rester un modèle
intermédiaire à répandre dans le monde avant le regroupement final. Le NOM fera
donc tout pour maintenir l’existence de l’UE et Macron est mandaté pour cela
car la France ne doit pas inciter les autres Etats à la sortie. Le couple
franco-allemand est aussi mandaté pour veiller au grain en épine dorsale de la
pérennité de l’UE. Le traité d‘Aix-la-Chapelle en atteste.
Mais en même temps le NOM veut la sortie de l’UE pour le
Brexit. Paradoxal ? Pas du tout, le Royaume-Uni est un Etat particulier
parce qu’il abrite la City, c’est cette dernière qui est l’objet de toute
l’attention du NOM. La City sera le centre du Nouveau Monde. Il fallait
l’extraire de l’UE pour la poursuite des actions vers la globalisation car ce
sera le pôle central de la Grande Finance. La BCE apparaîtra alors comme bien
modeste avant de disparaître. Il faut à ce sujet repenser à l’élimination de
Strauss-Kahn, directeur du FMI, pour avoir osé tenter, pour la Fed, de sauver
le dollar comme unique monnaie de réserve internationale. Sans rentrer dans les
détails, le NOM ne peut supporter que le dollar domine, car cela signifierait
que les Etats-Unis seraient indestructibles. La monnaie mondiale doit être la
monnaie du NOM et Strauss-Kahn a été éliminé.
Le Brexit se fera parce que le NOM l’a décidé et le
jeu des partis anglais n’est qu’une mascarade où l’on se bat pour une sortie
avec ou sans accord. La reine d’Angleterre a mis le sceau royal sur la sortie,
or elle est le puissant emblème du NOM. Le Royaume-Uni est agité par le Medef
anglais où se rassemblent, hors des grands lobbies apatrides, les entreprises
exportatrices britanniques qui pensent perdre de l’argent avec un Brexit dur.
Ceci n’est d’ailleurs pas prouvé sauf peut-être pour les sociétés de services.
Il est assez cocasse et navrant à la fois de penser que le peuple, sans le
savoir, en votant majoritairement le Brexit, a encore fait le lit du NOM qui se
fiche totalement d’eux. Néanmoins la sortie est une bonne affaire pour les
britanniques parce que la City veille sur eux avant qu’ils ne deviennent in
fine un peuple sans identité comme les autres.
Si l’on ne fait pas cette analyse, on se perd dans un
brouillard géopolitique sciemment entretenu où les fils directeurs ne sont que
ceux manipulés par les marionnettes et cachent le marionnettiste mondial qui
déroule phase par phase la conquête du monde. Il est évident que la France doit
sortir au plus vite de l’UE pour se donner une chance de ne pas subir le
rouleau compresseur du NOM et elle devrait entraîner avec elle la dissolution
de l’UE. Cependant il y a peu de chances qu’il en soit ainsi avant de succomber
comme la chèvre de Monsieur Seguin. La gouvernance de la France et sa
représentation politique sont déjà captées par le NOM et la sortie de l’UE est
un acte conspué et affublé de catastrophisme depuis quarante ans. Il reste le
peuple et les Gilets Jaunes viennent de montrer qu’il a un vrai pouvoir s’il
est décidé à le montrer. Le NOM se moque des peuples, seul leur puissance de
travail l’intéresse avant leur remplacement par des robots. Alors seuls les
peuples peuvent sauver leur Etat, son indépendance et la liberté de choisir
leur destin.
Cela demande néanmoins un soulèvement général auquel
gouvernement, syndicats et partis, n’apporteront aucune aide réelle à une prise
de conscience du destin que l’on prépare pour eux et de l’identité des
véritables commanditaires. Ceux-ci sont plus loin que Macron, plus loin que
l’UE et vivent dans une opulence que même Carlos Ghosn peut jalouser. Leur
emprise est sur le monde entier. Par exemple les banques Rothschild sont dans
180 des 193 pays du monde. C’est dire la taille et la puissance de l’adversaire
des peuples. Toutefois l’histoire n’est jamais écrite d’avance et la prise de
conscience des français est désormais en cours. Les élections européennes
approchent, et il faut œuvrer par le Frexit pour détruire l’UE, château fort
voulu inexpugnable par le NOM jusqu’à ce qu’il en décide autrement. Ce serait
une grande victoire et une première embûche sur le chemin de la disparition des
Etats souverains et indépendants. Soyez persuadés que tous les Etats du monde sont
dans le collimateur, y compris les Etats-Unis, la Russie et la Chine. Ce n’est
pas pour rien que ces deux derniers tentent d’imposer une autre monnaie de
réserve, accumulent de l’or et se renforcent militairement. Pour combattre les
Etats-Unis ? Pour affirmer leur
existence et leur indépendance.
Mondialisme en Occident et multilatéralisme à l’Est
sont face à face. Espérons que tout cela ne finira pas dans un bain de sang
parce que le NOM sait mobiliser les forces armées et mener des actions
belliqueuses cachées par des services occidentaux et israéliens qui échappent
même aux chefs d’Etat. Ceci est parfaitement clair aux Etats-Unis, siège
d’affrontements permanents au plus profond des pouvoirs officiels et occultes.
L’ingérence dans les affaires du Venezuela n’est qu’une parmi les nombreuses
démolitions des Etats par soulèvement du peuple contre ses gouvernants élus.
Repensez à l’Ukraine, à la Syrie, et à l’action de la France dans l’Afrique
occidentale. Le NOM applique son droit d’ingérence par armées, services secrets
et Etats interposés. Il est bien réel, même s’il reste une nébuleuse d’autant
plus redoutable qu’elle est cachée et ne laisse apparaître que des traces dans
les groupes Bilderberg, Trilatérale et CFA ou des réunions comme Davos. Si vous
croyez que j’hallucine, partez de cette vision géopolitique et appliquez là à
la compréhension des évènements à venir. C’est ce que je fais depuis 4 ans, et
rien ne m’a permis jusqu’ici de la considérer comme fantasmatique. Essayez.
Les Etats doivent
disparaître, c’est en cours pour la France.
Elle n’a déjà plus de
monnaie et plus de frontières
Mais elle perd aussi la
maîtrise de son budget
Et va vers une
collusion avec l’Allemagne
Qui signifie une
nouvelle perte
De son indépendance
Comme le veut
Le NOM !
Claude Trouvé
24/01/19
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