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L’ARNAQUE sur un pays que l’on enchaîne !

 L’ARNAQUE sur un pays que l’on enchaîne !

Notre Président, chef de guerre, vient d’apparaître comme le général d’une armée en déroute après un discours sacrificiel de son pays. On se croirait en juin 1940 ou à Dien-Bien-Phu. Ce chef de pacotille, ou bien ne fait qu’obéir à des ordres venus d’ailleurs comme certains autres chefs d’Etat européens, ou bien il ne maîtrise plus rien. Le résultat est de porter la France dans le peloton de tête des trois pays gérant le plus mal cette reprise des décès de la COVID-19 ou d’un variant du virus initial en cours de propagation.

On nous ment !

L’alarmisme général n’a pas de raison d’être.

La vague actuelle est pour l’instant de bien plus faible ampleur et bien moins brutale que la précédente en mars-avril. Le graphique de comparaison des 2 vagues pour la France en est l’illustration.

La propagation inquiétante du virus n’est pas générale dans l’ensemble de l’Europe mais circonscrite aux pays pratiquant une politique de tests forcenée sur une population peu immunisée.

Dans l’ordre décroissant de son ampleur on trouve l’Espagne, la Belgique, la France, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, l’Italie et le Portugal. Tous ces pays ont commencé une forte politique de dépistage avant le début de la vague !

Pas de rebond en Finlande, Suède, Norvège, et Biélorussie ni en Chine et en Corée du Sud.

Un simple rebond de très faible ampleur pour l’instant en Suisse, au Danemark, en Allemagne, en Autriche, en Irlande, en Grèce, et même au Japon !

C’est le taux de mortalité qui est représentatif de la dangerosité d’une épidémie et non le nombre de cas.

Les décès sont essentiellement des personnes âgées hors de la vie active et déjà en danger avant.

Pas de rebond en Finlande, Suède, Norvège, et Biélorussie ni en Chine ni en Corée du Sud.

Les pays où le masque est obligatoire à l’extérieur n’ont pas de meilleurs résultats sanitaires que les pays où on ne le recommande pas.

L’efficacité du couvre-feu n’a été prouvée par aucune étude sérieuse mais son incidence négative sur l’économie est évidente. D’ailleurs on vient de passer au confinement généralisé dont l’efficacité ne peut être prouvée que sur le ralentissement de la propagation intéressant les moyens hospitaliers mais retardant l’inexorable immunisation collective. Tant que le virus n’a pas perdu de sa dangerosité on le paie plus tard c’est tout, mais on a détruit l’économie, l’éducation, le culturel, augmenté la pauvreté par des mesures liberticides et répandu une psychose de peur…


La Suède n’ayant pas confiné en mars-avril-mai a eu plus de décès/habitant que nous, mais elle n’est pas touchée par le rebond et nous allons dans peu de jours rattraper voire dépasser son nombre global de décès/million d’habitants. La différence sur la vie économique, culturelle, sociale, éducative entre nos deux pays vont montrer combien la politique sanitaire de notre pays est suicidaire.

La peur et les mesures liberticides répandues par le pouvoir sur la France sont incompréhensibles si elles visent réellement la santé publique !

Mais n’ayons pas peur d’être cyniques !

Les tests tuent plus… Comment peut-on oser dire cela ? Un test ne tue pas (sauf introduction du virus pendant le test… l’erreur est humaine), il ne permet que d’effectuer une mesure de la positivité du patient, donc la présence du virus qu’il a reçu. Et pourtant si, les tests tuent, c’est ce que je vais essayer de vous démontrer.

Force est de constater que sur des populations peu immunisées plus les pays lancent de grandes campagnes de tests virologiques, tests qui déterminent la présence ou non du virus, plus les décès augmentent en gros dans la quinzaine qui suit. On peut parler d’un lien indirect mais il n’en reste pas moins que l’ampleur de la campagne de dépistage a une conséquence sur les hospitalisations et les décès, deux sujets sensibles qui guident toute politique sanitaire.


Selon les statistiques de la Santé publique on note que non seulement 59% des décès concernent des personnes de 80 ans et plus mais 81% des décès concernent des personnes de 70 ans et plus.

Selon une étude chinoise sur des milliers de personnes les personnes âgées hospitalisées et contaminées représentent les ¾ des décès dus au virus. Cette proportion a été confirmée par l’IHU de Marseille pour ce qui la concerne. Le chiffre de 81% des décès chez les personnes de 70 ans et plus est donc à retenir au regard de la situation actuelle de dépistage forcené de la propagation du virus.

Le Ministère de la Santé Publique nous donne accès à une information supplémentaire sur la répartition des tests positifs et négatifs par âge. Il apparaît que seulement les personnes de 70 ans et plus ne sont testées positives que pour 12% d’entre elles et que parmi elles les personnes de plus de 90 ans sont très peu testées positives. Ceci montre que l’immunisation naturelle ou provoquée par les vaccins augmente avec l’âge.


