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Être dans le camp du Bien va faire très mal à la France

 

Être dans le camp du Bien va faire très mal à la France

Depuis mars 2020 le Grand Reset s’étale au grand jour. A Davos on ne s’en cache plus, et on avoue même avoir désormais le pouvoir d’imposer sa vision unipolaire au monde, celui sur le monde occidental étant déjà en cours de finalisation.

Famine, inondations, peste, sécheresse, guerre et rumeurs de guerre. Tels sont les principaux problèmes auxquels le monde est confronté aujourd’hui et le Forum économique mondial (FEM) de Davos, en Suisse, est l’endroit idéal pour trouver les réponses fournies par les élites mondialistes, a déclaré son fondateur, Klaus Schwab.


La pandémie COVID de février 2020, dont l’origine reste mystérieuse, a été utilisée pour imposer aux Etats du monde occidental une gestion sanitaire catastrophique.  La comparaison des cas positifs et des décès entre le monde occidental (Amériques + Europe) et le reste du monde ne laisse aucun doute sur ce point. Depuis le début de l’épidémie avec 9,22 fois plus de décès et 7 fois plus de cas malgré 17% de vaccinés en plus le 29/05/22, le monde occidental a montré que la politique sanitaire imposée par l’OMS et le Dr Fauci, référence de la bonne gestion sanitaire, a entraîné des répercussions sanitaires, économiques, psychiques, éducatives dont les effets se font toujours sentir aujourd’hui.

Depuis le virus de Wuhan, les différents variants ont progressivement abandonné leur virulence et augmenté leur facilité de propagation. La campagne de vaccination intense et quasi obligatoire n’a pu commencer à jouer qu’au premier trimestre 2021 en Occident. Les 50% de vaccination complète, annoncés comme nécessaire pour stopper la pandémie, n’ont été atteint qu’à l’automne 2021 alors que les variants avaient perdu de leur nocivité. Déjà presque disparu aujourd’hui en Afrique-Asie, le virus court toujours même ralenti en Occident. Le tapage médiatique sur les cas en Chine et le confinement drastique de certaines grandes villes cache une réalité, il n’y a plus que 1 décès tous les deux jours. Mais la Chine pratique la politique du zéro COVID par une vaccination de 87% de la population avec un vaccin classique à virus atténué, un traitement médical avant toute hospitalisation, et un confinement localisé mais total. Leurs résultats sont là avec 3000 cas/jour pour 1,4 milliards d’individus, soit 2,5 nouveaux cas/jour/million d’habitants pour 243 en France, ce même jour du 29/05/22.

Depuis le début de l’épidémie la France a eu 2,8 fois plus de décès, 6,5 fois plus de cas que les moyennes mondiales malgré 15% de plus de personnes vaccinées. De plus si on la compare à l’Allemagne, elle a 33% de décès et 40% de cas en plus, malgré 1% de plus de personnes vaccinées. Le suivi de la politique sanitaire occidentale, pour ne pas dire américaine, ne lui a pas réussi par rapport au monde mais pas non plus par rapport à un grand pays européen voisin.

On voit qu’en Occident, dit le camp du Bien, on peut se faire mal. Oui le camp du Bien c’est celui de la démocratie, des droits de l’Homme et de la gestion unipolaire du monde par opposition au camp du Mal, celui du totalitarisme et du monde multipolaire. Le camp du Bien c’est Davos et les États-Unis. Davos, selon son patron Klaus Schwab, qui se dit désormais capable de diriger les États et leurs peuples vers la lumière de la démocratie et des Droits de l’Homme, valeurs incontestables que seule une ploutocratie, devenue managériale du monde, peut imposer et gérer. L’idée est d’essence américaine et son Nouvel Ordre Mondial s’aidera de la puissance militaire de cet Etat fondateur de l’hégémonie mondiale. Le premier acte de pouvoir mondial s’est avéré aux yeux du monde sous son aspect dirigiste et contraignant en mars 2020 avec la pandémie, puis sous son aspect des enrichissements colossaux et rapides à niveau inégalé chez les grands labos avec le vaccin dès décembre 2020.

Mais tout cela avait été préparé de longue date avec la peur climatique et la soumission des peuples à la doxa du zéro carbone. Une préparation en douceur car cette peur était porteuse de l’espoir de sauver la planète. La jeunesse y voit toujours un but de sa vie et l’homme s’enorgueillit du satisfécit de pouvoir agir sur la nature et sur son destin. Cela marche toujours et reste en toile de fond des peurs génératrices de la soumission. Mais le même moteur de puissance de l’homme sur la nature a été repris avec le vaccin depuis la pandémie avec un succès mondial mais surtout occidental. Dans les deux cas la ploutocratie fait grossir ses profits et ses moyens d’action sur le monde.

