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Hors de la vaccination, point de salut ?

Hors de la vaccination, point de salut ?

On ne nous traumatise plus avec des interventions alarmistes sur le nombre de cas, d’hospitalisations et de décès. On passe juste des bandeaux sur l’écran. Pourtant en ce 10 mai on a eu plus de décès que le 27 octobre dernier alors que l’on étalait à plaisir ce bilan mortuaire pour apeurer la population ! Le discours anxiogène c’est désormais la vaccination et le nombre de vaccinés 1ère et 2ème dose. C’est un battage où le camp retranché des réfractaires est de plus en plus assiégé, de plus en plus menacé par un passeport sanitaire lié à des levées de contraintes sanitaires. On commence à percevoir une masse peureuse ou civique selon sa propre vision des choses qui vient jeter des regards réprobateurs sur les résistants assimilables à des complotistes. Ce vocable a pris une signification très marquée par une idée de terrorisme pacifique contre l’Etat qui n’a lui que le bonheur de son peuple en tête comme tout le monde devrait le constater. L’opposition d’un citoyen à la doxa devient un cas de désertion passible au moins de l’opprobre de ses concitoyens. Pourtant des informations données par des sommités médicales alertent sur la possible surcontamination à partir des vaccinés qui exhaleraient dans la population des particules pathogènes de ce virus en beaucoup plus grandes quantités. Certains me disent commencer à avoir peur de la contagion par les vaccinés.

On va donc tout droit dans un affrontement de plus entre les citoyens comme si le débat sur l’insécurité et l’immigration ne suffisait pas. On sait que dans la population non vaccinée soit 75% d’entre elle, il y a 30% de réfractaires à la vaccination COVID soit 25% de la population. Nous sommes donc encore devant une clientèle de la moitié de la population pour remplir les « vaccinodromes ». A raison de 500 000 vaccinations par jour et sans rupture de stocks, il faut 70 jours pleins pour vacciner 35 000 000 d’habitants. Ceci nous pousse à fin juillet. C’est d’ailleurs ce qui transpire dans les différents discours du gouvernement. Dans l’état actuel de la France, la vaccination sera donc bloquée ensuite par manque de volontaires et on peut craindre le pire pour satisfaire la vaccination planétaire. 

Alors les trois questions fondamentales reviendront : la vaccination a-t-elle toujours une innocuité acceptable, son efficacité est-elle prouvée et n’existe-t-il pas des traitements efficaces ? S’il n’est pas répondu scientifiquement oui à ces trois questions, alors la vaccination plus ou moins obligatoire devient une dictature sanitaire.


Dans mes précédents articles j’ai montré que les résultats de baisse ou d’éradication de l’épidémie par le vaccin n’étaient pas prouvables dans les pays ayant le plus vacciné. Une semaine plus tard je n’ai pas à modifier mes propos. On engrange cependant de plus en plus de cas d’effets secondaires graves et on dépasse les taux observés dans les vaccins utilisés avant l’épidémie. C’est une affaire à suivre mais revenons à l’efficacité des vaccins sur la COVID en s’intéressant cette fois aux pays ayant le moins vacciné. J’ai sélectionné les pays ayant un taux de vaccination au plus égal à 2,5% de la population. 72 pays parmi les plus importants ont été sélectionnés et portés sur ce graphique avec leur taux de mortalité et de vaccination. 25 d’entre eux n’ont pas encore vacciné leur population dont 8 d’entre eux n’ont pas dépassé un taux de mortalité de 0,001%, et seulement 6 ont atteint et dépassé le 0,002%. Le cas le plus défavorable est celui de Haïti dont il est très probable que ce sont les structures hospitalières qui n’ont pas pu sauver les cas graves de contamination. C’est sans doute le cas de l’Arménie, de l’Albanie, de la Lybie et même de la Guyane. Dans les 47 pays restants seulement 12 pays ont dépassé le taux de mortalité de 0,002% avec un maximum à moins de 0,012% pour la Géorgie. Le taux de vaccination le plus élevé est légèrement supérieur à 2,5% pour le Sénégal avec un taux de mortalité inférieur à 0,001%.

