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Vaccination COVID et contradictions sur son efficacité

 

Vaccination COVID et contradictions sur son efficacité

C’est reparti ! Le virus ? Rien d’affolant pour l’instant mais la propagande de la vaccination mise toujours sur la réinitialisation de la peur comme le conducteur de locomotive qui remettait du charbon pour que la pression vapeur ne retombe pas. La manipulation des masses demande de tenir les tenir au chaud dans les creusets de la peur. La peur climatique commençait à voir son bateau catastrophique prendre l’eau rafraichissante dès la fin de 2019 au vu de la discordance qui s’aggravait entre les prévisions du GIEC et les mesures de températures globales mesurées. Le virus est donc tombé à point nommé (?) pour reporter l’attention des masses sur un virus nouveau parmi les nombreux qui se créent en permanence par mutation interne ou recombinaison avec d’autres types de virus. Le spectre d’une épidémie qui isolerait, parquerait, musèlerait de nouveau des millions de personnes comme à Wuhan suffit à créer le réflexe du « jamais plus ça » quand la vaccination est présentée comme la panacée de lutte contre le coronavirus. J’ai largement montré dans mes articles précédents que la référence à la situation au Royaume-Uni et à Israël était bien insuffisante pour juger de l’efficacité des vaccins.

Mais la chute des décès dans ces deux pays étant indéniable la propagande a beau jeu de se limiter à la décroissance des décès en Europe pour montrer que la vaccination a fait son œuvre en écartant d’un revers de main l’explication d’une évolution de la nocivité et de la propagation du virus qui suivrait la courbe en cloche naturelle de toutes les épidémies. Les masses sont maintenues dans la certitude que c’est bien le vaccin qui doit donc continuer à être administré pour éviter toute reprise. En même temps on brandit la peur du variant Delta, soi-disant beaucoup plus contagieux mais peut-être moins dangereux, pour renforcer la marche vers la vaccination complète de toute une population. C’est la première contradiction, car si la vaccination est la panacée et nous protège, il n’y a pas à craindre l’arrivée de ce variant. Mais si la vaccination ne nous protège pas contre celui-ci, alors il est inutile de continuer à nous vacciner en masse sachant que ce variant va complètement prendre la place du précédent. On voit que derrière toute cette propagande se profile Big Pharma qui rejette tout traitement clinique, surtout peu cher et sûr, et qui dessine un avenir de vagues de vaccination successives comme pour la grippe.

Il faudrait revenir sur une relativité de la dangerosité de ce virus qui est propagée à toute occasion. La moyenne d’âge des décès est située à 80 ans. Si l’on comptait en espérance de vie il faudrait en gros diviser par 5 le taux de mortalité et de létalité. Pour faire simple et selon les chiffres de l’INSEE, à 80 ans atteints aujourd’hui on a 8 à 10 années d’espérance de vie devant soi, à 40 ans atteints aujourd’hui on a 40 à 46 d’espérance de vie devant soi selon que l’on est un homme ou une femme. C’est la comparaison des espérances de vie de ces deux âges qui donne ce facteur de division par 5 si l’on compte en espérance de vie. La population jeune étant épargnée par ce virus, on voit que cette épidémie n’est pas aussi grave que la propagande nous le fait croire.

Après 16 mois de pandémie dans le monde, le taux annuel de mortalité est de 0,0392%, donc 99,96% des humains n’en meurent pas. En France où l‘on se targue d’avoir une politique sanitaire conduite de main de maître selon le gouvernement, le taux de mortalité annuel est de 0,1234% soit plus de 3 fois plus élevé ! C’est pourtant en Europe et aux Etats-Unis que l’on a le plus vacciné, et en Afrique où on l’a très peu fait qu’il y a très peu de décès. C’est une autre contradiction entre vaccination et décès. Mais les décès annuels COVID comptés à ce jour ne représentent que 12% des décès totaux de 2020, ce qui est beaucoup plus faible que les cancers à 28%, les maladies cardiaques à 25%. C’est pourtant les soins à ces cancéreux et ses malades cardiaques que l’on a « déprogrammés » pour traiter les urgences COVID et les vaccinations. De plus la moyenne d’âge des personnes atteintes d’un cancer est beaucoup plus basse que pour les cancers par exemple qui atteignent même des adolescents. Si l’on comptait donc en espérance de vie, l’épidémie COVID serait une cause secondaire de mortalité après les maladies cancéreuses, cardiaques et pulmonaires sans COVID.

Où en est-on aujourd’hui pour la vaccination en France ?

