Accéder au contenu principal

Un cas d’école : Vaccin contre virus en Irlande

 

Un cas d’école : Vaccin contre virus en Irlande

A l‘attention de ceux qui croient encore à l‘efficacité des vaccins ARNm contre le COVID.


Ce graphique représente l’évolution journalière, moyennée sur une semaine, des décès, cas et vaccinations avec des échelles permettant de les réunir sur un seul graphique depuis le début de la pandémie jusqu’au 14 novembre 2021. Que notons-nous ?

Deux pics de décès :

Le 25/04/20 avec 14,10 décès/jour/million d’habitants sans vaccination

Le 04/02/21 avec 12,01 décès/jour/million d’habitants avec 3,2% de vaccination 1 dose

Une prolongation de la vaccination :

Le 17/03/21 avec seulement 3,6% de vaccination 1 dose et 1% de vaccination complète on note :

1,921 décès/jour/million d’habitants soit une baisse de 84% du nombre de décès

1,040 cas/jour/million d’habitants soit une baisse de 92% du nombre de cas

Le 14/11/21 avec 76% de vaccination complète et en comparaison avec le 14/06, le point bas des décès et cas et à vaccination complète de 25%, on obtient :

2,122 décès/jour/million d’habitants soit une hausse importante après une période sans décès le 14/06/21

8,332 cas/jour/million d’habitants soit un nombre de cas multiplié par plus de 13 par rapport au 14/06/21

Ceci nous ramène à la situation comparable du 06/01/21 soit plus de 10 mois en arrière avec :

2,093 décès/jour/million d’habitants

8,887 cas/jour/million d’habitants

Il faut se rendre à l’évidence. Non seulement les deux pics de cas et de décès ont disparu totalement pour le premier sans vaccination, et à 80% pour le deuxième sans aide prouvable du vaccin. Ce dernier se révèle donc impuissant à juguler une nouvelle montée rapide de cas et de décès dans un pays où les ¾ de la population a reçu une vaccination complète. Dans ce combat vaccin-virus le virus reste en course, le vaccin aussi mais KO debout. C’est la situation générale en Europe même si la France n’en voit encore que les prémisses.

L’Europe le mauvais élève


Ce graphique surchargé a néanmoins la faculté de nous montrer les évolutions relatives de tous les continents. Il saute à première vue que l’Europe se différencie des autres par une reprise rapide de la propagation de l’épidémie. Elle atteint même un niveau de cas/jour égal à celui du 8 novembre 2020. A l’opposé on note que l’Afrique n’a presque plus de cas, tout en ayant le plus faible taux de vaccination avec 7% de la population complètement vaccinée. L’Asie, l’Amérique du Sud, et l’Océanie sont également situées dans la zone du faible nombre de cas entre 0 et 0,5 cas/jour pour 10 000 habitants soit une dizaine de fois moins que l’Europe. On note également que le nombre journalier de cas dans le Monde avec 0,62 n’est que légèrement supérieur à ces 0,5 cas/jour/10 000 habitants. De plus ce nombre décroit régulièrement depuis son maximum à 1,04 le 30 avril 2021. En conclusion l’Europe, le continent le plus vacciné est le plus exposé à une reprise de l’épidémie COVID qui ne se manifeste pour l’instant ni en Afrique, ni en Asie, ni même en Amérique du Sud.

 

Peut-on dire que globalement la vaccination a fait fléchir la propagation du COVID ?


L’examen de l’évolution du nombre de cas dans le Monde et des différents continents portés sur ce graphique démontre le contraire. L’infléchissement de la vitesse de propagation est certes visible dans le Monde et en Amérique du Sud, Asie et Afrique. Mais d’une part l’infléchissement est lent et les continents Asie et Afrique qui évoluent le moins vite sont les moins vaccinés. L’Afrique, très peu vaccinée, montre que le COVID ne s’y propage plus d’une façon significative depuis 2 mois. A contrario la propagation s’intensifie en Europe, le continent le plus vacciné. En Océanie, où la vaccination est intense et récente depuis la fin août, l’évolution des cas l’est aussi. Les Amériques et l’Europe ont un bilan total comparable du nombre de cas/habitants au 14/11/21, mais cette dernière est en voie de dépasser rapidement l’Amérique du Nord et de devenir le leader mondial du nombre de cas depuis le début de la pandémie. On note au passage l’entrelacement des évolutions des deux Amérique, sans doute l’influence saisonnière due à leur localisation dans deux hémisphères différents.

