Les vaccins sont efficaces, les preuves tiennent dans les discours

 

Les vaccins sont efficaces, les preuves tiennent dans les discours

Macron ouvre la voie au passeport sanitaire et à la vaccination obligatoires. Chaque jour la preuve d’une propagande éhontée se confirme. Les informations gouvernementales deviennent de plus en plus absurdes et autoritaires. Les pays du monde divergent de plus en plus sur leurs mesures sanitaires mais la propagande de Big Pharma convainc de plus en plus d’entre eux. Notre gouvernement fait passer des messages fortement anxiogènes et mensongers mais avec un aplomb qui entraîne encore l’adhésion de quelques-uns. Notez par exemple que la vaccination est fortement recommandée pour les personnes à risques, les personnels de santé, et les personnes âgées (prochains candidats à la vaccination obligatoire), et désormais pour les jeunes ados qui sont trop fortement indisciplinés et contagieux. La raison est que l’on clame comme prouvé que le « vaccin » est efficace à 95%, sur la réduction de la contagion et sur la gravité des malades atteints par le COVID. Tout le monde est donc finalement invité à se faire vacciner car c’est le meilleur moyen d’échapper à des mesures de confinement et de muselage ! Cela se réfère à la politique de la carotte et du bâton. Mais, puisque l’on craint une nouvelle vague, c’est en même temps un recul notable sur l’intérêt de la vaccination, solution miracle due à une performance extraordinaire de l’industrie pharmaceutique… et de leurs actions en Bourse. Il suffit que Macron parle et les Français se précipitent sur les vaccins… comme au temps de la pénurie alimentaire dans l’après-guerre.

La politique du zéro COVID par la vaccination de masse, basée sur le bénéfice/risque attendu, va jusqu’à envisager la vaccination des plus jeunes qui ne risquaient rien mais qui menaçaient les plus âgés par leur capacité de propagation. Maintenant on va les vacciner parce qu’on a des cas de jeunes contaminés avec les nouveaux variants qui vont épuiser l’alphabet grec pour les nommer. Déjà pointe son nez le variant Epsilon soi-disant imperméable aux vaccins et à l’immunité naturelle. Ce qui veut dire que les vaccins actuels ne protègeront plus personne. Mais Jean Castex, en tenue de croque-mort, nous annonce une quatrième vague et ne prédit rien de bon pour le mois d’août sinon une 3éme vaccination pour les plus âgés et sans doute les premiers vaccinés. Ce qui veut dire que nous allons vers la multiplication des variants où le vaccin précédent montrera sa faiblesse, nous nous acheminons vers une vaccination obligatoire à répéter avec une fréquence déterminée par les variants. Big Pharma et la cabale des puissants et des politiques vont continuer à soumettre un peuple à des mesures contraignantes autoritaires pour l’habituer à une soumission complète et définitive. La peur distillée en permanence pousse le principe de précaution à devenir chacun un obsédé de la mort qui rôde et à cumuler les mesures de protection individuelle.

On en arrive à craindre son voisin, comme les lépreux, et la clochette ou l’étoile jaune menace les non-vaccinés. On va vers leur stigmatisation très comparable aux mesures autoritaires prises pour les juifs pendant la dernière guerre, la vraie, pas celle contre le virus. Leurs interdictions des endroits publics, des restaurants, des lieux de distraction, en sont la copie conforme et leurs étoiles jaunes seront leurs passeports sanitaires. Ils pourront survivre mais comme les juifs dans le ghetto de Varsovie. Ils seront pistés, marqués et les sanctions seront de plus en plus contraignantes jusqu’à l’asphyxie sociétale sur les récalcitrants. Certes Hitler avait un but d’extermination, mais tous les fascismes commencent par la déshumanisation d’une catégorie de la population. Le pire est que des voies majoritaires dans ce pays cautionnent cette politique dictatoriale et sont prêts à en demander plus… comme durant la guerre pour les juifs tout en s’accommodant ou en collaborant avec la férule allemande. On entend sur les ondes ou dans les commentaires des propos qui font froid dans le dos et qui montrent que la liberté n’est plus visible sur le front de beaucoup d’entre nous alors qu’elle l’est encore sur toutes nos mairies.