Fin juin 21,5% de la population mondiale avait reçu une première dose et 11% une vaccination complète. Depuis le 18/12/20, début de la vaccination au Royaume-Uni, le taux de décès mondial COVID est passé de 2,21% à 2,17% soit une baisse de 0,04% pour une vaccination complète à 11%. Pour le moins dit-on, cela laisse rêveur ! Pour la France le taux de décès, après être passé par un maximum à 15,7% le 17/05/20, est retombé progressivement à 2,17% le 18/11/20. Commencée le 28/12/20 la vaccination a atteint fin juin 50,6% de la population française pour une dose et 11,4% pour la vaccination complète. A cette date de fin juin le taux de décès est de 1,93% à comparer au 2,17% avant la vaccination après être passé à 2,45% début janvier. Ces taux de décès sont sans commune mesure avec le taux de 15,7% atteint l’an dernier le 17/05/20. Est-ce l’effet vaccinal, une prise en charge hospitalière plus efficace ou une dangerosité moindre du virus ? Si l’on peut trouver une amélioration dans la prise en charge précoce en hôpital et de meilleurs soins de réanimation, on ne peut pas trancher entre vaccination et moindre dangerosité du virus. Beaucoup de cas et peu de décès, cela peut aussi valider ce qui a été dénoncé par le professeur Raoult lequel a détecté des faux positifs entre 20% et 40% des cas dans les tests PCR. Au-delà d’un tiers de faux cas positifs, l’interdiction de certaines activités n’est plus justifiée car elle demanderait un examen clinique pour chaque test positif.

Si l’on regarde le nombre de personnes encore malades du COVID en France, celui-ci était de 91,14% le 18/11/20 avant la vaccination pour se situer à 92,10% au 30 juin 2021. La vaccination n’a donc rien changé sur la prise en charge de l’épidémie. D’ailleurs entre ces deux dates le taux de guérisons est passé de 6,7% à 6,0% ! La période vaccinale a été commencée le 28 décembre et le maximum de cas observé le 11 avril avec 117 900 cas (tests positifs) alors que le taux de vaccination était de 16,5% à 1 dose et 5,5% en vaccination complète. Une semaine plus tard, soit le 18 avril, le nombre de cas était de 27 734 soit une baisse de 76% alors que la vaccination n’était encore que de 19,1% à 1 dose et 6,8% en vaccination complète, soit 2,6% de vaccinés en plus. Sachant en plus que l’immunité n’est atteinte que 10 jours plus tard, il est évident que la vaccination n’a pas eu d’effet sur la descente extrêmement rapide des cas alors que la propagation du virus a diminué des ¾ naturellement. Seule la barrière immunité naturelle s’y est opposée.

Le 27 décembre, juste avant le début de la vaccination en France, le nombre de décès était tombé à 173, pour remonter à 895 le 26 mars alors que la vaccination n’en était qu’à 11,5% pour 1 dose et 4% en vaccination complète. Mais le 1er mai, soit 36 jours plus tard, le nombre de décès était tombé à 192, soit une baisse de 79%, avec un taux de vaccination 1 dose à 23,9% à 1 dose et 9,8% en vaccination complète, soit une augmentation de respectivement de 12,4% et 5,8% de la vaccination. On nous a pourtant seriné qu’il faudrait atteindre au moins 50% de population vaccinée pour avoir un effet de la vaccination et on nous dit désormais qu’il faut vacciner toute la population pour éradiquer le virus. Celui-ci d’ailleurs ne se prive pas de renaître sous d’autres formes puisqu’il est toujours là avec plus de 50% des Français vaccinés à 1 dose en ce début juillet avec une vingtaine de décès par jour. Il est difficile en effet de contraindre à une vaccination complète si le vaccin est déjà très efficace à 25% de vaccinés, ou au contraire de dire que le vaccin est n’efficace qu’au-delà de 50% des vaccinés si le nombre des décès baisse des 3/4 avant 25% de vaccinés. C’est une contradiction qui ne gêne nullement la propagande actuelle pour la vaccination de masse.

Le passeport sanitaire et l’obligation de le présenter pour la plupart des activités en public, est évidemment une obligation totale déguisée. Le message de la relance économique possible que si la vaccination est continuée, la persuasion des non vaccinés par des arguments sur la solidarité sociale, façon d’ostraciser les contrevenants, sont des moyens de culpabilisation épaulés par la menace d’une reprise de la pandémie dès la fin des vacances. Tout est bâti sur la certitude autoproclamée de l’efficacité presque totale des vaccins. Peu importe que celle-ci ne soit pas prouvée jusqu’ici. La référence à l’OMS et les nombres de décès obtenus en Israël et au Royaume-Uni, plus le matraquage des médecins sur cette certitude, suffit pour propager l’idée de la soumission au vaccin. C’est donc au nom des 42% de réfractaires que j’écris ces lignes. Pour les autres c’est trop tard et je ne veux pas gâcher leur certitude d’être sauvés de la pandémie dont l’origine naturelle n’est pas prouvée.