Autrement dit peut-on noter une différence d’évolution des cas et des décès ? La réponse est dans le graphique suivant.


Ce graphique met définitivement en lumière l’existence de deux ensembles, les Amériques et l’Europe d’une part, et l’Afrique, l’Asie et l’Océanie d’autre part. Le premier bloc, que l’on peut nommer Occident, est parfaitement distinct et a un nombre cumulé très élevé de décès/habitants par rapport au second. On note que l’Amérique du Sud se détache et a le plus grand nombre de décès mais une vitesse d’augmentation des décès plus lente que l’Amérique du Nord et surtout que l‘Europe. On peut y voir là, comme pour les cas, l’influence saisonnière décalée entre les deux hémisphères. Le virus, sensé se répondre sur l’ensemble du globe depuis son apparition en janvier 2020, a touché beaucoup plus l’Occident que le reste du monde. C’est donc à deux blocs distincts de continents que nous avons affaire et le graphique suivant résume cette approche.

Avant de tenter une explication de causalité à cette classification, il faut constater que le nombre total de décès/habitants du bloc occidental est 2,73 fois plus élevé que le bloc sud-oriental, le nombre total de cas 2,05 fois, et le taux de vaccination 1,5 fois. En faisant le rapport des décès et des cas avec le taux de vaccination on en déduit que la vaccination augmente de 82% le nombre de décès et 37% le nombre de cas entre l’Occident et le bloc sud-oriental ! On peut évidemment évoquer d’autres raisons plus ou moins liées à la vaccination comme le traitement de la maladie et l’âge médian des populations de ces deux blocs. L’âge médian du bloc occidental est en effet supérieur de 10 ans. Ceci peut expliquer la différence entre les décès et les cas. Les décès étant de 33% supérieur aux cas entre les deux blocs, on peut admettre que l’âge médian plus élevé de l’Occident entraîne une plus grande mortalité chez les personnes atteintes par le virus. Mais on peut aussi penser que le bloc sud-oriental utilise beaucoup plus les traitements cliniques à base d’hydroxychloroquine et d‘Ivermectine. C’est le cas de l’Inde (1,4 milliards d’habitants) et du Sénégal. Néanmoins il reste un rapport 2 en défaveur du bloc occidental sur le nombre de cas. Même si l’on fait encore intervenir l’explication de l’âge médian, ce qui reste à prouver, on ne peut pas dire que la vaccination a prouvé son efficacité et on peut également mettre en doute l’intérêt de vacciner les personnes en activité et les adolescents.


La France a-t-elle fait mieux que des pays de référence ?

Autour de leur moyenne continentale les pays vivent des histoires sanitaires différentes. Il est bon de regarder notre pays face à des pays remarquables par leur nombre d’habitants ou par leur type de politique sanitaire. Regardons tout d’abord l’évolution journalière de 4 pays typiques dont la France. L’Inde est choisie parce qu’elle l’un des deux pays les plus peuplés du monde et parce qu’elle a eu une politique sanitaire hybride entre la vaccination et le traitement clinique. Israël est le laboratoire d’essai du vaccin Pfizer et a servi de modèle aux politiques vaccinales par ARNm. Enfin le Sénégal a pratiqué une politique presqu’exclusivement basée sur le traitement clinique.


On note que la politique sanitaire d’Israël a fait penser que la vague de cas de janvier-février avait été stoppée par la vaccination encore qu’il reste difficile d’isoler l’évolution naturelle, illustrée par la disparition naturelle de la vague d’octobre 2020, de l’impact vaccinal dans la 2ème vague. De plus la poursuite de la vaccination jusqu’aux 2/3 de cette population n’a nullement empêché la troisième vague jusqu’à un sommet plus élevé que les deux premiers. La chute finalement acquise le 14/11/21 est-elle le fruit de la vaccination ou d’une évolution naturelle ? Rien ne permet de le prouver mais la nécessité d’une 3ème dose s’est imposée sous l’influence de BigPharma et envahit les décisionnaires européens et l’éventualité d’une 4ème, 5ème, etc. est évoquée. Pour la France l’efficacité du vaccin par rapport à l’évolution naturelle, lors de la vague qui a culminé le 17 avril 2020, est encore plus sujette à caution car l’essentiel de la baisse a été obtenue avec un faible taux vaccinal variant de 6% à 15% de vaccination complète dans cette période de baisse. La continuation de la vaccination jusqu’à 50% n’a d’ailleurs pas permis d’éviter une reprise de la propagation qui repart depuis le 13/10/21. Cette reprise vient d’être avouée le17/11/21 par le gouvernement. Ceci remet la France devant une situation de reprise de propagation qui s’est déclenchée plus tôt en Europe et est comparable à celle du 6 janvier 1921 ou plutôt à celle du 22/09/20 avec une accélération plus rapide. Il semble bien que les mesures contraignantes prises par la France n’aient servi qu’à retarder le problème.

