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COVID : Mensonges, occultations et contre-vérités

 

COVID : Mensonges, occultations et contre-vérités

En cette mi-février les informations sur la pandémie ne cessent d’être envahissantes, autoritaires et apparemment contradictoires laissant de nombreux peuples dans le désarroi et en proie à des querelles internes.

La France, particulièrement affectée et informée par une communication sur le principe du « en même temps », manie la peur et l’espoir au gré d’une indécision occultant un vrai but, celui d’une politique mondialiste prête à se servir de toutes les armes pour noyauter les peuples sous la férule du monde restreint des puissances financières. Les grandes peurs sont leurs outils, les guerres, le climat, les pandémies en font partie. Désormais la science biologique a accès à des avancées sur les génomes aux répercussions bienfaitrices ou dévastatrices qui touchent à la survie de l’humanité. La manipulation des virus est entrée dans le domaine du possible, l’origine naturelle ou non du COVID-19 n’est pas tranchée, et l’hypothèse d’une fabrication à des buts géopolitiques ne peut donc être écartée quand tant de nations se préparent à une guerre biologique.

Le point mondial actuel


Le véritable indicateur d’une pandémie est le nombre de décès, on ne doit pas avoir de cesse de le répéter devant une information qui brouille les esprits avec une multitude d’indicateurs dont l’emploi est réservé à des décideurs et des spécialistes de la santé. Dans le cas d’une propagation épidémique, qui par nature n’a pas de frontières, le premier indicateur est le pourcentage de décès/population et son évolution. Sur une période d’environ un an nous en sommes à 2,4 millions de décès, soit 0,032% de la population mondiale. Il ne s’agit pas pour l’instant d’une épidémie dite dévastatrice. C’est 2,6 fois moins que les décès dus à l’alcool, 6 fois moins que dus aux maladies cardiovasculaires, et 7 fois moins que par l’atteinte des voies respiratoires par l’ensemble des autres maladies infectieuses SIDA inclus. De plus son évolution est désormais déclinante depuis le 7 janvier 2021 sur le nombre de tests positifs (cas) et confirmée après le 20 janvier sur le nombre décès comme on peut le voir sur les graphiques ci-dessus. La situation apparaît donc globalement sous contrôle et nécessite de ne plus affoler les populations, même si la situation est très variable selon les continents et dans les pays qui en font partie. Les pays en difficulté le sont pour un manque de moyens sanitaires pour faire face à une surcharge des hôpitaux.

Et l’Europe dans tout ça ?

Si la pandémie n’est pas la cause d’une hécatombe de décès sans précédent, l’Europe (à l’ouest de la Russie) avec 1286 décès/million d’habitants le 11 février se caractérise par une surmortalité impressionnante par rapport au reste du monde avec 239 décès/Mh, soit 5,38 fois plus de décès/Mh. Il va bien falloir que cette différence soit analysée en particulier par rapport à l’Asie et surtout l’Afrique où l’on prédisait une catastrophe humanitaire de plusieurs millions de décès avec cette condescendance occidentale pour des pays dits retardataires. Prenons le cas du pays le plus proche de nous, l’Algérie. Avec 68 décès/million d’habitants dans sa population de 43 millions, l’Algérie a près de 19 fois moins de décès. Le Nigéria, avec une population de 200 millions, a 151 fois moins de décès et un taux de létalité (décès/cas) de 1,19% soit 2,2 fois inférieur à celui de l’Europe. Mais la Côte d’Ivoire, avec sa population de 25,7 millions, compte 193 fois moins de décès que l’Europe et un taux de létalité de 0,56% soit de 4,8 fois moindre que celui de l’Europe et égal à celui réalisé par le Pr Raoult dans son IHU de Marseille. Si l’on regarde l’Asie on peut laisser de côté la Chine, dont le palmarès est impressionnant avec un taux de mortalité plus de 388 fois inférieur mais ce chiffre est contesté sans preuve, pour s’intéresser à l’Inde dont les 1,4 milliards d’habitants ont un taux de mortalité plus de 11 fois inférieur au nôtre et un taux de létalité 1,87 fois moindre. La Thaïlande n’a que 80 décès parmi une population de 70 millions, soit plus 1100 fois moins que nous, et un taux de létalité plus de 7 fois moindre. Citons enfin le Laos qui ne déplore aucun décès. C’est la première fois que l’Europe réalise qu’elle vient de cocher dans la case Tiers-Monde toute honte bue.

Et la France dans tout ça ?

