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Des vieux résistent à la vaccination, il va falloir les supprimer



Des vieux résistent à la vaccination, il va falloir les supprimer pour ne pas contaminer les autres. Non ce serait inhumain, un passeport vaccinal serait plus sympathique, un passeport non validé interdisant toute sortie du domicile des vieux non-vaccinés avec installation d’un passe-plat pour leur apporter la nourriture si besoin. Je trouve que c’est beaucoup plus humain. Gâcher la vie des plus jeunes contaminables qui ont une grosse espérance de vie pour laisser en liberté des vieux contaminants qui n’espèrent plus rien puisque leur espérance de vie est courte, c’est contraire au bon sens. Non ?

Lassés par cette alternative de l’hôpital, de l’EHPAD, ou de la prison chez soi, ces vieux attendent tranquillement que l’IHU de Marseille les accueille : Moyenne d’âge des décès 81 ans avec une ou plusieurs comorbidités et un taux de létalité à 0,05%. On est sur un taux de mortalité de 0,01%.

Le taux de récidive du COVID n’est pas négligeable à l’IHU de Marseille et est plus important chez les vaccinés que chez ceux qui ont eu la COVID. L’immunité naturelle est donc beaucoup plus efficace que le vaccin.

Une étude récente sur le vaccin de la grippe prouve que les vaccinés restent contaminants plus longtemps et expulsent 6 fois plus de « germes » par leur respiration pendant cette période. On pense que c’est transposable pour les vaccins COVID et la preuve du contraire n’est pas établie.

Le Covid-19 est une maladie bénigne pour laquelle il existe des traitements sûrs et efficaces à condition d’être précoces. Au lieu de faire semblant de prévenir une fausse pandémie, le « vaccin » à ARN pourrait très bien se recombiner avec des endo-rétrovirus dormants et déclencher une véritable pandémie lors d’une seconde épopée. De plus en plus d’études sérieuses se penchent sur cette probabilité connue depuis longtemps mais volontairement ignorée ou non connue des médecins qui ne se sont pas recyclés ou n’ont pas vu un patient depuis bien longtemps. A suivre.

Que pensez du vaccin Pfizer, non validé selon la procédure normale et complète prévue seulement en 2023, validé en procédure d’urgence, jamais utilisé dans des vaccinations humaines massives, fabriqué par une société condamnée deux fois pour fraude et ayant présenté un dossier à l’UE statistiquement bidon où l’efficacité a été visiblement entrée en donnée dans l’étude et non comme résultat (selon mon analyse statistique du document présenté) ? Certains vieux n’achètent pas une voiture dont chacun sait que ce modèle n’a pas passé les tests de sécurité. Ils ne jouent pas à la roulette russe même avec un barillet de mille projectiles possibles et un seul engagé. Vous oui ?

On attend sereinement mais on préfère même vivre moins longtemps mais libres de nos choix disent les vieux de 84 ans comme moi qui ont vu d’autres peurs paralysantes enlevant toute forme de raisonnement par observation de la réalité en dehors de son environnement proche, de son pays ou de son continent. Les Vietnamiens, les Sénégalais soignent précocement comme les Portugais et n’ont quasiment plus de décès. Les deux premiers ne vaccinent pratiquement pas, et les derniers ont vu disparaître les décès bien avant que le vaccin ait atteint un taux de vaccination capable d’agir autant. Selon les premières estimations de l’efficacité des vaccins contre la COVID, sur faits constatés par le Pr Raoult, celle-ci serait plus proc de 30% que des 95% vendus avec l’assurance d’un bonimenteur.

En dehors de la Chine, le laboratoire IHU de Marseille a publié le plus grand nombre d’articles sur le SARS-COV-2 à ce jour. Ces chercheurs ont donc une connaissance unique de la « pandémie », malheureusement [sauf pour les francophones – NdT] leurs présentations vidéo sont pour la plupart en français.

Je ne me vaccinerai pas pour cinq raisons :

1.              Mon analyse du document communiqué à l’UE pour validation d’urgence du vaccin Pfizer m’a montré que cette étude était bidon, statistiquement irrecevable et sentait la fraude à plein nez. Le chiffre d’efficacité de 95% n’est en aucun cas prouvé. Selon le Pr Raoult il ne serait pas supérieur à l’efficacité de 30% des vaccins contre la grippe.

2.            L’ancien Vice-Président de Pfizer affirme sa conviction que des effets graves et des variants seront produits par la vaccination et c’est aussi entre autres l’avis du Pr Montagnié, prix Nobel de Médecine, pour sa découverte du virus du SIDA.

3.     Les effets secondaires à court terme sont plus importants que ceux habituellement recensés pour les vaccins contre d’autres maladies. Or il ne s’agit pas d’un vaccin mais d’une thérapie génétique non encore expérimentée massivement sur l’homme et mise en urgence sur le marché alors que la validation complète attendra probablement 2023.

4.      L’étude des évolutions dans quatre pays remarquables par le taux de vaccination et l’évolution des décès depuis la vaccination amène la conclusion de l’inefficacité relative du « vaccin » par rapport à l’immunité naturelle.