La peur doit être alimentée en permanence. Les constats réels sur l’évolution catastrophique de la température globale peinent à valider les prévisions climatiques. On doit relancer constamment la peur par des constats météorologiques locaux à base de records battus, par un recentrage sur l’urgence du zéro carbone autour de cette valeur mythique du +1,5°C dont on essaie de nous faire croire qu’elle est déjà atteinte ou sur le point de l’être. En parlant de la température terrestre on induit dans les esprits la notion de Terre (planète) et non des terres par opposition à la température des océans. Or si la température globale flirte avec le +1°C, celle des terres a effectivement atteint les 1,5°C. Bingo !

J’insiste sur ce point car il illustre le tissu de mensonges qui nous enveloppe dans la peur et la soumission pour le climat mais aussi pour la pandémie. Pour cette dernière, le masque n’est pas une barrière efficace, le confinement tel que pratiqué en France a eu plus d’effets négatifs graves sur la population que positifs sur la propagation du virus, l’efficacité du traitement génétique, improprement nommé vaccin, sur la propagation s’avère nulle, son effet sur les formes graves de plus en plus contesté, et le nombre d’effets secondaires, deux mois après l’injection, se révèle de plus en plus impressionnant et hors des valeurs habituelles après la vaccination. Ces deux peurs, essentiellement générées par le camp du Bien, entraînent des conséquences mondiales d’une ampleur et d’une importance d’impact jamais atteintes sur l’économie mondiale et la soumission des peuples.

Mais le projet de Grand Reset du Nouvel Ordre Mondial sait que le peuple est versatile et qu’il ne faut lui laisser aucun répit pour que ses yeux et ses oreilles n’aillent pas s’intéresser à ce qui se cache derrière les doxas de la peur. L’écran de fumée peut se dissiper, l’évolution des températures peut ne plus convaincre de l’urgence climatique, la vaccination peut ne plus être le sauveur de l’humanité. Une autre nouvelle peur doit donc toujours être en préparation. C’est ce qui fait la une des médias aujourd’hui en géopolitique, la guerre en Europe. Les États-Unis n’ont jamais abandonné l’idée de faire de l’Europe leur terrain commercial, une mise sous tutelle militaire et d’y exporter leur propre champ de bataille. Depuis l’effondrement de l’URSS, une poussée de l’Otan en Europe de l’Est a été une constante en se servant d’une UE, elle-même sous tutelle, avec l’Allemagne comme relais privilégié qui abrite le plus grand centre de commandement de l’Otan. Les vues sur tous les pays de l’ancien pacte de Varsovie n’ont pas cessé de faire progresser l’Otan vers la Russie. L’Ukraine, vaste pays, disposant d’un armement laissé par les soviétiques est vite apparue comme une cible de choix pour se rapprocher des frontières russes. L’implication des USA dans la révolution de Maïdan et dans l’éviction d’un président ukrainien, protégé par la Russie, a été réalisée le 22 février 2014 par un vrai coup d’État. Dès lors l’arrivée des USA, sous couvert de préparation à l’entrée dans l’UE et au nom de la démocratie, et leur intrusion militaire inavouée de L’Otan, n’ont pas cessé d’augmenter dans ce pays corrompu par les oligarques et gangréné par un nazisme historique.

C’est une véritable armée de guerre que les États-Unis ont financé, formé, entraîné avec une ossature néo-nazie particulièrement motivée et revancharde. Les lieux d’entraînement et de stockage des armes et des minutions étaient sous contrôle de l’Otan présent physiquement. Ce n’est pas moins de 30 laboratoires de recherches biochimiques supervisées par le Pentagone qui ont été créées en Ukraine depuis 2014. Le terrain d’exercices réels de cette armée conventionnelle, devenue la plus puissante d’Europe, était le Donbass où résistait une population russophone réclamant son autonomie depuis 2014. Les accords de Minsk, signés entre l’Ukraine, la Russie, l’Allemagne et la France, étaient censés garantir une décroissance du conflit et aboutir rapidement à une cessation de la guerre civile. Rien n’a été fait du côté occidental pour exercer la pression nécessaire sur l’Ukraine pour qu’elle arrête d’agresser militairement ces provinces séparatistes qui sont restées sous les bombardements et les risques de défaite pendant 8 ans. On comprend bien que l’implication des États-Unis et de pays de l’UE en Ukraine dans le cadre de l’Otan est la raison de cette attitude d’attentisme qui ne pouvait nuire qu’à un seul signataire, la Russie.