Sur le taux de mortalité la France reste sur une valeur très légèrement inférieure à la moyenne de taux calculée sur la population totale, ce qui veut dire que ce qui a été dit sur la place de l’Europe dans cette pandémie est applicable à la France. Son taux de mortalité est 5 fois supérieur à celui du Monde hors Europe. Il est remarquable de noter que la France et la Suède présentent le même taux de mortalité alors qu’ils ont pratiqué deux politiques sanitaires et économiques totalement différentes. La politique suédoise a le mérite de préserver la vie publique et économique tout en présentant un nombre de décès/habitants comparable à la France. Il n’y a vraiment pas de quoi pavoiser même si nous avons fait mieux que les pays du Club Med (Italie, Portugal, Espagne) et que le Royaume-Uni, mais moins bien que l’Autriche, les Pays-Bas, l’Allemagne, la Grèce, et le Danemark alors que les pays du Nord (Finlande, Norvège, Islande) ont réduit le nombre de décès en dessous de ceux d’une simple grippe. Il n’y a vraiment pas de quoi faire cocorico.

A-t-on eu une bonne efficacité hospitalière ?

Là encore la France ne brille pas sur le taux de létalité (décès/cas) et s’avère nettement moins efficace que la majorité des pays européens même si le Royaume-Uni et même étrangement l’Allemagne font encore moins bien. Le nombre de cas étant sujets à caution on peut se poser la question de savoir si la comptabilisation du nombre de cas est identique entre ces 3 pays. Mais si on compare la France et la Thaïlande, c’est un facteur de plus de 7 en notre défaveur ! J’ai d’ailleurs pu vérifier sur place l’efficacité des services hospitaliers thaïlandais. Voilà encore un constat amer de notre décalage grandissant entre notre puissance économique restante, qui alimente encore la propagande du satisfecit du pouvoir et notre accession au monde de demain avec des atouts tiers-mondistes.

Doit-on craindre les variants sud-africains, brésiliens, et anglais ?


On ne peut pas répondre sur ceux qui arriveront dans l’avenir mais sur ceux que l’on voit arriver en particulier les virus africain, brésilien et anglais. Il n’y a pas mieux pour l’instant que de regarder ce qui se passe dans ces trois pays et de comparer l’évolution des décès/habitants à ceux de la France. Sur le graphique ci-contre on note que le passage du virus dans l’Afrique du Sud est très comparable au passage du variant qui a sévi en France en novembre-décembre en France. Le variant brésilien n’apporte pas une dangerosité aussi importante pour l’instant mais elle est par ailleurs très étalée dans le temps. Il n’y a donc pas de quoi alarmer les français sur ces deux variants mais il faut gérer une situation au jour le jour. On note que le variant anglais en cohabitation sans doute avec un variant sud-africain a amené une poussée spectaculaire de plus courte durée avec une disparition en cours très rapide. C’est sans doute la cohabitation passagère de ces deux virus qui pourrait être à craindre en France, mais aucune prémisse d’une telle situation n’est notable actuellement.

Confinement, masques généralisés et vaccination sont-ils efficaces ?


La meilleure réponse est apportée par la comparaison avec la Suède pour ce qui concerne le confinement et les masques, et avec Israël pour ce qui concerne la vaccination. Comme je l’ai dit plus haut la Suède, après une évolution très différente des décès/habitants depuis le 1er mars 2020, finit le 17 février par un nombre cumulé de décès/habitants très proche de celui de la France. L’évolution journalière moyennée sur une semaine glissante depuis le 1er septembre est aussi très différente entre les deux pays avant d’arriver au même résultat. Le 15 janvier l’évolution journalière en Suède repasse même en dessous de celle de la France dans une phase descendante aussi rapide qu’Israël. Au contraire la France se retrouve dans la semaine du 8 au 15 février 2021 avec la même évolution journalière que dans la semaine du 5 au 12 décembre 2020, juste avant l’allègement du confinement pour les fêtes de Noël. La conclusion est évidente, toutes les mesures de confinement prises depuis le couvre-feu du 23 octobre n’ont servi à rien sur le taux de mortalité. En effet les contraintes de confinement et de muselage n’ont pas empêché le pic de décès du 15 novembre et n’ont pas baissé le taux de mortalité depuis le 12 décembre.

La comparaison journalière entre la Suède et Israël permet elle de se faire une première idée sur l’efficacité de la vaccination ? La Suède réticente au confinement et à l’obligation des masques l’est aussi pour la vaccination avec seulement 5% de la population vaccinée au 16 février alors qu’Israël qui veut apparaître comme le pays précurseur et cobaye pour la vaccination a déjà vacciné 78% de sa population soit plus de 7 millions de vaccinés avec au moins la première dose. Cette vaccination a commencé dès le 18 décembre et ce n’est qu’à partir du 29 janvier que l’on constate une diminution du nombre de décès journaliers alors que les 50% de vaccinés nécessaires à l’arrêt de la propagation du virus ont été atteints vers le 15 janvier soit deux semaines avant la diminution des décès. Si l’on ajoute à cela que ce sont les personnes de plus de 60 ans qui sont la part de population qui est visée avec 80% de celle-ci vaccinée depuis le 6 janvier, on peut en déduire que l’effet vaccinal un mois après ne s’est toujours pas fait sentir car la plupart des décès a touché cette tranche d’âge. Les diminutions journalières des décès observés dans les deux pays (Israël, Royaume-Uni) ayant vacciné une partie importante de leur population apparaissent donc comme un recul de la présence virale ou de sa dangerosité plutôt qu’un effet dû à la vaccination.


