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L’arnaque de la pandémie et de la vaccination continue

 

L’arnaque de la pandémie et de la vaccination continue

Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, déclare sur CNEWS le 23 décembre : « J’espère que l’on va enfin pouvoir sortir de ce cauchemar […] Pour moi nous sommes face à une espèce de gigantesque mensonge, probablement l’un des plus grands mensonges de tous les temps »


Le graphique ci-contre montre que la stratégie sanitaire, établie par les États-Unis et son Dr Fauci, et répandue assez uniformément sur tout l’Occident, manifeste son incapacité à éviter la transmission du virus et de ses variants. Son utilité pour diminuer les cas graves, le taux de létalité en témoigne, n’est pas démontrée. L’écart de l’Occident avec l’Afrique-Asie-Océanie est si important qu’il ne peut plus trouver une raison dans un âge médian plus élevé de 10 ans pour expliquer 8 fois plus de cas et 9 fois plus de décès avec pourtant un taux de vaccination supérieur de 14% le 06/01/22. Les cas de l’Inde, et du Sénégal très peu vacciné, sont au contraire significatifs de l’efficacité de leurs  traitements médicamenteux à base d’hydroxychloroquine, d’antibiotiques et d’Ivermectine.

Source : ourworldindata

Nous sommes devant deux interrogations sur l’utilité du vaccin qui n’est injecté pour la première fois dans le monde que le 18/12/20, et le 28/12/20 en France, alors que la 1ère vague s’était éteinte d’elle-même sans vaccin et que la deuxième était déjà en voie de régression.


Par définition le supposé vaccin, en fait traitement génétique, doit nous immuniser et nous éviter des atteintes graves et la propagation de la pandémie. Comme le montre la propagation mondiale des cas et des décès, il s’agit bien d’une pandémie puisque tous les continents sont touchés. On peut donc demander à la statistique de nous éclairer sur le lien entre la vaccination et le nombre de cas et de décès cumulés depuis le début de celle-ci dans le monde. C’est l’objectif du graphique ci-contre dans lequel on observe une croissance des cas avec le taux de vaccination depuis son début. Certes la probabilité est faible, mais elle exclut toute affirmation contraire. Il n’est pas possible d’affirmer à ce jour que la vaccination réduit la propagation. La vaccination ne maîtrise pas la propagation. On remarque de plus que plus le taux de vaccination augmente, plus la dispersion du nombre de contaminations augmente. C’est un autre signe indiquant que la propagation du virus obéit à d’autres facteurs que la vaccination.

Peut-on voir un effet de la vaccination sur le nombre de décès ? Malheureusement non et la dispersion des couples décès-taux vaccinal sur ce graphique est encore plus grande. Le nombre de décès est insensible au taux de vaccination et obéit aussi à d’autres facteurs en plus grand nombre sûrement que pour les cas. En effet il y a alors plus d’interventions des professions de santé en médecine de ville, en hôpitaux publics et cliniques privées. On peut même pousser plus loin le raisonnement en notant que la très grande majorité des décès étant d’autant plus élevée que l’âge est avancé, ceci tendrait à dire que la politique de vaccination fortement incitée de vaccination des personnes de plus de 65 ans serait sans effet notable.

Il importe alors de bien distinguer personnes âgées et porteurs de comorbidités. Les personnes âgées sont plus porteuses de celles-ci que les personnes jeunes ce qui explique leur présence majoritaire dans les décès. La forte incitation sur la vaccination des personnes à fortes morbidités peut avoir un sens qu’il faut pouvoir démontrer, mais celle sur l’ensemble de la population est improductive. C’est une erreur traumatisante, coûteuse et inefficace. Mais d’une façon générale, l’efficacité vaccinale sur la propagation et l’amoindrissement de la gravité des effets de la maladie n’est pas mondialement démontrée à ce jour. La vaccination est pour le moins un facteur secondaire par rapport à d’autres facteurs environnementaux de traitement médical et de conditions de vie et de survie dans des écosystèmes différents géographiquement, climatiquement et culturellement.

Ceci peut se retourner comme une critique à cette analyse mondiale qui ne serait pas représentative du continent européen, celui qui intéresse le plus nos compatriotes. J’entends cette critique d’une analyse mondiale qui peut cacher des résultats différents pour les pays occidentaux comme le montre le premier graphique présenté ici. Il a bien mis en lumière la présence de 2 blocs de continents. On doit donc s’intéresser plus précisément au bloc occidental (Europe + Amériques).