L’évolution des cas pour Israël est particulièrement significative sur son impuissance à juguler la propagation avec même un taux jamais atteint ni en Israël, ni en France avec 12,5 cas/jour/10 000 habitants le 14/09/21. Pourtant le taux de vaccination évoluait au-dessus des 60% de vaccinés. On note que l’Inde, après un pic de cas plus de 2 fois moins important qu’en France le 11 mai 2021, a parfaitement géré la situation ensuite. Le Sénégal n’a eu que très peu de cas en juillet et n’est plus impacté par la pandémie. On voit nettement la reprise en cours de la propagation en France, ce qui nous ramène à la situation du 21/09/20 soit près de 14 mois en arrière. Donc vaccination ou pas, le canard est toujours vivant. L’efficacité du vaccin sur la propagation n’est toujours pas prouvée et on voit mal comment une 3ème dose pourrait changer les choses. Une seule chose est sûre c’est que la vaccination n’a pas empêché jusqu’à présent la propagation du virus COVID !

 

La France a-t-elle bien géré la pandémie du COVID ?

Il est communément admis que la bonne gestion d’une pandémie c’est de la stopper le plus vite possible et de soigner efficacement les malades. L’échec ultime à éviter c’est le décès des patients.

Si l’on se compare à l’Europe (1812 décès/million d’habitants en total cumulé depuis le début de la pandémie), la France ne fait que légèrement mieux avec 1763 décès/million d’habitants le 14/11/21. C’est mieux globalement que l’Amérique du Nord (1924) et surtout que l’Amérique du Sud (2707). Mais nous restons très loin des réussites des pays d’Afrique, d’Asie et même d’Océanie. Pour mesurer ce décalage on peut regarder notre situation de décès par rapport à Israël, à l’Inde, à la Corée du Sud, à la Chine et au Sénégal.

 

Notre politique sanitaire n’apparaît plus alors comme un modèle de politique sanitaire. Le total des décès/habitant est 2 fois plus élevé qu’en Israël alors que le taux de vaccination est légèrement supérieur, et plus de 5 fois plus élevé qu’en Inde où le taux de vaccination est nettement inférieur. La Corée du Sud et la Chine, un peu plus vaccinés que nous, ont de 30 à plus de 500 fois moins de décès. On traite les données de la Chine comme mensongères et largement sous-estimées. Pour répondre à cette accusation, il faut noter qu’avec le même pourcentage de décès/habitant la Chine devrait déplorer ce jour 2 468 000 décès au lieu de 4636 ! Cela ne pourrait guère être caché et il y a de la marge pour un chiffre 10 à 100 fois plus élevé. Le cas du Sénégal qui rivalise avec ces deux pays est significatif de l’intérêt du traitement clinique par rapport à une vaccination très peu pratiquée. Comme il s’agit d’hydroxychloroquine, les médias occidentaux n’en parlent pas malgré un nombre de décès/habitant 17 fois inférieur à la France.

 

Le constat s’impose : la vaccination n’arrête pas la propagation du virus

La pandémie continue et même les vaccinés sont contaminants. Le discours officiel évolue donc et on ne nous parle plus que de diminution de la gravité des conséquences de l’attaque virale chez les vaccinés. Il se nourrit de statistiques sur les hospitalisations voulant prouver que les non-vaccinés sont beaucoup plus vulnérables sans que ces travaux soient examinés par des experts indépendants. Ceci n’est pas pour nous surprendre puisqu’ils sont majoritaires chez les personnes âgées très souvent porteurs d’une ou plusieurs comorbidités. L’office britannique sur la santé publie des conclusions inverses. Qui croire ? La virulence des différents variants est sans doute le paramètre passé sous silence dont l’importance dépasse l’efficacité du vaccin pour expliquer, mieux que la vaccination, que le rapport décès/cas est fluctuant et propre à chaque variant. On peut ajouter que les non-vaccinés qui vivent au ralenti par obligation deviennent moins immunisés que les vaccinés vivant normalement avec le Pass sanitaire. On doit donc rester très dubitatif sur les informations officielles destinées à faire vacciner le dernier carré des 1 million de non-vaccinés quand l’efficacité du vaccin est non prouvée et que la diminution de gravité des réinfections chez les vaccinés n’est pas reconnue dans tous les pays. Vaccinons, BigPharma-vaccin engrange plusieurs dizaines de milliers d’euros par minute… « Tous vaccinés, tous protégés » mais de quoi ? De cette folle question…

Et si le vaccin tuait plus que le COVID ?