Quid des contradictions de la vaccination dans le monde ?


La comparaison entre 5 pays du monde peut résumer ces contradictions fondamentales auxquelles devraient répondre les tenants de la vaccination, à savoir le Chili, Israël, la Palestine, le Sénégal et l’Irlande. Le graphique ci-contre donne l’évolution des décès/jour/million moyennés sur une semaine entre le 18 décembre et le 1er juillet.

Premier constat, quatre pays sur 5 sont revenus aujourd’hui à des taux de mortalité faibles inférieurs à 0,5 décès/jour/million d’habitants (djmh), alors que le djmh total était de 25 en 2020 toutes causes et maladies confondues. Au Chili, le grand pays le plus en avance pour la vaccination avec près de 65% de la population vaccinée reste à un taux élevé de décès à 6 décès/jour/million, alors que le pic a été atteint le 4 avril avec 6,8 djmh malgré 36,6% de la population vaccinée à 1 dose. Le nombre de djmh à 6 au 1er juillet correspondrait à 320 djmh en France au lieu des 23 relevés le même jour. Au Chili la forte vaccination ne maîtrise toujours pas la contagion et la nocivité du virus.

Le pic de décès en Israël a été atteint plus tôt soit le 25 janvier avec 7,17 de djmh et 30,1% de la population vaccinée 1 dose. 37 jours plus tard il annonçait 2,19 pour le djmh assorti d’une vaccination 1 dose à 53,6% et 39,6%. Avec une baisse de 69% des décès pour une augmentation de 23,5% des vaccinations et surtout le dépassement des 50%, Israël pouvait revendiquer l’efficacité de la vaccination, ce qu’il n’a pas manqué de faire. On oublie au passage que la diminution des décès a eu lieu dès l’atteinte des 30% de vaccination 1 dose, alors que le Chili avec près de 65% de vaccination ne maîtrise toujours pas la pandémie. L’explication des autorités se résume pour l’instant à ne jamais parler du Chili. On préfère parler du Brésil et de l’Argentine en pleine pandémie mais qui n’en sont encore aujourd’hui qu’à respectivement un taux de vaccination de 35,6% et 37,3%. La raison est évidemment qu’ils n’ont pas atteint le fatidique 50-60%. Des grincheux se demandent pourquoi Israël a inversé la courbe avec 30% de vaccinés alors qu’avec 35% ces pays d’Amérique du Sud n’y arrivent pas. La question n’étant pas posée réellement par un journaliste indépendant, la réponse n’aura pas besoin d’être exprimée. Fermez le ban !

Ce qui gênerait encore plus Israël c’est l’évolution des décès en Palestine, pays voisin et ennemi héréditaire. Depuis son pic de décès le 23 avril avec 5,07 de djmh et 3,6% de vaccination 1 dose et 0,9% de vaccination complète, la Palestine voit baisser son nombre de décès jusqu’à 0,22 de djmh le 11 juin alors que son taux de vaccination le 12 juin n’est qu’à 8,7% 1 dose et 5,6% 2 doses. Qui osera dire alors qu’avec une hausse de 5,1% du taux de vaccination on peut abaisser le nombre de décès journaliers de 96% ! Personne, c’est pour cela que l’on ne parle pas de la Palestine, Israël le premier. Depuis le 12 juin la Palestine reste dans le peloton de tête des pays dans lesquels la pandémie est pour l’instant maîtrisée et son taux de vaccination n’atteint que 11% 1 dose et 7,9% 2 doses. Ont-ils vraiment intérêt à continuer la vaccination à votre avis ?

Il est courant que l’on objecte que les arguments donnés sur des petits pays ne soient pas transposables aux grands. La Suisse qui se porte bien ne pourrait être comparée à l’UE en raison de sa taille. On se demande alors pourquoi les industriels fabriquent des prototypes miniatures. La Palestine n’a que 5,2 millions d’âmes, c’est un peu plus pourtant que l’Irlande dont on parle. Mais passons et regardons un grand pays comme l’Iran et ses 83 millions d’habitants comme l’Allemagne. Son taux de mortalité est aujourd’hui à moins de 1,6 de djmh avec 4,9% de vaccination 1 dose et 2% 2 doses quand le Chili est à 6 de djmh malgré 65% de vaccination 1 dose et 56% 2 doses, soit près de 4 fois moins de décès en Iran avec un taux de vaccination 13 fois inférieur.

