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Stratégie économico-sanitaire ? De qui se moque-t-on ? (1ère partie)

 

 Stratégie économico-sanitaire ? De qui se moque-t-on ? (1ère partie)

Efficacité du vaccin et du confinement

Compte-tenu des très faibles délais pris par les organismes de contrôle au niveau mondial, et européen afin de procéder à la validation d’un vaccin pour utilisation immédiate, la seule base preuve dont nous disposons est le dossier présenté par le fabricant, dossier contenant des essais cliniques sur des milliers de cobayes. J’emploie à dessin le mot de « cobayes » parce que les essais de phase 3, auxquels ils ont été soumis n’avaient pas franchi toutes les étapes obligatoires précédentes. Je peux parler du dossier statistique de Pfizer que j’ai pu étudier. Il m’est apparu comme une preuve bidon les données étudiées étant choisies en fonction du résultat à obtenir. Toutes les études statistiques en double aveugle sans tirage au hasard dans une base de données au moins dix fois supérieure en nombre de cas, ici de patients, sont sujettes à ce genre de manipulation. Pfizer n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai puisqu’il a déjà été condamné à 2,3 milliards de dollars pour actes frauduleux en 2019. Ce constat ne permet pas de dire que le vaccin est inefficace mais qu’on a aucune preuve qu’il le soit.

Il nous reste les essais réels dont on peut considérer qu’il s’agit de la phase 3 de validation en essais in vivo et une vaccination de masse. Le vaccin AstraZeneca est déclaré efficace par les autorités françaises après son injection à la population la plus âgée, en particulier dans les EHPAD, au vu du peu d’effets secondaires graves. Là encore il faut prendre en compte que cette population a représenté 25% des décès jusqu’alors, ce qui veut dire que les plus fragiles parmi eux ont eu un taux de mortalité beaucoup plus élevé et ont disparu en majorité. En conséquence la population restante réduite aux ¾ présente un meilleur taux d’immunité naturelle et moins de comorbidités. La probabilité d’effets secondaires à court terme y est donc réduite au minimum. Il est probable en plus que certaines personnes se sont vu prescrire des médicaments boostant leur immunité naturelle. Là encore il est très hasardeux de tirer des conclusions car la population a été triée et peut-être même mieux préparée à résister.

Le seul éclairage plus sérieux dont nous disposons aujourd’hui c’est la vaccination de masse dans deux pays pour l’instant au stade de dépassement de la moitié de la population : Israël et les Émirats Arabes Unis. Pfizer a communiqué que Israël était son laboratoire d’essai et 60% de la population israélienne est vaccinée et plus de 50% totalement. De même les Émirats sont vaccinés à 66%. La vaccination est commencée depuis le 18 décembre 2020 en Israël et le 23 décembre dans les Emirats. Effectivement le nombre de décès journaliers est en diminution depuis le 25 janvier pour Israël et le 21 février pour les Émirats, soit presque un mois plus tard alors que le début de vaccination n’était décalé que de 5 jours. La diminution des décès est plus rapide que celle de la France dont le nombre stagne même sur un plateau à tendance baissière depuis une semaine malgré un taux de vaccination de 9,3% atteint le 24 mars. Limiter son regard à cette première vue sur le graphique montrerait tout l’intérêt de la vaccination.


Si l’on admet que, selon les virologues, le vaccin atteint son efficacité 28 jours après la première injection et que le renversement de tendance des décès ne se produit que lorsqu’au moins 50% de la population est vaccinée, il en résulte que la diminution des décès postérieure au pic de décès en Israël, 5 semaines après le début de la vaccination, et avec 30% de la population vaccinée ne peut pas être due au vaccin mais soit à un ralentissement de l’agressivité du vaccin soit à une augmentation de l’immunité naturelle. Mais c’est la Suède qui va conforter ce constat car depuis le 8 février le nombre de ses décès journaliers suit de très près celui d’Israël avec un taux de vaccination de 8,9% 7 fois inférieur au taux d’Israël ! Au passage on voit qu’avec des taux de vaccination très proches le 18 mars la Suède, qui développe une politique sanitaire d’immunisation collective sans confinement autoritaire, obtient un résultat plus de 2 fois meilleur que la France. Mais on pourrait aussi observer que le Royaume-Uni obtient actuellement le même résultat avec moins de 40% de la population vaccinée après un pic très important le 24 janvier suivi d’une diminution très rapide des décès. Après un record du nombre de décès fin janvier on observe la même chose avec le Portugal avec seulement 12% de la population vaccinée. Non vaccinés, peu vaccinés et très vaccinés, se retrouvent ensemble le 24 mars avec le même nombre de décès/habitants et des pics de décès très différents dans leur ampleur et leurs dates d’arrivée.

