Tous Omicros de la propagande vaccinale de la peur au ventre
On sait déjà tout sur le nouveau variant Omicron avec un décès clairement identifié au Royaume-Uni sans précision aucune sur l’état de santé du malade vacciné ou non, avec comorbidités ou non. Il se propage très vite et serait potentiellement moins dangereux, encore que… Les Britanniques craignent le pire. Pour qui ? Pour la population ou pour les hôpitaux ? L’Afrique du Sud atteint le maximum de cas depuis le début de la pandémie mais le plus petit nombre de décès journaliers depuis la fin mai 2020. Elle ne perd rien pour attendre car dans 3 semaines ce sera l’apocalypse d’autant plus que ces idiots sont 2,7 fois moins vaccinés que les Britanniques et 2,8 fois moins que nous. S’ils s’en sont tirés jusque-là avec une vaccination tardive et faible avec 43,5% décès/habitants de moins que les Britanniques et 19,9% de moins que nous, ils vont le payer cher désormais. Vaccinez-vous avant qu’il ne soit trop tard !
D’ailleurs le Royaume-Uni montre l’exemple de la diminution de la propagation du virus même si avec des taux de vaccination très proches des nôtres, ils ont eu 30% de cas/habitants et 20% de décès/habitants en plus que nous. Grâce au vaccin ils ont réussi à étaler le nombre de cas, donc d’hospitalisations, en aggravant globalement leur nombre. C’est ce qui se nomme une bonne gestion hospitalière mais pas sanitaire. Le variant anglais s’est avéré très nocif alors que le dernier variant donne moins de décès… Parce qu’il est moins nocif ? Non grâce au vaccin. Vaccinez-vous ! Boris Johnson annonce un tsunami de décès. S’il le dit c’est que c’est vrai. Vaccinez-vous vite avant que l’Omicron ne vous prenne à la gorge.Pourtant le nombre de morts ne suit pas et stagne à 1,5 décès/jour/million d’habitants. Raison de plus de profiter de l’accalmie pour vous vacciner car s’il y en a peu c’est l’effet bénéfique du vaccin. Vaccinez-vous vite, l’immunité des vaccinés est à la baisse. On vous a dit que le virus actuel n’est pas très nocif. Ceci ne doit pas vous détourner de la vaccination car l’avenir est porteur des plus grandes craintes. Ce Omicron pourrait être un monstre et pour le suivant il faut se préparer au pire. Les non-vaccinés sont des irresponsables qu’il va falloir mettre au pas, soit les enfermer à vie, soit les injecter jusqu’à ce que mort s’en suive. Les effets secondaires ? Une minorité si difficile à dénombrer que l’on ne vous en parle jamais. Ce sont des curiosités vaccinales qui n’intéressent que les grands spécialistes. Le vaccin veille sur vous, ne contaminez pas les autres, vaccinez-vous !
Le discours de vente du vaccin ne varie pas. Quel que soit l’évolution locale de l’épidémie, la pression de Big Pharma ne faiblit pas et le projet d’assujettir à vie la population au vaccin se nourrit de la peur inculquée en permanence. Toute la planète doit être vaccinée, y compris les plus jeunes que l’on accuse maintenant d’être les tueurs des plus âgés. Mais rien dans les chiffres que l’on peut sortir des statistiques ne prouve l’efficacité du traitement génétique ARNm, abusivement nommé vaccin. Si l’on compare deux blocs continentaux qui ont appliqué des politiques sanitaires différentes, à savoir l’Occident (Europe, Amériques du Nord et du Sud) avec une population de 1,5 milliards, et l’Afrique-Asie avec 6 milliards d’habitants, on arriverait même au constat inverse : plus on vaccine plus le nombre de décès augmente et dans des proportions très importantes. Certains chiffres sont révélateurs. Avant la vaccination le bloc occidental a connu 12,4 fois plus de décès/habitant que l’Afrique-Asie. Après la vaccination ce rapport a diminué à 7,7. En Occident le nombre de décès/habitant a été multiplié par 1,7 dans la période vaccinale par rapport à la précédente sans vaccin ; en Afrique-Asie c’est 2,7 mais un moindre taux de vaccination. A première vue on pourrait donner quitus au vaccin puisque le vaccin diminue plus les décès. Mais le 11/12/12 l’Occident compte 7,7 fois plus de décès. La conclusion est que le vaccin a plutôt aggravé la résistance au virus en Afrique-Asie. La résistance principale au virus se trouve ailleurs que dans le vaccin. L’immunité naturelle ne serait-elle pas la meilleure parade et les soins médicamenteux et cliniques les meilleurs sauveteurs ?
L’écart entre ces deux blocs est si important que la différence de 10 ans d’âge médian ne peut suffire à être l’explication principale. Les stratégies sanitaires sont en effet sensiblement différentes avec une propension au traitement clinique et à l’immunisation naturelle ou au contraire à un dépistage poussé des cas de contamination et un confinement local immédiat. N’oublions pas que la Chine avec ses 1,4 milliards d’habitants utilise un vrai vaccin à virus atténué et qu’aujourd’hui elle ne déplore plus de morts. Sa performance sur l’ensemble de l’épidémie est telle que, même en multipliant les chiffres par 100, elle n’atteint pas le nombre de décès/habitant de l’Occident. Si c’était le cas le nombre équivalent de décès serait de 2,5 millions de Chinois tués par le COVID et ne pourrait pas passer inaperçu dans un monde interconnecté. Il faut cesser d’agiter cet argument de défiance pour ne pas saluer la performance chinoise, sud-coréenne et même sénégalaise, et cesser d’éviter de se poser des questions sur la nôtre.
Le variant d’origine mute en permanence et ses nouvelles formes sont sans doute plus contagieuses et moins nocives comme s’il essayait de devenir un hôte pacifique de notre corps et s’installer à demeure. L’apparition d’un nouveau virus de la même famille mais beaucoup plus dangereux n’est pas exclue mais nous ne sommes pas encore dans ce cas de figure. Le virus se propage au gré des conditions climatiques et de transport qui lui sont offertes mais, mis à part un confinement en chambre stérile, les portes d’entrée qui lui sont offertes sont tellement nombreuses que l’on ne peut que retarder sa propagation. Une fois installé il se répand partout. Soit il immunise ses hôtes soit il les agresse plus ou moins gravement. Puis, faute de candidat atteignable, il s’éteint sous sa forme actuelle et se prépare à une mutation pour survivre. Dans la mesure où ce traitement génétique n’arrête pas la propagation, c’est vers le traitement médical médicamenteux et clinique qu’il faut se tourner. C’est ce qui est compris dans le monde non-occidental moins soumis à l’emprise de Big Pharma. Dans le monde depuis le début de l’épidémie un humain détient 96,4% de chances de ne pas être détecté positif et encore moins d’être symptomatique, et 99,93% de chances de ne pas en mourir. Mais en France c’est 88% et 99,82%. Le maniement de la peur pratiqué en particulier en Occident ne peut avoir sur un pays que des effets dévastateurs de tous ordres défiant l’entendement pour une maladie qui en France et sans vaccin a tué 65 000 personnes en 2020 et le tabac 75 000.
Mais si on redevenait raisonnable
On deviendrait insupportable.
Cette camisole des esprits
Garantit la tranquillité
Et l’enrichissement
Des puissants.
Claude Trouvé
14/12/21
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