D’ailleurs dans les pays dont le taux de vaccination est inférieur à 5%, on observe une diminution des décès quasi-générale. Pour s’en convaincre, le cas du Portugal est particulièrement significatif comme le montre le graphique de l’évolution des décès/million d’habitants. La propagation de ce variant se traduit par une rapide montée et une tout aussi rapide descente des décès/Mh qui n’a visiblement rien à voir avec la vaccination qui ne touche que 5% de la population depuis son début à mi-décembre. Au passage on note que les mesures de confinement prises le 13 janvier ne peuvent avoir eu un effet aussi rapide dès le 27 janvier soit 2 semaines plus tard et aussi fort pour qu’elles puissent être attribuées à un tel recul des décès par vaccination.

Conclusion

En France il y a un monde entre le discours politico-médiatique et la réalité observable. Depuis une semaine la pandémie recule globalement et touche la plupart des pays. Il n’y a donc pas de lien prouvé entre les mesures sanitaires contraignantes et la vaccination comme on l’observe en comparant la France, le Royaume-Uni, la Suède et Israël. Le confinement et le muselage généralisés ne font pas leur preuve d’efficacité. La vaccination ne la montre pas non plus alors qu’Israël a vacciné la presque totalité des personnes de plus de 60 ans qui sont frappés de la plus grande létalité. On n’a donc toujours pas d’indications sur l’efficacité des vaccins contre les nouveaux variants, pas plus que sur l’absence de contagiosité des vaccinés. La politique sanitaire de la France relève plus de l’amateurisme, d’un but électoral, d’influences cachées du mondialisme avec Big Pharma en tête, que d’un aspect scientifique et d’une véritable stratégie de minimisation des dégâts physiques et psychiques de cette épidémie qui va perdurer dans le monde sans s’afficher comme une catastrophe humanitaire mais plutôt assimilable aux virus de la grippe par sa dangerosité. Les contraintes de confinement en dehors des cas positifs contaminants, le port du masque en dehors des circonstances de proximité bien définies et limitées au maximum, s’avèrent des mesures destructrices de l’économie et de la santé mentale de la population. La vaccination de masse en urgence, en occultant les étapes nécessaires à la validation complète, prend des risques qui s’apparentent plutôt à la roulette russe ou à une partie de poker menteur qu’à une démarche raisonnable devant une pandémie dont le taux de mortalité est finalement acceptable par rapport aux autres causes de décès puisqu’en un an ce 16 février il n’a affecté que 0,032% de la population mondiale. Quand on sait que des traitements précoces ont montré leur efficacité, il serait temps d’en revenir à une utilisation intelligente de la pharmacopée existante dont la faiblesse des risques est prouvée depuis des années et consacrer les centaines de milliards dépensés sur le vaccin aux maladies les plus mortelles.


Mais mensonges, occultations de la vérité tourneboulent les esprits de nos concitoyens qui vivent dans la peur. De toute évidence la politique de la Suède, à même impact sur le taux de mortalité, s’avère meilleure que celle de la France sur le plan psychique, social, culturel, éducationnel et économique. Or voilà ce que l’on peut lire sur francetvinfo.fr : « Les Suédois ont inventé un mot pour décrire leur ressenti : "Coronaskam", la honte du coronavirus. De très nombreux Suédois sont consternés par la stratégie de leur pays face à la pandémie de Covid-19. La Suède, avec 12 500 décès, compte désormais plus de morts par habitant que la France, et surtout beaucoup plus que ses voisins nordiques, la Norvège, la Finlande et le Danemark. » Oui la Suède a plus de morts que la Finlande et la Norvège mais sa densité de population urbaine est comparable à celle de l’Ile de France et 19 fois plus élevée que celle de la Finlande. Or on sait que le taux de mortalité est beaucoup plus élevé dans les espaces de concentration de population. On peut même dire que la Norvège et la Finlande auraient pu être beaucoup plus laxistes sur les contraintes sans provoquer des dégâts sanitaires importants et éviter ainsi une décroissance du PIB. C’est donc une information qui n’a pas de vérité objective sur la Suède dont la performance globale est bien meilleure dans cette pandémie. Mais le plus grave c’est que le taux de mortalité en France est de 1228 décès/million d’habitants le 16 février et de 1214 en Suède ce même jour ! Les commentaires faits sur la Suède s’appliquent donc à la France, mais les Suédois vivent presque normalement depuis un an !

Pouvoir incertain, vacillant, sous influence étrangère

Médias complaisants ou totalement aveugles,

Politique du « en même temps » sanitaire,

Propagande, enfumage, autoritarisme,

Telles sont les perspectives imposées,

A un peuple désinformé, muselé,

Qui sous la raison d’urgence

Est cadenassé à un vaccin

Dont les effets sur nous

Restent une inconnue.

Claude Trouvé

17/02/21

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