Le graphique réduit à la période du 20 février au 24 mars illustre mieux cette convergence des décès qui détruit toutes les certitudes sur le vaccin et le confinement. On constate d’abord que l’ensemble des pays représentés, hormis la Suisse, sont dans une décroissance des décès contrairement au message passé en permanence par le pouvoir en France. Mais il est vrai que sa pente de décroissance n’est pas plus forte que celle de la Suisse. Israël avec ses 60% de vaccinés ne fait guère mieux que la Suède, la Suisse et les Pays-Bas en ce 24 mars. Si le Royaume-Uni semble en sortie d’épidémie, il ne fait que suivre le Portugal malgré une population trois fois plus vaccinée. On ne peut pas négliger le fait que le nombre décès en Israël ne diminue plus depuis une semaine alors que le taux de vaccination devrait commencer à faire significativement baisser alors que ce pays vaccine depuis le 18 décembre soit plus de trois mois et dépasse la moitié de la population vaccinée.

Depuis une semaine les États-Unis font mieux que nous mais leur descente n’est pas plus rapide pour l’instant. Le tableau ci-contre image plus précisément les comparaisons entre les pays. La proximité de résultat entre la Suède et Israël est évidente avec des politiques sanitaires opposées et une grande différence de taux de vaccination. Mais il est encore plus saisissant entre Israël et le Portugal. La question de la primauté du vaccin sur la décrue naturelle du virus est clairement posée.


Il n’y a pour l’instant aucun lien entre le taux de vaccination et la diminution du nombre de décès comme le figure le graphique ci-contre. Il est particulièrement révélateur que la Suède, les Pays-Bas, l’Allemagne, les États-Unis et Israël affichent une variation très proche du nombre de décès alors qu’ils ont des taux de vaccination très différents. Il en est de même entre le Danemark, le Portugal et le Royaume-Uni. Le taux de vaccination n’est pour l’instant pas plus fort que la dynamique naturelle du virus. Cela ne permet pas de juger de l’efficacité des vaccins.

Il existe une autre façon de regarder les résultats sanitaires obtenus par la vaccination en regardant la variation du nombre de décès entre les dates de début de la vaccination et la date du 26 mars, dernière date pour laquelle je dispose des résultats. J’ai choisi 22 pays représentatifs des plus avancés dans la vaccination, ou proches de nous, ou bien encore ayant une importance démographique et économique. Le tableau ci-dessous fournit les dates de première vaccination et le nombre de décès/jour/million d’habitants comme pour la date du 26 mars, ainsi que le taux de vaccination de la population obtenu à cette dernière date. On peut ainsi calculer le pourcentage de variation du nombre de décès durant la période de vaccination.

On note une grande dispersion tant des taux de vaccination que des variations du nombre de décès/jour/million. Gibraltar n’a pas été gardé dans la liste de ces pays car il s’agit d’un minuscule territoire malgré le fait que c’est ce pays qui a vacciné le plus grand pourcentage de sa population. Malheureusement c’est aussi celui qui a eu la plus forte augmentation du nombre de décès avec plus de 800%. La Palestine n’a disposé de quelques vaccins Spoutnik V que depuis le 15 mars. Quelque 60 000 doses de vaccins Pfizer/BioNTech et AstraZeneca leur étant attribuées par le dispositif Covax sont arrivées le 17 mars à l’aéroport Ben-Gourion de Tel-Aviv, selon une source sécuritaire israélienne.

