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Une élection présidentielle de cache-misère

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Description générée automatiquementDepuis les choses se sont gâtées. Sur le plan militaire d’abord Poutine a compris que se limiter à l’invasion du Donbass pour empêcher le massacre de la population russophone et indépendantiste ne garantissait pas l’avenir alors que l’Ukraine était sur une adhésion probable à l’UE et à l’OTAN d’autant plus que ce pays était déjà sous la coupe américaine et sous celle de l’OTAN. Ce dernier point a d’ailleurs été confirmé avec la présence occidentale d’instructeurs occidentaux dans les bases militaires ukrainiennes et les labos biologiques liés au Pentagone dont la Chine demande l’explication aux Etats-Unis. Contrairement au plan de l’OTAN, Poutine a donc considéré comme indispensable d’étendre son attaque jusqu’à l’Ukraine de l’Ouest et à Kiev comme ville symbole qui concentrerait des troupes Ukrainiennes pour sa défense. La première partie de l’offensive s’est concentrée sur le renforcement de la défense des provinces séparatistes, la destruction de l’aviation ukrainienne et de toutes les infrastructures stratégiques dont les camps s’entrainement, les stocks d’armes et de carburant. Il a ainsi joué d’un effet de surprise qui lui a assuré la maîtrise de l’air, détruit en partie les moyens logistiques et porté la menace jusqu’à la frontière polonaise par des missiles. L’aide militaire par les pays de l’OTAN en est brutalement devenue plus délicate.

 

Une élection présidentielle de cache-misère

Quel que soit le résultat du deuxième tour de l’élection présidentielle le grand perdant sera la France et les Français, tout au moins pour 95% d‘entre eux. Parce que tout simplement les promesses électorales qui les touchent le plus ne seront pas tenues et que l’avenir caché aux Français va faire rentrer la France dans une des périodes noires de son histoire.

Souvenez-vous des paroles du Président Sarkozy nous disant : « Nous allons entrer dans le Nouvel Ordre Mondial, et personne n’y échappera », propos repris plus tard par le Président Hollande. Vous ne vous en souvenez pas ? C’est vrai que comme la plupart nous n’avons pas fait attention à cette phrase car elle n’évoquait pas grand-chose dans nos esprits. Elle nous revient pourtant dans la dernière réunion du groupe de leaders mondiaux à Davos sous le nom de « Grand Reset ». C’est le monde des grandes multinationales et des grandes banques, ces puissances de l’argent dont le capital et les revenus annuels dépassent désormais ceux de nombreux Etats. Ils étendent leur puissance, comme les GAFA, dans un mondialisme rémunérateur grâce au dollar et aux transactions financières qui en dépendent. Ce dollar permet aux Etats-Unis de ponctionner économiquement le monde occidental, et adjoint à leur puissance militaire, ils exercent encore une hégémonie sur tout le monde occidental et sur nombre de pays africains et asiatiques. Avec l’arrivée de la Chine à la première place économique mondiale, et avec la guerre en Ukraine, l’expansion des Etats-Unis est à un tournant historique. Un autre bloc de pays a pris naissance, les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) où la notion d’hégémonie sur des pays vassaux est remplacée par une union de nations dans un concept de choix librement consentis sur les meilleures voies communes de développement économique et de garantie des intégrités territoriales. Contrairement à l’UE il n’y a pas de structure supranationale ni de désir de fédéralisme mais la communauté de défense est possible dans des traités d’alliance stratégique.

L’année 2022 marque l’affrontement direct militaro-économique entre le monde occidental sous hégémonie américaine et un monde qui choisit une autre vision pour les peuples. La poussée de l’OTAN dans son expansion vers l’Est européen et sa prétention d’élargir son action sur tout le monde couvert par l’hégémonie américaine vient de buter sur la résistance russe ainsi provoquée et de renforcer le couple Russie-Chine. Mais derrière tout cela il y a le constat des Etats-Unis sur l’attaque de sa monnaie, principal outil de sa puissance économique. Le dollar profite à fond du mondialisme où la plus grande partie des transactions se fait en dollars. La Banque des Règlements Internationaux, la Banque Mondiale et le FMI y font la pluie et le beau temps. C’est ce carcan mondial de dépendance au dollar que les BRICS et en particulier la Russie et la Chine veulent desserrer. Après une stratégie d’épuration des dollars dans leurs comptes nationaux et d’achat d’or la Russie et la Chine poussent en avant une nouvelle monnaie basée sur un panier de diverses monnaies et ont déjà mis en place un nouveau système de circulation des transactions financières concurrent du système SWIFT attaché aux transactions en dollars. Cette concurrence qui offre un autre choix amoindrit la puissance du dollar et devient un casus belli pour les Etats-Unis et pour toutes les puissances nationales ou privées rassemblées à Davos. Avec lui le Grand Reset est aussi mis en danger sur son but d’asservissement des peuples sous le prétexte d’un monde meilleur grâce à la manipulation des peurs comme le climat, la pandémie, et le puçage des populations.