Il s’agit ensuite de relativiser les choses en comparant les taux de mortalité avec des pays ayant fortement vacciné comme Israël, France et Royaume-Uni dont le taux de mortalité est porté en rouge sur le graphique avec des taux de vaccination de respectivement 62,61%, 26,40% et 53,40%. Seulement 8 pays ont un taux de mortalité supérieur à celui d’Israël, l’un des Etats ayant le plus vacciné et cité en exemple. Seul Haïti dépasse légèrement le taux de mortalité du Royaume-Uni mais reste très inférieur à la Hongrie non portée sur ce graphique avec un taux de décès de 0,195% pour un taux de vaccination de 44,47% ! On constate par ailleurs que dans ce panel de pays à faible taux de vaccination, 55 ont un taux de mortalité inférieur à 0,012% soit plus de 6 fois moins que celui d’Israël décrété champion de la vaccination. Il y a donc bien un salut hors de la vaccination et ceci vient compléter le fait que l’efficacité de celle-ci n’est pas démontrée.

Dans mes articles précédents j’ai montré que le Portugal a vu chuter son nombre de décès bien avant que le taux de vaccination ait atteint une valeur significative. Sa chute spectaculaire des décès s’est amorcée après le 1er février avec 28,3 décès/jour/million d’habitants pour atteindre seulement 0,598 le 31 mars, soit plus de 47 fois moins en deux mois alors que le taux de vaccination était encore très faible. Depuis, alors que le taux de vaccination du Portugal est deux fois moins élevé que celui d’Israël, le nombre de décès/jour/million d’habitants est devenu comparable.

On pourrait en dire de même pour le Royaume-Uni où la diminution des décès a précédé la vaccination où l’essentiel d’une baisse spectaculaire a été obtenu avant la mi-mars alors que moins d’un quart de la population avait été vaccinée. C’est aussi évident pour la Belgique avec ses 17,85 décès/jour/million le 10 novembre et ses 2,05 le 27 février soit 8 fois moins en trois mois et demi. Depuis, malgré un taux de vaccination de 31% le 10 mai le taux de décès est remonté à 3,25 le 10 mai. Mais la vaccination n’arrête pas la progression des décès en Hongrie et dans d’autres pays de l’est européen alors que le Sénégal, qui a très peu vacciné, vient de battre la Corée du Sud avec 0,079 décès/jour/million d’habitants en traitant à l’hydroxychloroquine selon le protocole du Pr Raoult, ostracisé en France et décoré au Sénégal. A titre de comparaison la France a eu en ce même jour 3,27 décès/jour/million d’habitants soit plus de 4 fois plus que le Sénégal. Nul n’est prophète en son pays ! Mais c’est sans doute 100 000 décès que nous aurions pu éviter.

Finalement en ce 11 mai 2021 une conclusion s’impose :

1.     Il y a une survie en dehors du vaccin

2.     L’efficacité des vaccins n’est toujours pas prouvée

3.     Il existe des traitements cliniques dont l’efficacité est prouvée.

Même l’immunité ne semble pas totalement acquise puisque 46 cas suspects de récidive du COVID ont eu lieur à l’IHU de Marseille quelques jours après la vaccination. L’innocuité n’est pas non plus certaine puisque l’accumulation des effets secondaires graves montre déjà qu’elle est supérieure à celle des vaccins utilisés sur d’autres maladies. Tout cela semble une arnaque mondiale où les peuples sont devenus des cobayes entre les mains d’apprentis sorciers où l’argent fait fi de leur santé mais les manipule pour des buts de gestion de masse humaine et de domination. Le passeport sanitaire associé à la dictature numérique en est l’illustration. Ami, entends-tu le pays qu’on enchaîne…

Une dictature sanitaire mondiale est En Marche

Sous le joug d’un Nouvel Ordre Mondial

Aux mains d’une ploutocratie

Qui entend dominer

Tous les peuples.

Claude Trouvé

12/05/21


Commentaires

  1. il manque un petit paramètre dans votre brillante analyse, MR bil gate en bon commercial a apporté ses méthodes, déjà éprouvé chez micro soft, d'enrichissement personnel chez big pharma : la mise a jour, on commence a nous y préparer avec les variants et les vaccinations annuelles voir semestrielles, si nos anciens malgré quelques malchanceux supporte une; voir deux injections, au final et par répétitions ils auront peu de chance d’échapper au massacre. malgré l'illusion d'une faible létalité

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