Si on regarde maintenant la pyramide des âges au 1er janvier 2020 publiée par l’INSEE, nous avons un total de 9 848 000 personnes de 70 ans et plus se répartissant en 5 693 000 entre 70 et 79 ans, de 3 245 000 personnes entre 80 et 89 ans et 910 000 personnes de 90 ans et plus. Si nous voulons arriver à tester l’ensemble de la population, puisque l’on ne cesse de battre des records de dépistage en France, on a une population de 9 848 000 personnes qui, si l’on tient compte des différences de positivité par catégorie d’âge et du nombre de personnes dans cette catégorie, donne le résultat suivant :  Un total à prévoir sur l’ensemble de cette population âgée de 376 000 tests positifs se répartissant en 228 000 de 70 à 79 ans, 130 000 de 80 à 89 ans, et 18 000 de 90 ans et plus.

Tous âges confondus on est au 28 octobre à un total de 1 297 429 tests positifs depuis le début de l’épidémie dont 661 200 soit 60% depuis le 15 juillet. On est donc bien au-delà des tests positifs potentiels des personnes âgées dont le taux de létalité est le plus élevé.

Si enfin on tient compte du taux de létalité par catégorie d’âge donné par la Santé publique, on a un nombre potentiel de décès à prévoir chez les personnes âgées de 103 000 depuis le début de l’épidémie se répartissant en 51 000 de 70 à 79 ans, 48 000 de 80 à 89 ans et 4 000 de 90 ans et plus. Nous n’en sommes qu’à 35 785 décès au 28 octobre tous âges confondus. Dans l’état actuel de la dangerosité, si l’on teste en urgence toutes les personnes âgées, on est conduit tout droit vers une saturation des moyens hospitaliers car une personne âgée a souvent des comorbidités. Il décèdera souvent non pas du virus mais avec le virus à cause d’une autre comorbidité. En ciblant les maisons d’hébergement par décision sanitaire soit de l’ordre de 13% de cette population âgée on a déjà un total prévisible de 13 000 décès sur les 103 000 prévisibles. On voit donc que notre politique de tests peur influer directement sur le nombre décès. En augmentant le nombre de tests et en ciblant les personnes à risques ou âgées, il est évident que le nombre d’hospitalisations va croître rapidement et le nombre de décès avec une augmentation du taux de létalité. Compte-tenu de la politique sanitaire suivie, la deuxième vague n’est alors que son résultat prévisible.

Si on fait le même type de calcul sur le reste de la population, dite population active, on a un potentiel d’un nombre total de décès à prévoir de 13 000 décès à comparer aux 103 000 pour les personnes âgées sur un total de 116 000 décès prévisibles tous âges confondus depuis le début de l’épidémie. Ces chiffres appellent de profondes réflexions sur la politique sanitaire engagée de re-confinement généralisé à résidence, politique la plus mauvaise économiquement, culturellement, socialement et psychologiquement.

En effet remontons plus loin avec la statistique la plus récente du 20 octobre sur la répartition des tests positifs et négatifs selon l’âge, on constate que 6% des tests positifs ou cas confirmés sont relevés sur les personnes âgées de 80 ans et plus. Donc 94% des tests positifs concernent des personnes de moins de 70 ans. Autrement dit les personnes jeunes ou en activité, qui représentent la très grande majorité de la population, ne sont pas celles qui risquent de saturer les hôpitaux puisqu’elles produisent globalement 7 fois moins de décès. On peut d’ailleurs raisonnablement dire que, sur les 36 020 décès du 29 octobre, les décès des personnes de 70 ans et plus représentent au moins, compte-tenu de la politique actuelle plus ciblée sur les personnes à risques, 31 775 décès souvent prématurés de quelques semaines ou quelques mois.

Si maintenant nous ne parlons plus de vies sauvées à l’instant t mais des années de vie sauvées en termes d’espérance de vie, puisque je veux être cynique jusqu’au bout, que verrions-nous ? Que les vies n’ont pas toutes le même prix parce que les espérances de vie sont différentes selon les âges des personnes. La mort d’un enfant entre 0 et 10 ans c’est environ 80 années de vie perdue, celle d’une personne de 80 ans ce n’est plus que 5 ans. Si l’on reprend les chiffres de répartition des décès dus au virus par catégorie d’âge des personnes âgées, on trouve 2 à 3 ans de vie supplémentaire des 90 ans et plus pour 4 000 personnes potentiellement décédées, 5 ans de plus à vivre pour les 48 000 personnes de 80-89 ans, et 11ans pour les 51 000 personnes de 70-79 ans. Le décès de toutes ces personnes enlèverait, dans un avenir plus ou moins proche et si cela arrivait aujourd’hui, un total de 811 000 années de vie.