L’affrontement des deux blocs est préparé de longue date en Occident et les Etats-Unis ont en ligne de mire la Chine dont la puissance économique ne cesse de croître. Mais on n’attaque pas un si gros morceau sans l’affaiblir et le couper de ressources minières et énergétiques dont une grande partie vient de la Russie, laquelle détient une puissance militaire et nucléaire redoutable. Il faut donc affaiblir la Russie économiquement et l’épuiser militairement. La guerre en Ukraine devait donc avoir lieu sans engager les troupes américaines mais menée par une armée ukrainiennes préparée au conflit et armée par des pays de l’OTAN. L’Ukraine a été poussée ainsi à ne pas respecter les accords de Minsk, négociés d’ailleurs sans les Etats-Unis, dans sa guerre contre les provinces séparatistes de langue russe. Sa guerre contre les provinces séparatistes dure depuis 8 ans et se solde par au moins 13 000 morts dans ces provinces dont leur espace territorial se réduisait au fur et à mesure rapprochant un peu plus l’armée ukrainienne de la frontière russe avec ses 150 000 hommes, ses armes et ses conseillers militaires occidentaux. Le 16 février dernier le feu vert était donné pour l’offensive finale sur ces provinces, feu vert de l’OTAN pour le moins, et un pilonnage d’artillerie et de missiles trois ou quatre fois plus important s’abattait sur elles. L’avancée finale était imminente. La Russie était prête à cette éventualité et Poutine n’avait plus le choix. Soit l’OTAN continuait son avancée jusqu’à la frontière russe, sous couvert de guerre civile en Ukraine, et il abandonnait les russophones de ces provinces qui appelaient à l’aide, soit il intervenait militairement.

Ce faisant il exposait la Russie à l’opprobre de tous les pays sous l’influence hégémonique des États-Unis. C’est bien ce qui s’est passé le 24 février et les hurlements d’horreur des peuples occidentaux étaient faciles à accompagner par une propagande antirusse forcenée. Les sanctions économiques pouvaient pleuvoir sans même que l’on explique aux peuples européens l’effet boomerang que cela allait provoquer sur eux. Les armes et les aides financières pouvaient affluer vers l’Ukraine sous prétexte de la défense héroïque du peuple ukrainien et du héros Zelenski. L’Europe faisait corps pour s’engager dans cette guerre non déclarée de l’OTAN en rejetant l’agression et l’opprobre sur la Russie. Le piège tendu avait fonctionné, la Russie allait s’épuiser militairement dans une guerre type Afghanistan et économiquement avec les sanctions prévues. De plus l’UE semblait avoir trouvé une raison de se rassembler. On pouvait donner libre cours au réflexe humanitaire d’aide à l’Ukraine. Bingo !

Depuis les choses se sont gâtées. Sur le plan militaire d’abord Poutine a compris que se limiter à l’invasion du Donbass pour empêcher le massacre de la population russophone et indépendantiste ne garantissait pas l’avenir alors que l’Ukraine était sur une adhésion probable à l’UE et à l’OTAN d’autant plus que ce pays était déjà sous la coupe américaine et sous celle de l’OTAN. Ce dernier point a d’ailleurs été confirmé avec la présence occidentale d’instructeurs occidentaux dans les bases militaires ukrainiennes et les labos biologiques liés au Pentagone dont la Chine demande l’explication aux États-Unis. Contrairement au plan de l’OTAN, Poutine a donc considéré comme indispensable d’étendre son attaque jusqu’à l’Ukraine de l’Ouest et à Kiev comme ville symbole qui concentrerait des troupes Ukrainiennes pour sa défense. La première partie de l’offensive s’est concentrée sur le renforcement de la défense des provinces séparatistes, la destruction de l’aviation ukrainienne et de toutes les infrastructures stratégiques dont les camps s’entrainement, les stocks d’armes et de carburant. Il a ainsi joué d’un effet de surprise qui lui a assuré la maîtrise de l’air, détruit en partie les moyens logistiques et porté la menace jusqu’à la frontière polonaise par des missiles. L’aide militaire par les pays de l’OTAN en est brutalement devenue plus délicate.Bingo !