On peut ainsi faire une représentation graphique croisée des pourcentages de variation des décès et des taux de vaccination. Il est déjà évident qu’il n’y a aucune corrélation entre le taux de vaccination et la variation du nombre de décès. Les valeurs de pourcentage de décès varient de 3% à 180% et les taux de vaccination de 0% à 75%. Mais le bloc de pays entourés en rouge contient les pays ayant les plus forts taux de vaccination auxquels on inclut le Danemark et l’Irlande qui ont beaucoup moins vacciné. Leurs pourcentages d’augmentation des décès varient entre 90% et 130%, ce qui est un niveau élevé par rapport aux pays proches de nous. Ils se situent dans une tranche de valeurs de décès entre 84% et 108% d’augmentation. L’exception est le Chili mais on peut remarquer qu’il présente un pourcentage de variation des décès très proche de la France et de ses pays frontaliers. Pour ces deux ensembles on voit que la vaccination n’a pas apporté de baisse des décès par rapport aux pays ayant encore peu vacciné. L’Inde s’affiche comme peu concernée pas la vaccination vu sa faible augmentation des décès. Le Portugal, l’Allemagne et la Russie ont une augmentation des décès due à la propagation des coronavirus sans que la vaccination ait eu un effet notable. Cette nouvelle approche aboutit à la même conclusion. L’effet des vaccins est toujours non prouvé et même on peut craindre qu’il en rajoute par rapport à l’évolution naturelle du virus.

Que notre regard se porte sur la période récente de la vaccination ou sur l’ensemble de celle-ci le constat est double. Nous ne disposions d’aucune preuve de l’efficacité du vaccin le 26 mars et la politique sanitaire du confinement menée par la France ne donne aucun avantage sanitaire puisque depuis le début de l’épidémie, la Suède a 7% de moins de décès/habitants le 26 mars et augmente son avantage chaque jour désormais. La propagande du gouvernement et des principaux médias n’est bâtie que sur des espoirs et non des certitudes. Le bon peuple râle mais suit faute de mieux devant ce scandale organisé. L’attention est portée sur les effets secondaires du vaccin, restreints à la thrombose alors qu’ils sont plus nombreux à être graves, et sur le vaccin AstraZeneca alors que des cas en nombre de même ampleur sont signalés sur Pfizer en particulier. On subodore derrière tout cela une simple guerre des grands labos car les enjeux sont considérables. La guerre va être impitoyable tant que le mythe de l’efficacité du vaccin sera maintenu, et il a de beaux jours devant lui, car des effets secondaires nombreux et graves ne seront pas comptabilisés dans les semaines mais dans les mois à venir. Il va suffire de maintenir le discours de l’efficacité d’un vaccin sur quelques mois et de préparer l’opinion à une nouvelle vaccination sous prétexte de la fin de l’immunité provoquée ou de l’arrivée de l’hiver pour assurer un marché lucratif à des marchands sans aucun scrupule.

Tout se met en place pour un véritable crime contre l’humanité car des voix d’éminents spécialistes s’élèvent pour dénoncer les dangers à moyen et long terme des vaccins qui touchent à notre ADN. Ce type de vaccin est en fait une injection d’un code génétique dans notre ADN, et la piqûre vaccinale rompant des vaisseaux sanguins permet potentiellement la modification de notre code génétique dans toutes les cellules de notre corps. Nous devenons dans ce cas un autre être humain génétiquement modifié sans que l’on connaisse réellement ce que cela peut induire comme autres effets mais certains peuvent s’avérer graves à moyen et long terme. Par ailleurs cela pose le problème de la transmission génétique à notre descendance, effet que l’on ne peut pas exclure. En fait tous ces experts affirment que l’on joue à l’apprenti sorcier et qu’une catastrophe humanitaire n’est pas impossible. Je n’ai pas la compétence pour juger de ces avis même s’ils m’interpellent mais, de toute évidence, le principe de prévention et non de précaution est bafoué. Les conditions qui permettent de réduire le risque au minimum ne sont pas respectées, c’est cela la véritable sécurité en matière sanitaire comme ailleurs. Le principe de précaution c’est celui qui teste pour détecter les porteurs du virus et prendre les mesures nécessaires pour maximiser ses chances d’une fin rapide et définitive de sa maladie. La prévention agit avant la précaution mais moins de prévention entraîne plus de précaution avec un résultat obligatoirement plus mauvais.

Il y a une volonté délibérée de fermer une à une toutes les portes

Qui permettent d’échapper au confinement et au vaccin.

La manipulation des cas et des taux d’incidence

Balaie toute objection sous le prétexte

D’occupation des lits de réanimation.

Cette réduction de notre pensée

Cache des buts inavouables

Bien loin de notre santé !

Claude Trouvé

27/03/21

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