Le même calcul fait sur les autres tranches d’âge plus jeune en prenant le raccourci des personnes en moyenne de 40 ans, en pleine vie active, on trouve une espérance de vie moyenne de 36,3 ans selon l’INSEE sur 13 000 décès potentiels et un total d’années de vie perdue de 472 000. Sur un total de 1 282 900 années de vie potentiellement perdues la perte sur la population soutenant l’économie du pays représente 36,8% du total alors que le nombre de décès n’est que 11,2% du total. On en déduit qu’un décès dû au COVID d’une personne jeune a trois plus de « prix de vie » qu’un décès d’une personne âgée en termes de survie d’un pays. A 83 ans je peux me permettre d’assumer ce calcul cynique mais c’est ainsi que raisonnent les assurances vis-à-vis des décès ainsi que la justice pour les dédommagements financiers.

Or que fait notre politique sanitaire ? Elle envoie les enfants à l’école dans des conditions détériorées d’apprentissage et les adultes productifs au travail dans les lieux de contamination pour les reconfiner ensuite chez eux tout en surchargeant les hôpitaux de personnes âgées et les laboratoires d’une frénésie de tests. Or les principaux lieux de contaminations ont les entreprises et les résidences. Si la dangerosité du virus se maintient on est devant une prévision de 116 000 décès potentiels dont nous n’avons eu que 36 020 décès au 29 octobre soit une prévision de plus de 80 000 décès potentiels à venir. En cassant la propagation par le confinement de la population, après avoir constaté que l’avantage du confinement ne peut se révéler efficace que dans l’étalement des entrées en hospitalisation, on retarde d’autant l’immunisation naturelle mais on ne diminue pas le nombre de décès que le virus peut créer. Ce confinement ne peut pas éliminer l’inexorable marche du virus et des décès. L’urgence pour les hôpitaux, qui prévaut actuellement, ne se résout pas par le confinement mais par une mise de moyens en urgence (cliniques privées, service de santé de l’Armée, formation accélérée pour occuper des postes à responsabilité supérieure, hôpitaux de campagne, dispersion des malades dans les endroits les plus disponibles et compétents de l’ensemble des malades). C’est un véritable plan de guerre auquel nous devrions assister.

Le maintien du confinement ne peut être temporaire et devra se poursuivre de longs mois car, à raison même de 500 décès par jour, il faudra 160 jours soit 5 mois et demi de plus pour en voir le bout. Mais il est sûr alors, si cette situation de mort programmée perdure, que notre pays aura ouvert une situation à la grecque, un endettement jusqu’au cou, une économie détruite, un peuple soit tétanisé soit révolté. Sinon la France signera soit un statut de dépendance à la Grande Finance, soit subira un moment historique où le prix du sang et des larmes sera cher payé. Notre destin est passé entre les mains des grands laboratoires d’une part et d’autre part son affaiblissement laisse grand ouverte la porte d’un conflit civilisationnel dans une guerre intérieure que nous n’avons pas voulu voir venir mais qui nous considère comme le maillon faible et ouvre les portes du cheval de Troie.

Après la valse-hésitation sur les masques, dont au moins 6 pays d’Europe se passent très bien, et qui ont leur propre nuisance, le confinement a prouvé qu’il tuait l’économie mais pas le virus. Nous n’avons plus l’excuse de la première erreur, nous sommes parmi les 3 pays européens les plus touchés, et nous recommençons les mêmes erreurs. Ceci est d’autant plus impardonnable que des petits pays comme le Danemark, la Norvège, la Finlande et même la Suède nous montrent la politique sanitaire et économique à suivre. Nous punissons une sommité médicale parce qu’elle montre et prouve comment on peut faire baisser le taux de létalité par un protocole trop peu couteux pour intéresser Big Pharma. On arrête même les essais Discovery pour éviter toute possibilité à ce protocole d’être reconnu officiellement alors que les essais préliminaires du protocole Raoult étaient les plus prometteurs. Alors une question se pose : « Pourquoi veut-on tuer la France ? ». Comme une antilope aux pieds entravés, la France ligotée par l’UE, offre aux grands prédateurs l’occasion d’en faire une dépouille fumante que la lionne médicamenteuse et l’aigle allemand viendront dévorer à la lumière du croissant islamique. « Ami entends-tu le bruit sourd d’un pays qu’on enchaîne ? » Alors debout mes chers concitoyens, nous sommes le Peuple et seul le peuple est souverain… On nous enfume alors levons-nous avant d’être asphyxiés !

Frappée au cœur par une guerre civilisationnelle

La France de la peur se poignarde elle-même

Laissant les prédateurs et un pouvoir acheté

L’épuiser dans un combat vain programmé

Sur deux fronts où l’un a été nié hier

Et l’autre où aucune stratégie

Ni aucun plan de campagne

Ne sort de l’Etat-Major

Où le Général parle

Dans la déroute

D’un demain

En reculade

Incessante !

Claude Trouvé

29/10/20

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