5.          Dans ces nombreux pays, la mortalité moyenne quotidienne toutes causes confondues a augmenté après vaccination validant l’hypothèse de décès tardifs après vaccination et n’étant pas étiquetés COVID mais sur d’autres causes.

L’analyse des décès et des taux de vaccination



Sept pays sont représentés avec des évolutions différentes et des taux de vaccination également différents, mais au 20 mai 2021 ils présentent tous un taux très faible. Deux ne présentent pas de pic notable de décès, le Sénégal et la Finlande contrairement aux cinq autres. Parmi ces cinq seul Israël présente un fort taux de vaccination au moment de son pic de décès le 1er février. Pour les 4 autres on voit que la montée vers le pic de décès s’est produite avec un taux de vaccination égal ou inférieur à 4%. Ceci indique soit que le début de vaccination a provoqué une accélération subite due au vaccin ou que celui-ci est sans effet et qu’il s’agit d’une montée épidémique naturelle de la propagation et de la nocivité du virus. Il en résulte donc que pour ces quatre pays la vaccination a un effet négatif ou nul sur la propagation des décès. On constate d’ailleurs pour le Portugal et le Danemark que le taux de vaccination atteint était encore inférieur à 13% le 16 mars alors que la phase de décrue des décès était très avancée. Pour le Danemark c’est encore plus net puisque ceci s’est produit le 14 février. Le cas d’Israël, vu sans comparaison, est moins évident à interpréter car le taux de vaccination atteint 29% lors du pic de décès du 25 janvier. Mais on voit que, à la différence près de la hauteur du pic, l’évolution des décès en Israël suit la même évolution qu’au Royaume-Uni. Or la diminution des décès se passe dans la même période après le pic mais avec des taux de vaccination très différents. Même sans tenir compte du délai supplémentaire après vaccination pour voir l’effet du vaccin, il est clair que le taux de vaccination soit fort ou pas, le résultat obtenu sur les décès est le même. La dernière confirmation vient des décès en Finlande et au Sénégal qui ont finalement le 20 mai des taux de vaccination très différents mais sans avoir connu de pic de décès. On a aussi le même résultat avec le vaccin pour la Finlande ou sans lui pour le Sénégal avec ou sans vaccination significative.

L’efficacité de la vaccination n’est pas prouvée pour l’instant mais on peut désormais avoir des doutes sur l’importance de ses effets secondaires si l’on en croit la publication suivante.

Publié par wikistrike.com sur 23 Mai 2021, 07:51am

Auteurs : Gabriel Faugloire et Frédéric Gobert

Dans ces nombreux pays, la mortalité moyenne quotidienne [toutes causes confondues] a augmenté après vaccination :

Dans tous les pays suivants : SEYCHELLES, ISRAËL, UK, MONGOLIE, ÉMIRATS AU, BAHREÏN, HONGRIE, États-Unis, CANADA, France, SUISSE, BRÉSIL, INDE, on meurt tous les jours en moyenne davantage depuis que la vaccination a commencé.

Ainsi, à la date du 17/05/21, au Brésil (17% de la population ayant reçu au moins une dose), la mortalité moyenne quotidienne est multipliée par TROIS ; en Hongrie par CINQ (48% de la population ayant reçu au moins une dose) ; en France par plus de 1,5 (30% de la population ayant reçu au moins une dose) …

Lecture de ce tableau avec l’exemple d’Israël : du 1er mars 2020 au 19/12/2020 (début de la campagne de vaccination en ISRAËL), soit durant 293 jours, la mortalité moyenne quotidienne est de 1,19 décès par million d’habitants. Du 19/12/2020 au 17/05/2021, soit 149 jours, la mortalité moyenne quotidienne est de 2,52 décès par million d’habitant, soit plus de deux fois supérieur.

Comment les chiffres ci-dessus ont-ils été calculés ?

Toutes les données sont issues du site « ourworldindata » et arrêtées à la date du 17/05/21 ; les 14 pays ont été choisis de telle sorte qu’il y ait un maximum d’hétérogénéité, à la fois au niveau des caractéristiques intrinsèques mais aussi du taux de vaccination de chaque pays. L’idée initiale était de confirmer des informations transmises par Jean-Jacques Crèvecœur à plus petite échelle. Ils montrent en effet que la mortalité moyenne quotidienne COVID-19 a augmenté dans presque tous les pays étudiés depuis le début des campagnes de vaccination ; seule la Belgique fait exception.

Même si le lien direct avec la vaccination semble un raccourci rapide, on peut honnêtement se demander ce qui pourrait l’expliquer autrement… Il faudrait connaître, pour le confirmer ou l’infirmer, le nombre de personnes décédées COVID ayant été vaccinées. En attendant, on constate que le cas des Seychelles et de la Mongolie est énorme (respectivement 1 et 2 décès avant, 31 et 212 après !), celui du Brésil est impressionnant et celui de la Hongrie est tout simplement ahurissant. On voit aussi que l’Inde, dont les médias ont fait de la dernière épidémie une catastrophe, détient des taux de décès bien inférieurs aux nôtres (il faut dire que de nombreux états utilisent depuis longtemps l’Ivermectine !).