La poussée russe par le Nord s’est interrompue, et transformée en une guerre de position autour de Kiev tout en laissant le couloir humanitaire au sud de la ville. La seconde phase s’est enclenchée vers Marioupol au sud et Kharkov au nord. Ces deux villes ont une importance stratégique indiscutable. Marioupol est un port rempli de russophones et défendue par un régiment d’élite néonazi nommé Azov. Kharkov est la deuxième ville d’Ukraine et siège de l’État-major des armées ukrainiennes engagées contre le Donbass. Pour Marioupol la Russie a engagé l’armée de volontaires tchétchènes et la bataille est pratiquement terminée avec la maîtrise du port. Il reste une poche néonazie enterrée dans des sous-sols de l’usine Azovstal avec probablement des représentants de pays de l’OTAN dont des personnes de « grande valeur », vu les trois essais échoués d’exfiltration par air dont deux hélicoptères détruits avec leurs occupants et un par mer. On apprend en effet au fur et à mesure des redditions qu’il y avait un grand centre de renseignement des Forces armées françaises, agissant dans l’intérêt de l’alliance et du régime de Kiev, plus un groupe de « mercenaires » canadiens, turcs, syriens et britanniques. Pour épargner au maximum les civils, les Russes ont choisi d’accepter le combat de rues sans utiliser la technique du bombardement destructeur aveugle quitte à augmenter la durée de la prise de la ville et le nombre de ses militaires tués. Marioupol pris, les forces russes font se concentrer sur l’encerclement du gros de l’armée ukrainienne concentrée face au Donbass et sur Kharkov. Ce n’est que lorsque ce combat sera gagné que les Russes reprendront l’offensive au sud vers Odessa. On peut penser que ce port important sera la dernière phase de l’opération spéciale décidée par Poutine car il aura coupé l’accès des Ukrainiens à la Mer Noire, donc éliminé tout danger ultérieur à partir de navires ukrainiens et en même temps réalisé la politique ancestrale de la Russie sur l’accès aux mers chaudes.

En conclusion les subsides et les armes qui augmentent dans les aides à l’Ukraine sont trop tardives pour voir la victoire changer de camp à moins que l’OTAN aille plus loin avec des attaques directes d’armement offensif à partir des pays de l’OTAN voisins de la Pologne ou plus explicite encore en envoyant des troupes européennes en Ukraine au-delà de celles cachées actuellement. Le conflit sortirait d’une guerre militaire tiède par une véritable déclaration de guerre et l’OTAN affronterait alors aussi la Chine. Cette éventualité semble irréaliste pour les Etats-Unis et contraire au but d’affaiblissement de la Russie avant de s’en prendre à la Chine. Néanmoins un pourrissement de la situation avec des frappes tactiques nucléaires n’est pas à exclure dans la stratégie américaine actuelle de pourrissement de la guerre sur terrain européen. Il est en effet exclu qu’en dehors de spécialistes militaires, les USA n’enverront pas les GIs car la population américaine ne l’admettrait pas. Incapable de déclarer la guerre la stratégie américaine s’est résumée pour l’instant à pousser dans la guerre un pays frontalier de la Russie, l’Ukraine en l‘occurrence. De toute évidence l’Europe n’intéresse les USA que parce qu’elle est un important débouché pour ses exportations et son bilan commercial, mais aussi parce qu’elle est un espace territorial au plus près de la Russie et de son alliée la Biélorussie. Elle est leur instrument plus ou moins vassalisé selon les circonstances et les pays. L’Allemagne est leur interlocuteur privilégié car elle exerce aussi jusqu’à maintenant une hégémonie allemande qui s’étend sur tous les pays autour de lui y compris la France qui ne cesse de la copier et de la suivre, comme par exemple le traité d’Aix-la-Chapelle.