L’annexion de la Crimée par les Russes, Crimée qui n’attendait que cela, sans combat et avec l’assentiment de la population, a permis aux USA de franchir un nouveau cap, la préparation de l’armée ukrainienne à un combat plus direct avec la Russie, et l’arrivée de troupes et d’armements otaniens dans tous les pays proches de la Russie. Le 16 février 2022 tout était prêt et le 17 l’armée ukrainienne intensifiait ses bombardements d’artillerie sur le Donbass à un niveau sans précédent, signal évident d’une attaque décisive d’anéantissement de la résistance séparatiste. Dans l’esprit des USA il s’agissait de faire réagir Poutine devant la perspective de voir l’OTAN à ses frontières ukrainiennes. Le piège était tendu et le 20 février les troupes russes entraient bien en Ukraine face à une armée préparée et plus de deux fois supérieure en nombre. La guerre OTAN-Russie sur terrain de jeu ukrainien était ouverte et les USA se frottaient les mains à l’idée d’y voir la Russie s’y engluer comme en Afghanistan et par là même s’y affaiblir et se discréditer aux yeux du monde spectateur. Le but de rendre la Russie impuissante et ostracisée par le monde entier ou presque pour pouvoir se concentrer sur la Chine, seul pays à contester l’hégémonie américaine, était en vue sans engager les États-Unis où sa population est devenue encore plus allergique à la guerre depuis la défaite en Afghanistan.

Sans entrer dans le déroulement tactique de cette guerre qui dure toujours depuis plus de trois mois de combats, on peut dégager les grandes lignes d’une défaite annoncée de l’armée ukrainienne et otanienne. La prise de Marioupol et l’humiliation des milliers d’hommes enterrés dans l’usine Azov stal marque le basculement de la résistance de l’armée ukrainienne dans un sentiment de défaite inexorable.  La victoire de l’armée séparatiste et russe dans le Donbass se dessine malgré l’aide financière énorme et l’approvisionnement en armes et en munitions par les pays de l’OTAN. La domination aérienne, la précision des tirs d’artillerie et des missiles de l’armée russe ont détruit les approvisionnements en essence, en armes, paralysé le réseau ferré, détruits des centres de commandement, de surveillance et de gestion des communications, etc. Les Russes avancent vers l’ouest et piègent les unités ukrainiennes dans des chaudrons sans laisser aux combattants ukrainiens d’autre espoir que la fuite. Ils contrôlent la sortie des navires d’Odessa et bloquent l’exportation du blé ukrainien. La France, l’Allemagne, les États-Unis viennent demander le déblocage comme on va à Canossa en oubliant que c’est eux qui ont, depuis l’annexion de la Crimée, lancé des opérations de blocage contre la Russie.

Certes la Russie est tombée dans le piège des États-Unis, mais elle est en réalité en train de réussir un retour dans le concert mondial des grandes puissances avec une économie qui résiste très bien aux sanctions et avec des leviers de contrainte sur le monde occidental (gaz, pétrole, blé entre autres) beaucoup plus efficaces que les sanctions qui lui sont imposées. Le rouble a retrouvé mieux que sa parité avec le dollar avant la guerre. La majeure partie des pays de l’Afrique-Asie sont prêts à commercer avec elle. L’annexion probable du Donbass agrandit non seulement son territoire mais lui donne la partie la plus industrielle de l’Ukraine. La poussée probable de ses armées vers Odessa va lui donner le contrôle non seulement de la mer d’Azov mais des accès à la mer Noire qu’elle va gérer avec la seule Turquie. La sanction de refus d’accès de ses banques au système international de transactions bancaires, le Swift, la pousse à finaliser un autre système d’échanges internationaux avec probablement une nouvelle monnaie basée sur un panier de monnaies, sur l’énergie, et convertible en or. La Russie et la Chine préparent la fin de l’hégémonie du dollar sur les transactions financières. Or la puissance américaine tient essentiellement au pétrodollar et à la puissance militaire. Les USA ont désormais à craindre une nouvelle défaite et un affaiblissement de leur pouvoir sur le monde.