 

Ces graphiques mettent en lumière des disparités notables entre les continents d’un même bloc. L’Afrique et l’Asie restent très groupés tant sur les cas que sur les décès. Il faut noter le décrochage de l’Océanie après l’atteinte du taux de 50% de vaccination complète et un emballement mi-décembre comme en Europe et en Amérique du Nord. Ces deux derniers continents suivent la même trajectoire pour les cas et les décès donnant crédit à une même politique sanitaire dans le même hémisphère. Dans aucun continent on ne voit visuellement un effet de la vaccination sur l’évolution des cas et des décès. On attendait des millions de décès en Afrique et on n’en compte que 230 000 décès le 06/01/22 alors que l’Europe affiche 1,55 millions de décès, donc un taux de mortalité plus de 10 fois inférieur. Voilà de quoi rabattre le caquet des alarmistes souvent parés d’une supériorité civilisationnelle. Prévisions et supériorité ont volé en éclats.

Mais afin d’éliminer tout biais dans une comparaison insuffisamment ciblée, je vous présente l’ensemble européen avec les données disponibles sur la base de données ourworldindata qui sert à toutes les études libres internationales. Afin de lever l’incertitude entre l’effet vaccinal et la nocivité du virus qui évolue avec chaque variant, l’étude suivante réduit l’observation à la période de 5 mois suivant la date du 04/08/21. Cette date est volontairement choisie pour correspondre au passage à 50% du taux de vaccination pour la moyenne de l’Europe. Ceci répond à la première affirmation d’efficacité du vaccin au-delà de 50% de vaccination complète de la population pour pouvoir commencer une immunité collective. Ce chiffre vient cependant d’être poussé à 90%... vu les piètres résultats de la vaccination.


Je précise que s’il s’agit ici des cas et des décès comptabilisés seulement sur cette période, ce n’est pas le cas du taux de vaccination qui est le taux total de la vaccination complète depuis le début de la vaccination. Sur ces deux graphiques il faut noter que d’une part il n’y a pas de corrélation significative entre les cas, ainsi qu’entre les décès, et le taux de vaccination. Sur cette période où la vaccination est supposée active, son effet n’est pas avéré ou négligeable. La campagne forcenée de vaccination n’a donc pas porté ses fruits ou alors à la marge. Le Portugal, pays le plus vacciné d’Europe avec 90,55%, a eu autant de cas/habitant que la Slovaquie, et 2,2 fois plus de décès/habitant qu’elle le 03/01/22 ! Mensonge de plus du gouvernement, la France n’est pas le pays le plus vacciné ni en Europe, ni dans le Monde. J’espère que Macron, Président du Conseil européen, ne se vantera pas de ses succès sanitaires auprès du Chef de L’État slovaque. Il ne vantera pas sûrement non plus auprès de la nouvelle Commissaire européenne, l’Allemande Ursula von der Leyen, de ses performances sanitaires sur la période récente examinée ici avec une augmentation du taux de vaccination de 10% de plus que l’Allemagne pour atteindre 78,4%, son titre de gloire, mais un résultat de 2 fois plus de cas et 2,9 fois plus de décès ! Ce qui montre au passage que cette vague de vaccinations récentes n’a pas pallié la baisse d’efficacité du vaccin formulée pour expliquer que la vaccination ne marche pas.

Non la vaccination n’a pas, en Europe et jusqu’au 03/01/22, prouvé son efficacité ni sur la propagation du virus, ni sur l’abaissement du nombre de décès. C’est le point fondamental soigneusement caché par le gouvernement malgré des reculades successives. Le matraquage de l’urgence de la vaccination de toute la population en France, et les messages terrifiants sur l’arrivée successive de variants dont on s’est servi pour apeurer les Français a marché. La grande majorité des Français reste persuadée du bien-fondé de la politique sanitaire.


Pour terminer il convient de jeter un œil sur notre pays et de comparer l’évolution journalière des cas et des décès avec celle de l’Europe. On distingue en fait trois grandes périodes, celle de février à juin 2020, celle de septembre 2020 à juin 2021, et celle en cours. Les deux premières périodes montrent une très bonne concordance d’évolution des cas et des décès entre les 2 entités territoriales. Elles sont le fruit d’une évolution naturelle des variants du virus initial à Wuhan, le taux de vaccination étant encore en dessous des 50% visés pour l’immunité collective. Dans la 3ème période la France a été touchée plus précocement que la moyenne des autres pays européens par le variant Omicron. Ce décalage dans le temps est très visible sur les cas. Il y a très probablement une présence de variants de types en proportion différente à l’instant t entre la France et l’Europe. On voit que la vaccination n’a pas empêché ni la propagation ni une montée des décès, ce qui nous ramène pour la France à fin octobre 2020 avec un variant anglais beaucoup plus virulent.