La France, en temps que membre de l’OTAN et détenteur de l’arme nucléaire dans la meilleure armée européenne, reste un pays qui a un rôle particulier car elle est conviée à se mêler militairement dans tous les conflits extérieurs décidés par les USA au nom de la démocratie, de Libye à l’Afghanistan. Chirac a réussi à éviter la guerre en Irak. La France était conviée au débarquement en Syrie et a été stoppée au dernier moment par Obama mais nous nous y sommes engagés en Syrie et en Irak. Vous voyez que nous n’échappons pas à l’aide militaire à l’Ukraine par la fourniture d’armes mais on va certainement être obligés d’avouer une participation sur le terrain d’experts militaires après la liquidation des militaires coincés dans les sous-sols de l’usine à Marioupol. Or la Russie a bien pris soin de nous dire qu’elle n’était pas en guerre contre nous mais que nous étions désormais dans le camp des pays inamicaux. Ceci ruine d’ailleurs le rôle du Président Macron qui ne peut plus être un médiateur crédible et se contente d’un rôle humanitaire pour garder le contact ou surtout pour sauver des « personnes de valeur » prises au piège de Marioupol. La Turquie, Israël et la Hongrie sont mieux placés pour essayer de trouver les conditions d’un cessez le feu.

Dans la mesure où les USA feront tout pour éviter la paix et que la Russie ne cessera le combat que si elle atteint ses objectifs à savoir la protection dans l’avenir des provinces séparatistes de toute agression militaire, la reconnaissance de la Crimée, et l’assurance que l’Ukraine n’attaquera pas la Russie, et sa Crimée par voie terrestre et maritime, la paix n’est pas pour demain. En effet ceci passe nécessairement par une neutralité de l’Ukraine donc une assurance écrite de la non-intégration de l’Ukraine dans l’OTAN donc dans l’UE puisque l’entrée dans l’UE est désormais subordonnée à l’entrée dans l’OTAN. Toutes ses demandes considérées comme vitales par la Russie, et lui redonnant une puissance plus grande sur l’échiquier mondial, se heurtent de front à la stratégie américaine qui cherche l’affaiblissement de la Russie par épuisement pour affaiblir la Chine par contrecoup, but ultime visé.

Pour ce qui concerne l’aspect militaire, la Russie est sans conteste l’agresseur de l’Ukraine puisqu’elle pénètre sur son territoire. Avec notre vision occidentale nous ne parlons pas d’agression quand nous pénétrons dans un pays comme l’Afghanistan, la Libye ou la Syrie. Nous nous justifions en évoquant la lutte contre des régimes autoritaires au nom de la démocratie alors qu’aucun d’entre eux ne nous avait déclaré la guerre et que nous n’avions pas de ressortissants dans ces pays qu’ils faillent délivrer de l’oppression. Nous avons tué des civils au nom de nos principes et nous n’avons aucun remord de nos crimes de guerre alors que nos intérêts vitaux n’étaient pas menacés. Il faut se mettre dans la peau des Russes pour comprendre comment ce pays en est arrivé à cette extrémité et à consentir des centaines ou des milliers de morts. L’approche toujours plus pressante de l’OTAN aux frontières de la Russie conjugué à l’appel de russophones ukrainiens opprimés et combattus depuis 8 ans sont les ingrédients d’une peur vitale comme l’a ressenti Kennedy en voyant les fusées russes arriver à Cuva et à 150km des côtes américaines. C’était alors pour les USA un cas de guerre totale possible. La situation se résume ainsi. L’Européen sous la couverture militaire américaine pointe du doigt la responsabilité de l’envahisseur russe. Le Russe pointe du doigt la responsabilité des USA dans la violation de l’accord tacite de non-intégration des pays européens du Pacte de Varsovie et celle de l’UE pour n’avoir pas fait respecter les accords de Minsk par l’Ukraine.

Cet aspect militaire de la guerre tiède en cours laisse peu de chances à un règlement rapide car elle oppose en fait deux visions du monde, Etats-Unis et Russie-Chine qui s’affrontent sur le terrain choisi pour en découdre. Pour le téléspectateur l’aspect militaire est mis en avant avec une propagande de temps de guerre mais la bataille essentielle se place sur le terrain économique et j’en parlerai dans une deuxième partie à lire prochainement.

Quand on devient vassal, ont fini par être le dindon de la farce.

C’est le cas de la France qui en s’opposant à la Russie

Est non seulement engagée dans une guerre

Qui ne menace pas nos intérêts vitaux

Mais détruit son image de pays

A la puissance médiatrice

Devenu porte-parole

D’une puissance

Hégémonique.

Claude Trouvé

13/04/22

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