L’arnaque de la pandémie et de la vaccination continue
Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, déclare sur CNEWS le 23 décembre : « J’espère que l’on va enfin pouvoir sortir de ce cauchemar […] Pour moi nous sommes face à une espèce de gigantesque mensonge, probablement l’un des plus grands mensonges de tous les temps »
Source : ourworldindata
Nous sommes devant deux interrogations sur l’utilité du vaccin qui n’est injecté pour la première fois dans le monde que le 18/12/20, et le 28/12/20 en France, alors que la 1ère vague s’était éteinte d’elle-même sans vaccin et que la deuxième était déjà en voie de régression.
Il importe alors de bien distinguer personnes âgées et porteurs de comorbidités. Les personnes âgées sont plus porteuses de celles-ci que les personnes jeunes ce qui explique leur présence majoritaire dans les décès. La forte incitation sur la vaccination des personnes à fortes morbidités peut avoir un sens qu’il faut pouvoir démontrer, mais celle sur l’ensemble de la population est improductive. C’est une erreur traumatisante, coûteuse et inefficace. Mais d’une façon générale, l’efficacité vaccinale sur la propagation et l’amoindrissement de la gravité des effets de la maladie n’est pas mondialement démontrée à ce jour. La vaccination est pour le moins un facteur secondaire par rapport à d’autres facteurs environnementaux de traitement médical et de conditions de vie et de survie dans des écosystèmes différents géographiquement, climatiquement et culturellement.
Ceci peut se retourner comme une critique à cette analyse mondiale qui ne serait pas représentative du continent européen, celui qui intéresse le plus nos compatriotes. J’entends cette critique d’une analyse mondiale qui peut cacher des résultats différents pour les pays occidentaux comme le montre le premier graphique présenté ici. Il a bien mis en lumière la présence de 2 blocs de continents. On doit donc s’intéresser plus précisément au bloc occidental (Europe + Amériques).
Ces graphiques mettent en lumière des disparités notables entre les continents d’un même bloc. L’Afrique et l’Asie restent très groupés tant sur les cas que sur les décès. Il faut noter le décrochage de l’Océanie après l’atteinte du taux de 50% de vaccination complète et un emballement mi-décembre comme en Europe et en Amérique du Nord. Ces deux derniers continents suivent la même trajectoire pour les cas et les décès donnant crédit à une même politique sanitaire dans le même hémisphère. Dans aucun continent on ne voit visuellement un effet de la vaccination sur l’évolution des cas et des décès. On attendait des millions de décès en Afrique et on n’en compte que 230 000 décès le 06/01/22 alors que l’Europe affiche 1,55 millions de décès, donc un taux de mortalité plus de 10 fois inférieur. Voilà de quoi rabattre le caquet des alarmistes souvent parés d’une supériorité civilisationnelle. Prévisions et supériorité ont volé en éclats.
Mais afin d’éliminer tout biais dans une comparaison insuffisamment ciblée, je vous présente l’ensemble européen avec les données disponibles sur la base de données ourworldindata qui sert à toutes les études libres internationales. Afin de lever l’incertitude entre l’effet vaccinal et la nocivité du virus qui évolue avec chaque variant, l’étude suivante réduit l’observation à la période de 5 mois suivant la date du 04/08/21. Cette date est volontairement choisie pour correspondre au passage à 50% du taux de vaccination pour la moyenne de l’Europe. Ceci répond à la première affirmation d’efficacité du vaccin au-delà de 50% de vaccination complète de la population pour pouvoir commencer une immunité collective. Ce chiffre vient cependant d’être poussé à 90%... vu les piètres résultats de la vaccination.
Non la vaccination n’a pas, en Europe et jusqu’au 03/01/22, prouvé son efficacité ni sur la propagation du virus, ni sur l’abaissement du nombre de décès. C’est le point fondamental soigneusement caché par le gouvernement malgré des reculades successives. Le matraquage de l’urgence de la vaccination de toute la population en France, et les messages terrifiants sur l’arrivée successive de variants dont on s’est servi pour apeurer les Français a marché. La grande majorité des Français reste persuadée du bien-fondé de la politique sanitaire.
Toutes les approches statistiques ou simplement visuelles sur les graphiques nous montrent que l’affirmation de l’action de la vaccination sur la propagation et la gravité des atteintes sur les contaminés est fausse pour ne pas dire mensongère. Elle s’appuie sur des témoignages locaux souvent choisis pour la propagande d’une contre-vérité poussant des peuples, et en particulier le nôtre, vers la soumission sous contrainte à certains protocoles sanitaires d’efficacité illusoire et à une vaccination sans efficacité prouvée et ayant elle-même des effets secondaires graves.
La pression sanitaire par la peur conduisant à une soumission aveugle ne cesse de croître. On parle de vaccination obligatoire ou « d’emmerder les non-vaccinés » jusqu’à ce qu’ils craquent dans un isolement de plus en plus strict. Les médecins doivent vacciner au mépris de leur serment d’Hippocrate qui leur interdit d’aller contre la volonté du malade. Macron maintient l’état d’urgence jusqu’en juillet au-delà de son mandat, car les autorités sanitaires, en demandant toujours plus, abusent du principe de précaution, et lui permettent de passer pour un modérateur alors qu’il détruit la démocratie et engendre une partition de plus dans son peuple. Il dénie la citoyenneté à des non-vaccinés qui n’ont rien commis d’illégal et les livre ainsi comme des pestiférés à la vindicte populaire.
Mais rien ne bouge sur la vraie question qui devrait précéder toute décision et nourrir les discussions des experts scientifiques à savoir : les traitements génétiques appliqués ont-ils réellement eu un effet bénéfique sur notre santé collective ? Motus et bouche cousue, les experts contradicteurs sont ostracisés. L’information donnée au public ne peut être seulement contenue dans l’invitation de chefs de service hospitalier choisis pour être acquis à la cause d’autant plus que l’Ordre des Médecins met l’ensemble des médecins sous la menace de sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion s’ils contestent cette efficacité ou s’ils soignent avec des médicaments non autorisés même s’ils sont largement utilisés en Afrique et en Asie.
A votre avis qui nous arnaque ?
Qui bafoue la démocratie ?
Qui manie le mensonge ?
Qui foule nos libertés ?
Qui nous infantilise ?
Et en fin de compte
Qui est complotiste ?
Claude Trouvé
09/01/22
depuis longtemps je pense qu ilfaut changerde gouvernent des gens sincéres
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