La multiplication des variants a été prévue par les chercheurs opposés au vaccin ARN messager et ce n’est plus une découverte. Les vaccins ARN messager ne sont pas un traitement répondant à la définition du vaccin mais un traitement génétique novateur validé en urgence et susceptible d’accélérer la production de variants. Peu importe, la vaccination de masse est érigée comme le seul remède pour l’éradication de ces virus. Elle rejette l’idée même d’un traitement clinique et médicamenteux qui réduirait les décès à un niveau très inférieur à celui des autres causes de décès. On affole les populations en brandissant l’augmentation des cas (tests positifs) annonciateurs d’une nouvelle « vague » qui va toucher une grande partie de la population et saturer les hôpitaux. La propagande nous ressasse alors la solution miracle de la vaccination qui nous protège de la propagation et évite donc l’augmentation du nombre de décès. Qu’en est-il réellement ?

Le Royaume-Uni est le pays européen qui a promu la vaccination dès le 18 décembre. Regardons ce qui se passe depuis le début de la vaccination et plus précisément entre le 25 mai 2021, date de début d’une augmentation spectaculaire du nombre de cas, et le 12 juillet dans ce pays. Il est donc un pays précurseur de ce qui nous attend. A première vue on constate qu’il y avait une corrélation entre le nombre de cas et celui des décès dans cette montée rapide des décès. Mais on ne peut pas attribuer la spectaculaire redescente du nombre de cas à la vaccination dès le 6 janvier. Un mois plus tard le nombre de cas avait baissé de 69% alors que le taux de vaccination 1 dose n’était monté progressivement qu’à 16,9%.

Le 25 mai le Royaume-Uni a subi une quatrième vague de cas avec un nombre de 2414 cas croissant jusqu’à 38 403 cas le 12 juillet, soit 116 fois plus, avec un taux de vaccination croissant de 56,5% à 68,9%. Mais le nombre de décès a diminué de 15 à 6 ! Cette fois la vaccination est censée avoir opéré et on constate une décorrélation entre cas et décès. On peut y voir l’effet de la vaccination sur les décès, donc la gravité des contaminations, mais alors il faut admettre que le « vaccin » n’a pas protégé de la propagation du virus. Je montrerai sur d’autres exemples que ce n’est probablement pas la vaccination qui a agi mais la moindre nocivité du nouveau variant majoritaire dans cette vague.

Le discours anxiogène de Macron, annonciateur d’une catastrophe sanitaire à venir, est contredit par la situation actuelle dans ce pays voisin précurseur de la vaccination. Mais certains peuvent penser qu’il s’agit d’un cas particulier qui ne prouve rien. Alors j’ai réactualisé un graphique déjà publié, qui peut paraître un peu trop chargé, mais dont la conclusion sera synthétisée dans un tableau récapitulatif donnant les variations des taux de vaccination et du nombre de décès/jour/million d’habitants (djmh) entre les différentes dates du pic de décès dans chacun de ces pays et le 12 juillet. On pourra voir ainsi que le cas du Royaume-Uni est particulier en termes de vaccination mais pas en termes de résultat sanitaire par rapport à la Belgique, la Suède, le Portugal, l’Espagne et l’Irlande.

J’ai déjà présenté ce graphique mais une fois remis à jour les conclusions que l’on peut en tirer sont les mêmes. Ces pays, hormis la Suède, ont vu une montée plus ou moins brutale des décès, suivie d’une décroissance rapide avant la vaccination. Hormis pour la Suède la vaccination a commencé en pleine période de décroissance des décès. Ils ont connu alors une nouvelle croissance des décès et plus importante que la précédente à l’exception de la Belgique. Le 15 mars alors que 6 pays sur 7, en incluant la France non représentée sur le graphique, n’avaient même pas atteint 10% de la population vaccinée 1 dose, les baisses des décès depuis leurs pics étaient comprises entre 62% et 94%. Si l’on admet que l’effet vaccinal sur l’immunité collective ne se révèle qu’après avoir atteint 50% au minimum de population vaccinée, cela montre que le vaccin ne peut être la cause de la décroissance des décès donc de la réduction de la propagation du virus.

Le cas du Portugal est évidemment le plus probant, mais pourrait passer pour un cas particulier. Mais même au Royaume-Uni l’effet vaccinal ne trouve pas une preuve de son efficacité puisqu’avec moins de 30% de population vaccinée la baisse des décès est proche de 90%. Sinon il faudrait admettre qu’avec seulement 30% de vaccination 1 dose on a déjà un effet presque maximal. Or on voit qu’avec près de 45% de vaccination en plus, la France ne voit décroître ses décès que de seulement 38%. Selon ces comparaisons c’est le virus qui est lui-même à l’origine de la décroissance des décès et non les « vaccins ».

Je vais terminer cette première partie de mon étude par son élargissement à 113 pays de façon à répondre définitivement à des objections sur un échantillonnage trop restreint pour nier la corrélation entre taux de vaccination et nombre de décès par million d’habitants. La période d’analyse couvre la période vaccinale du 18 décembre au 7 juillet.