Cette victoire militaire probablement proche de la Russie, même si les États-Unis feront tout pour rallumer la mèche et entraîner l’UE avec eux, sera saluée par les pays non-occidentaux et non alignés sur l’hégémonie américaine et son monde unipolaire. Si certains d’entre nous peuvent se réjouir de voir qu’un frein est donné à l’expansion de la domination américaine, à l’expansion de l’UE et de l’Otan, à la domination du monde par des ploutocrates et leurs NOM et Grand Reset, il faut constater que la grande perdante dans l’affaire c’est l’UE. Même si la France s’en tire mieux que l’Allemagne sur le plan énergétique, grâce au choix du nucléaire pour la production électrique, elle va vers la récession économique, une inflation galopante, synonyme de perte de pouvoir d’achat pour 99% des Français. La position de la France, vue comme pour le moins inamicale par la Russie, ne lui permettra pas d’obtenir la moindre concession dans ses échanges commerciaux avec la Russie, au moins dans le domaine de l’énergie (gaz, pétrole, uranium). Le constat amer est que nous sommes dans le camp du Bien sans espoir réel d’en sortir vu la politique actuelle de Macron qui ne jure que par l’UE et donc la dépendance à l’Otan et aux États-Unis.


Récession, Inflation, déficit du commerce extérieur, endettement, perte de pouvoir d’achat, baisse de la parité de l’euro avec le dollar et le rouble, nous attendent. Les mois à venir seront sombres pour la majorité des Français, mais particulièrement pour les plus bas revenus. Parmi ces derniers les Français sans épargne vont être touchés dès maintenant et ne pourront pas attendre grand-chose de l’État car l’inflation devancera toujours l’aide éventuelle de l’Etat. Si sur 12 mois glissants la France a la croissance de la moyenne européenne à 5,1%, dans le 1er trimestre 2022 elle décroche de la moyenne européenne et entre dans la pré-récession à -0,2% avec l’Italie et la Norvège. L’effet des cadeaux aux entreprises a été de courte durée mais laisse un endettement supplémentaire sans relance pérenne de notre capacité de production et d’exportation.

Avec la réforme des retraites, la baisse du pouvoir d’achat par l’inflation, la hausse de l’insécurité, le clivage civilisationnel, la déshérence dans les métiers de la santé et de l’enseignement, le manque de personnel dans la police et la justice, problèmes qui s’ajoutent aux suites économiques, éducatives, psychiques et culturelles du Covid, la France rentre dans une période de revendications corporatistes et de révolte du peuple le plus démuni. La guerre en Ukraine dans le camp du Bien nous contraint à aider financièrement ce pays et même de déshabiller notre armée d’armements modernes. Cette nouvelle dette s’ajoute à celles de la pandémie avec un nouveau milliard de vaccins commandés, et aux investissements dans l’énergie verte. Avec l’Ukraine où les États-Unis font la loi, la santé où Bill Gates gère la dictature sanitaire de l’OMS, et la lutte au zéro carbone où le GIEC est aux ordres des ploutocrates, notre choix du camp du Bien va nous faire très mal dans les mois à venir avant la rentrée qui amplifiera notre lente décadence.

Notre refus de considérer comme mortifère notre appartenance à l’UE et à l’Otan nous condamne à une totale dépendance aux USA dans le camp du Bien, comme refuse de l’admettre la majorité des Français. En 2014, Emmanuel Todd prédisait que « l’Europe va chercher sa mort dans les plaines d’Ukraine ». Ce camp du Bien (celui de la démocratie et des droits de l’homme) vient de tomber aux mains des ploutocrates qui se servent de la puissance militaire américaine et du dollar pour imposer un monde unipolaire à leur profit où ils décideront du nombre d’élus et de serfs. « Nous entrons dans une ère totalement nouvelle », comme le dit Henry Kissinger, mais dans le mauvais camp. Dans le camp du Bien cerné de barbelés limitant sa puissance la France va assister impuissante à l’arrivée d’un monde nouveau multipolaire libérant les forces vives des nations et le choix des efforts communs pour avancer encore plus vite. Ces deux mondes se font désormais explicitement face en Ukraine. Un partage du monde est en train de se faire jour et nous sommes dans l’ancien monde qui croit encore que son bonheur est dans le Grand Reset commandité par Davos. Mais le monde nouveau s’installe hors du monde occidental et montre son dynamisme et sa puissance montante. Le monde est partagé en deux blocs et chaque pays est invité à faire son choix. Mon premier graphique sur la pandémie est une première réponse à cette fracture en deux blocs avec des résultats sanitaires incroyablement mauvais. Nous vivons un moment inédit dans l’histoire de l’humanité parce qu’il est mondial et dépasse les transformations engendrées par la deuxième guerre mondiale.

Dans un monde où vont s’affronter deux blocs

Il est encore temps pour la France de choisir.

Elle a tous les atouts d’un pôle d’équilibre

Dont aura grand besoin le monde

S’il ne veut par disparaître

Dans un affrontement

Nucléaire kafkaïen.

Claude Trouvé

01/06/22

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