 

Ci-dessus le graphe correspondant, plus visuel : il représente les moyennes de décès/jour/million d’habitants avant (bâtonnet bleu) et après vaccination (bâtonnet orange), trié de gauche à droite du pays qui a le % de population vaccinée le plus fort (Les Seychelles) au moins fort (l’Inde). Le % de population vaccinée (courbe grise) se lit sur l’échelle de droite ; la moyenne de décès quotidienne (bâtonnets bleu et orange) sur l’échelle de gauche.

Le rôle des « grands » médias et de la plupart des sites de « factchecking » doit encore et toujours être interrogé ; leur responsabilité dans les mensonges et les inepties qui circulent et que la population prend pour vraies est énorme : la plus grande gravité de la mortalité due au covid en Inde par rapport à la France : mensonge ; la gravité exceptionnelle de l’épidémie de covid : mensonge ; l’innocuité des « vaccins » ou le meilleur rapport « bénéfices/risques » : mensonge ; l’intérêt vital du port du masque en extérieur : mensonge ; le caractère démocratique et respectueux des libertés du pass sanitaire : mensonge ; l’affirmation selon laquelle la prévention contre le covid est inutile : mensonge ; l’affirmation qu’il n’existe aucun traitement contre le covid : mensonge ; l’affirmation que le « vaccin » est l’unique solution : mensonge ; la non-remise en cause systématique des inepties de la politique « sanitaire » du gouvernement : on oscille entre l’aveuglement dû à la peur, la psychose collective, la compromission et la lâcheté ; etc. Mais toujours, depuis mars 2020, le prix de la faillite des médias dominants se paie en vies humaines.

Fin de l’article.

Vous pouvez retrouver les données de base qui ont permis les calculs dans l’article de Wikistrike. La généticienne Alexandra Henrion-Caude, mondialement connue, a effectué le même constat et se dit très inquiète pour l’avenir. Il faut se rendre à l’évidence, la vaccination de masse n’est pas la panacée alors qu’il existe des traitements efficaces et sans effets secondaires connus et fréquents. À Singapour, où l’utilisation de l’hydroxychloroquine est très répandue et où aucun confinement national n’a jamais été imposé, le taux de létalité du Covid-19 est le même que celui de Marseille, soit 0,05 pour cent seulement (29 décès sur 59 000 cas). Ce taux de létalité est plus de deux fois inférieur au taux de létalité de la grippe saisonnière. Ceci fait de cette épidémie une maladie relativement bénigne si elle est dépistée et traitée tôt. On perçoit en même temps l’inutilité des mesures sanitaires imposées autoritairement en France dont les conséquences économiques sont pires que celles de la grande crise des surprimes, dramatiques en surplus de décès et d’hospitalisations et de suicides, et en dégâts psychiatriques, éducatifs et sociétaux.

Mais une autre étude a été faite par Sahar Gavish, statisticien, et le Docteur Steve Ohana, économiste, qui se sont penchés sur les décès dus au SARS-CoV-2 depuis la mise en place de la vaccination à grande échelle contre ce virus avec la technologie nouvelle dite à ARN messager. Leur conclusion est que plus le nombre de doses administrées – de 0 à plus de 120 – rapporté à 100 habitants est élevé plus la mortalité augmente. La question qui se pose alors est la suivante : ces vaccins à ARN protègent-ils vraiment les personnes ou bien sensibilisent ces mêmes personnes à tel point qu’elles développent ultérieurement une forme grave de cette maladie si elles entrent en contact avec le vrai virus ?


 

L’annonce triomphale de la baisse des décès et des hospitalisations ce mercredi 26 à l’issue du Conseil des Ministres, sous-entendant que la vaccination en est la cause, et incitant à continuer l’effort de vaccination, est particulièrement choquante quand elle s’associe de plus à des velléités de pass sanitaire incluant la vaccination. Il est clair que la vaccination n’est pas la cause de la régression des décès comme je l’ai montré en début d’article, mais un processus naturel de propagation et de retrait du virus. La poursuite d’une opération inefficace se justifie d’autant moins que les décès sont à un niveau acceptable de 1,7 décès/jour/million d’habitants sur la semaine du 19 au 25 mai. La progression de nouveaux variants déjà connus ou non est encore moins sous le contrôle des vaccins existants qui n’ont pas une efficacité prouvée contre les variants ni une validation complète par des organismes compétents indépendants des concepteurs et producteurs. C’est toujours un mensonge gravissime du pouvoir et l’utilisation des peuples comme cobayes en utilisant un chantage social : « Pas de vaccin = pas de travail, pas de shopping, pas de voyage, pas de socialisation ! ».

Les élites ne veulent pas nous protéger, elles veulent nous contrôler.

Ces créateurs de réalité autoproclamés ont fabriqué une peur

En se servant d’une pandémie et d’un remède vaccinal

Qui conduit un peuple devenu très moutonnier

A s’entasser dans des « vaccinodromes »

Pour apaiser ce stress inoculé !

La réalité est créée par l’esprit, nous pouvons changer notre réalité en transformant notre esprit.

Platon

Claude Trouvé

26/05/21

 

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