Le coefficient statistique de corrélation n’est pas significatif. Mais un simple coup d’œil sur le graphique ci-contre, représentant le nombre de décès/million d’habitants et le taux de vaccination, suffit à montrer que :

Il n’y a pas de corrélation entre le nombre de décès/million d’habitants et le taux de vaccination. La vaccination ne protège pas la population des formes graves.

On peut d’ailleurs sectoriser les pays entre les pays à faible ou fort taux de vaccination et à fort ou faible nombre de décès/million (dmh). Le secteur en haut et à droite représente les plus mauvaises situations sanitaires avec 29 pays, soit 26% des 113, où les forts taux de vaccination n’ont pas empêché un dmh élevé, secteur dont fait partie la France. On note que la très forte vaccination de Malte et des Seychelles n’a pas empêché des décès importants. En bas à droite 14 pays seulement ont eu un dmh plus ou moins faible et un taux de vaccination élevé. Ils ne représentent que 12,4% des 113 pays représentés. Parmi eux on note Israël, les Emirats, le Qu’Atar, l’Arabie Saoudite, tous pays du Moyen-Orient, la Corée du Sud, Hong-Kong, mais aussi le Canada, le Danemark et la Norvège. En haut à gauche 20 pays se trouvent dans les pays, dits coupables de n’avoir pas assez vacciné et ont des dmh plus ou moins forts. Le Pérou est le pays le plus touché du monde et on trouve plusieurs pays d’Amérique du Sud et d’Europe de l’Est. Néanmoins la Russie et l’Afrique du Sud, avec moins de 20% de taux de vaccination, ont encore un dmh inférieur à la France vaccinée à plus de 50%. Il nous reste à examiner le dernier secteur en bas à gauche des pays ou le taux de vaccination et le dmh sont tous les deux faibles.

Dans ce secteur on trouve 50 pays soit 44,2% de l’ensemble. Le nombre de décès/million d’habitants est marqué par une ligne verte et sert de repère pour un pays considéré comme un modèle de forte vaccination et faible dmh. On peut même y isoler en bas à gauche  29 pays à très faibles taux de vaccination et dmh. Dans le secteur restant de 21 pays on aurait tort de considérer qu’il ne s’agit que de pays petits et particuliers comme le Sri Lanka et le Népal. On a aussi de grands pays comme l’Inde, l’Indonésie et l’Australie. Mais il n’y a pas de pays européens et seulement 3 pays des Amériques, à savoir Cuba, Guatemala, Venezuela. Les 18 autres pays se répartissent entre 3 continents (Asie, Afrique et Océanie). Ce secteur montre que les pays soient petits ou grands la vaccination n’est ni la cause principale, ni la panacée pour faire baisser les cas graves qui sont illustrés par le nombre de décès. L’Inde avec l’utilisation d’un traitement non pas génétique mais clinique à l’Ivermectine est en train de juguler son nouveau départ de contamination.

Il reste le dernier sous-secteur des 17 pays où les taux de vaccination et les décès/million d’habitants sont très faibles voire inexistants. Tous ces pays sont africains et il n’y a que 3 pays qui ont fait aussi bien avec des taux forts de vaccination entre 30% et 50% de la population : l’Arabie Saoudite, Hong-Kong et la Corée du Sud. Ce constat est très clair et intéressant. Des pays africains ont réussi à réduire la mortalité due à ce type de virus à celle d’une maladie bénigne en moyenne de 2 décès/million d’habitants en moins de 7 mois soit 3,5 dmh/an au pire. Ceci correspondrait en France à 235 morts/an, soit à une épidémie dérisoire par rapport à la mortalité de la grippe avec 10 000 à 15 000 morts chaque année !

Conclusion

L’examen de la mortalité durant la période de vaccination jusqu’au 7 juillet sur 113 pays du monde vient de montrer que l’efficacité du vaccin n’est aucunement prouvée sur la mortalité due au COVID-19 et les variants qui se succèdent.

Une autre étude de corrélation s’impose sur les cas et les hospitalisations et fera l’objet d’un prochain article pour y voir clair sur la propagation et sur les cas bénins et non létaux. Cela demande aussi un long travail sur les données et la présentation des résultats. Se faire une idée par soi-même est d’une importance vitale car nous sommes pris pour des cobayes et des soumis à une propagande qui diffuse des informations souvent non prouvées au gré des besoins de la politique. L’efficacité du vaccin et l’affirmation de la seule voie possible est la base de tout ce que l’on nous impose. Les querelles qui en découlent dans la population n’ont pas de sens si l’on ne met pas en doute ces deux piliers qui justifient la position des pro-vaccins et des conséquences liberticides. Si le vaccin s’avère inefficace, tout l’échafaudage gouvernemental des mesures sanitaires liberticides s’écroule.