Toutes les approches statistiques ou simplement visuelles sur les graphiques nous montrent que l’affirmation de l’action de la vaccination sur la propagation et la gravité des atteintes sur les contaminés est fausse pour ne pas dire mensongère. Elle s’appuie sur des témoignages locaux souvent choisis pour la propagande d’une contre-vérité poussant des peuples, et en particulier le nôtre, vers la soumission sous contrainte à certains protocoles sanitaires d’efficacité illusoire et à une vaccination sans efficacité prouvée et ayant elle-même des effets secondaires graves.

La pression sanitaire par la peur conduisant à une soumission aveugle ne cesse de croître. On parle de vaccination obligatoire ou « d’emmerder les non-vaccinés » jusqu’à ce qu’ils craquent dans un isolement de plus en plus strict. Les médecins doivent vacciner au mépris de leur serment d’Hippocrate qui leur interdit d’aller contre la volonté du malade. Macron maintient l’état d’urgence jusqu’en juillet au-delà de son mandat, car les autorités sanitaires, en demandant toujours plus, abusent du principe de précaution, et lui permettent de passer pour un modérateur alors qu’il détruit la démocratie et engendre une partition de plus dans son peuple. Il dénie la citoyenneté à des non-vaccinés qui n’ont rien commis d’illégal et les livre ainsi comme des pestiférés à la vindicte populaire.


Nous vivons dans un climat de mensonges et de certitudes sanitaires ne laissant place à aucune contestation. La doxa sanitaire fait fi des informations en provenance de l’étranger, même si elles émanent d’autorités sanitaires nationales sous le prétexte qu’elles sont contradictoires avec les messages assénés. Il ne peut être admis de remettre en cause l’efficacité de la vaccination. Ceci cache en fait une décision politique dont le pouvoir tire parti et Big pharma des profits démentiels. La 3ème dose vaccinale est en cours d’injection et la préparation de l’opinion à des doses successives, selon des rythmes de plus en plus rapprochés, aussi. Les commandes de vaccins pour les couvrir à l’avance sont déjà lancées.

Mais rien ne bouge sur la vraie question qui devrait précéder toute décision et nourrir les discussions des experts scientifiques à savoir : les traitements génétiques appliqués ont-ils réellement eu un effet bénéfique sur notre santé collective ? Motus et bouche cousue, les experts contradicteurs sont ostracisés. L’information donnée au public ne peut être seulement contenue dans l’invitation de chefs de service hospitalier choisis pour être acquis à la cause d’autant plus que l’Ordre des Médecins met l’ensemble des médecins sous la menace de sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion s’ils contestent cette efficacité ou s’ils soignent avec des médicaments non autorisés même s’ils sont largement utilisés en Afrique et en Asie.


Ils ont tellement menti qu’ils ne peuvent plus reculer et le peuple ne doit plus avoir la liberté de disposer de son corps au nom d’une vérité scientifique de l’efficacité d’un traitement génétique qui soulève les plus grands doutes. Se parer de titres de gloire vaccinale, et non de réussite sur la propagation et les décès dans la lutte mondiale, reflète l’incapacité et le mépris de Macron pour notre santé. Nous sommes devant une arnaque politico-économico-sanitaire d’une ampleur sans précédent. Le fait qu’elle touche surtout le monde occidental fait penser à une opération programmée par le Nouvel Ordre Mondial auquel nous ne devons pas échapper comme l’avaient annoncé les deux Présidents Sarkozy et Hollande[C1] . Les directives de notre Président n’obéissent pas à une volonté de protection de notre santé mais à des buts cachés. Ces buts transparaissent dans les propos et le projet de « grande réinitialisation » de Klaus Schwab, président du Forum économique mondial réuni annuellement à Davos, prévu en janvier et reporté au début juillet 2022 pour cause de pandémie.

A votre avis qui nous arnaque ?

Qui bafoue la démocratie ?

Qui manie le mensonge ?

Qui foule nos libertés ?

Qui nous infantilise ?

Et en fin de compte

Qui est complotiste ?

 

Claude Trouvé

09/01/22


 [C1]

Commentaires

  1. depuis longtemps je pense qu ilfaut changerde gouvernent des gens sincéres

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