Mais revenons à un pays de la taille de la Palestine et très voisin, l’Irlande. Après son pic très élevé de décès à 12,1 de djmh le 4 février avec des taux de vaccination de 3,1% 1 dose et de 1,6% 2 doses, l’Irlande a vu baisser très rapidement son taux de mortalité à 1,97 le 27 mars alors que le taux de vaccination était de 11,1% 1 dose et 5,8% 2 doses. Comment un aussi faible taux de vaccination a-t-il pu faire baisser les décès de 84% ? L’Irlande, avec son taux de mortalité de 0,32 de djmh et ses taux de vaccination de 50,2% 1 dose et 20,4% 2 doses, reste le bon élève de l’Europe mais l’essentiel de la baisse s’est passé dès le 27 mars sans la vaccination. Voilà qui met un nouveau doute sur l’efficacité de la vaccination destinée à éviter la propagation et la mortalité.

La cerise sur le gâteau c’est le Sénégal dont le gouvernement et les grands médias ne parlent jamais. Ce pays rivalise avec Israël avec un pic de taux de mortalité de 0,62 de djmh alors qu’aucune vaccination n’avait commencé. Fin juin, elle n’était que de 3,2% 1 dose et 0,9% 2 doses pour un taux de mortalité de 0,079 décès/jour/million d’habitants. Israël fait mieux certes avec 0,016 de djmh mais on est arrivé dans l’épaisseur du trait sur le nombre de décès car la France est à 0,44 au 30 juin. La vaccination complète de la population et l’arrivée au 2/3 de baisse des décès pour 1 dose est-elle la panacée quand un pays, près de 2 fois plus peuplé qu’Israël et d’un continent dit à risques élevés, montre qu’il y a un salut en dehors de la vaccination. Mais chut, protocole Raoult et hydroxychloroquine sont soutenus par le gouvernement sénégalais.


Les propagandistes de la vaccination jusqu’à son obligation vont dire que l’échantillon de pays a été choisi pour satisfaire notre complotisme. On serait aussi des manipulateurs. Je pourrais répondre bienvenue au club, mais je peux leur opposer bien d’autres exemples de contradictions et de preuves de l’inefficacité de la vaccination. Néanmoins pour répondre à cette critique, je vais prendre un échantillon dix fois plus grand de 54 pays et juger du degré de corrélation entre la vaccination et la moyenne des décès/jour/million d’habitants entre le 18 décembre 2020, date de la première vaccination mondiale de masse au Royaume-Uni, et le 27 juin 2021. On constate, même visuellement, qu’il n’y a aucune corrélation entre le taux de vaccination et les décès pendant la période vaccinale. On peut néanmoins classer les pays en 4 types distincts. En haut à droite les pays qui ont beaucoup vacciné mais ont eu malgré tout un nombre important de décès dans la période vaccinale. En bas à gauche les pays qui ont beaucoup vacciné aussi mais qui n’ont pas eu beaucoup de décès. La France en fait partie mais sa réussite est très loin de celles de la Norvège et de la Finlande. On peut aussi noter qu’Israël n’a pas aussi bien réussi même s’il semble avoir finalement jugulé la pandémie en ce début juillet. En haut à gauche on a les pays qui n’ont pas beaucoup vacciné mais qui ont mal maîtrisé la pandémie. Enfin en bas à droite ce sont les grands gagnants pour l’instant car avec une faible vaccination ils n’ont eu que peu de décès. Il faut néanmoins noter que la pandémie reprend en Russie et en Afrique du Sud. Au palmarès des meilleures réussites on trouve la Corée du Sud, le Maroc et… le Sénégal.

En ce jour du 1er juillet il est impossible de trouver dans ces études comparatives, la preuve de l’efficacité du vaccin. L’effet de l’immunité naturelle reste la seule certitude et on voit que le virus vit sa vie sans sembler faire cas de la vaccination. Les tenants sont en face de contradictions qu’ils tardent à expliquer… faute d’arguments. Ils les ignorent et continuent sans état d’âme une vaccination qui prend les peuples pour des cobayes sans preuve autre que la parole des producteurs dont j’ai montré la manipulation scientifiquement frauduleuse dans leur document de preuve d’efficacité. Il reste néanmoins le fait que des individus en excellent santé sont traumatisés voire meurent à cause de ce vaccin, et aussi l’incertitude sur les effets à long terme quand certains éminents spécialistes affirment que la vaccination accélère la production des variants qui peuvent devenir très dangereux quand ils se combinent avec d’autres types de virus.

Allez une petite dernière pour le plaisir avec ce graphique que je vous laisse interpréter.


 

La propagande pour la vaccination se répand sous le couvert de la peur.

Elle rend inaudible les arguments sur l’arnaque sanitaire en cours.

Heureusement que le bon sens et la salutaire hésitation

Que ressent le cascadeur avant de se lancer

En vérifiant lui-même que tout est prêt,

Comptent encore 42% des Français.

Tenez bon, votre corps

Est à vous seul !

Claude Trouvé

03/06/21

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