Je terminerai par plusieurs informations récentes :

• La BBC au Royaume-Uni nous communique qu’une centaine de cas ont été dénombrés sur le porte-avions Elizabeth II après avoir embarqué des marins testés négatifs et vaccinés. Des cas similaires sont apparus sur des navires d’escorte dans l’Océan Indien. Dans un milieu aussi fermé l’origine vient soit de tests faussement négatifs et de la non-protection du vaccin, soit de la génération par le vaccin d’un nouveau variant lui résistant.
• A la suite du constat que les hospitalisations COVID concernaient 56% de vaccinés, le Premier Ministre Israélien vient de conclure par « le vaccin n’est pas suffisant ».
• Le Pr Raoult de l’IHU de Marseille fait un constat identique et préconise l’utilisation du vaccin chinois peu cher dont une étude sur plusieurs millions de personnes a montré qu’il est efficace sur les 2/3 d’entre elles et diminue de 95% les entrées en réanimation. Il est du type classique des vaccins connus à injection de souches affaiblies dont on maîtrise beaucoup mieux les effets secondaires à court et long terme.
• Le Pr Peter A_McCullough, de réputation internationale en cardiologie, est consulté par le Sénat américain. Dans une interview à France Soir il qualifie les assertions de Macron comme pseudo-scientifiques. S’appuyant sur une étude britannique sur 90 000 personnes et un constat dans son propre pays, il réfute tous les arguments de Macron justifiant les mesures sanitaires contraignantes qu’il veut imposer à notre pays dont la vaccination à vocation obligatoire par coercition. Le virus Delta ne serait guère plus contagieux et trois fois moins dangereux que le virus de Wuhan. Pour lui, le confinement et les vaccins n’ont pas prouvé leur efficacité, donc « il faut vivre avec le virus et traiter cliniquement les malades ». C’est la position vers laquelle tend le gouvernement américain selon lui. 
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Seule la puissance financière de Big Pharma

Peut encore cacher l’arnaque sanitaire

 Propagée dans le monde entier

Et sciemment mise en œuvre

Sauf dans le quart monde

   Où le virus ne tue pas !

 

Claude Trouvé

17/07/21

P.S

Les personnes nées avant 1939 ou peu après n’ont sans doute pas oublié les ordonnances nazies et celles du gouvernement de Vichy d’inspiration allemande en prenant connaissance des dispositions liberticides françaises en période de pandémie.

27 septembre 1940 : une ordonnance nazie promulgue le statut des Juifs en zone occupée. Les Juifs sont obligés de se déclarer comme tels entre le 3 et le 20 octobre 1940 dans les commissariats de police et sous-préfectures

3 octobre 1940 : le régime de Vichy promulgue le 3 octobre 1940 le premier Statut des Juifs. Les renseignements obtenus sont recueillis par la préfecture de police, qui constitue, sous la direction d'André Tulard, un ensemble de quatre fichiers (alphabétique, par nationalités, par adresses, par professions) représentant au total 600 000 fiches. Le fichier sera principalement utilisé pour l'organisation de la rafle du Vélodrome d'Hiver, les 16 et 17 juillet 1942. (Wikipédia)  (Notre utilisation pour repérer les non-vaccinés)

13 août 1941 : ordonnance allemande qui interdit aux Juifs de posséder un récepteur radio. (Notre surveillance sur les réseaux sociaux)

7 février 1942 : ordonnance allemande imposant un couvre-feu de 20 heures à 6 heures du matin pour les Juifs et leur interdisant de déménager. (Notre couvre-feu et nos restrictions de circulation)

29 mai 1942 : ordonnance allemande imposant aux Juifs le port de l'étoile jaune par tous les Juifs de plus de 6 ans, en application le 7 juin. (Notre passeport sanitaire)

8 juillet 1942 : ordonnance allemande interdisant aux Juifs la fréquentation des salles de spectacle et leur interdisant l'accès aux magasins en dehors de la période de 15 à 16 heures. (Notre ostracisation des non-vaccinés)

Comparaison n’est pas raison mais n’en déplaise à nos concitoyens juifs, nous ne sommes pas condamnés aux chambres à gaz mais à une asphyxie sociale, sociétale, psychologique, éducative, culturelle, physique, économique, qui tue aussi en plus des décès dus aux virus… si nous n’obéissons pas à la vaccination.