Folie ou réalité masquée selon Data Analysis @Data_is_Louder

…26 octobre – Mystère COVID, Le Danemark, la Finlande et la Norvège enregistrent une surmortalité plus importante que lors de leur pic épidémique du Covid. Ces mystérieux excès de décès se sont produits en même temps que le déploiement de la vaccination.

Danemark – « 5 mois d’affilée, 2021 a battu le record de 10 ans de décès de personnes, toutes causes confondues… décès covid proches de zéro au cours de la même période ».

Il en va de même en Irlande, au Royaume-Uni et en Israël. Jetez un coup d’œil à l’Angleterre (de 10 à 59 ans).

 

« Ce qui est si inquiétant dans ce graphique, c’est qu’il montre comment les vaccins ciblent les jeunes. “Alors que le bilan des décès dus au COVID a été largement confiné aux personnes âgées… ce sont les jeunes qui supportent le poids des blessures dues aux vaccins. Selon VigiAccess, la base de données des événements indésirables de l’Organisation mondiale de la Santé, 41% des plus de 2,4 millions de lésions vaccinales signalées à ce jour concernent les moins de 44 ans, et seulement 6% les plus de 75 ans” ».

C’est quelque chose que vous ne lirez pas dans les médias, et pour une bonne raison. Parce que cela saperait leur objectif mortel de continuer à vanter les mérites du vaccin.

Joel Smalley, analyste quantitatif, nous en dit plus :

« Mise à jour hebdomadaire des décès par les CDC. “Malgré” une vaccination complète à plus de 80%, depuis le 24 juillet, les décès de personnes âgées de plus de 65 ans en Floride ont augmenté de 14% par rapport à la même période l’année dernière. “Malgré” une vaccination complète à au moins 50% chez les moins de 65 ans, les décès sont en hausse de 46% et continueront d’augmenter au fur et à mesure du rattrapage des déclarations ».

Toute vérité n’est pas bonne à dire

Puisqu’elle n’est que mensonge

Dite par des complotistes !

Claude Trouvé

18/11/21





Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Vaccination COVID et contradictions sur son efficacité

  Vaccination COVID et contradictions sur son efficacité C’est reparti ! Le virus ? Rien d’affolant pour l’instant mais la propagande de la vaccination mise toujours sur la réinitialisation de la peur comme le conducteur de locomotive qui remettait du charbon pour que la pression vapeur ne retombe pas. La manipulation des masses demande de tenir les tenir au chaud dans les creusets de la peur. La peur climatique commençait à voir son bateau catastrophique prendre l’eau rafraichissante dès la fin de 2019 au vu de la discordance qui s’aggravait entre les prévisions du GIEC et les mesures de températures globales mesurées. Le virus est donc tombé à point nommé (?) pour reporter l’attention des masses sur un virus nouveau parmi les nombreux qui se créent en permanence par mutation interne ou recombinaison avec d’autres types de virus. Le spectre d’une épidémie qui isolerait, parquerait, musèlerait de nouveau des millions de personnes comme à Wuhan suffit à créer le réflexe du « jamais

Les chiffres parlent et les mensonges israéliens apparaissent au grand jour

  Les chiffres parlent et les mensonges israéliens apparaissent au grand jour La presse française continue son œuvre de désinformation sur la réalité des faits dans le conflit israélo-palestinien. Les images et les chiffres servis à satiété sur le massacre des Israéliens dès le 7 octobre et les images nous ont été livrées par les médias comme des certitudes ne souffrant aucune contestation. Une manifestation importante cornaquée par le gouvernement et la bienpensante politique a réuni une France plutôt conservatrice mêlant des pro-israéliens, des humanistes horrifiés, et des apeurés sur la tournure des évènements en France. La présence des musulmans et des autorités musulmanes a été faible. Le nombre limité de participants, vu l’incitation de l’exécutif, cache néanmoins mal une profonde division du pays et son malaise d’identité et de sécurité. Celui-ci vient de la non-intégration d’un nombre croissant de musulmans et d’émigrés clandestins ou non, la plupart sans travail, de la volon

Désinformation climatique ou manipulation médiatique_3