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L’arnaque de l’urgence climatique

 L’arnaque de l’urgence climatique

La canicule de juin, après la pré-canicule de mai, font l’objet de commentaires journaliers sur tous les médias. Ceux-ci trouvent l’occasion de parler de l’urgence climatique car ces périodes chaudes seraient les preuves du réchauffement climatique inexorable. Les +1,5°C, limite fatidique décrétée, sont pour demain, si ce n’est pas déjà pour aujourd’hui. Après c’est la course derrière l’arrivée du climat tropical en France, les migrations climatiques massives, la famine, la submersion des terres, la disparition des glaces polaires, l’amplification des phénomènes climatiques extrêmes, etc., toutes choses effrayantes à souhait. Le grand responsable c’est le carbone. Donc ne respirez-plus, ne vous déplacez plus, ne mangez plus de viande, ne vous éclairez plus, ne jurez plus que par les énergies renouvelables, etc. C’est le grand retour aux contraintes de la lutte pour le zéro carbone. Adieu l’insouciance, vivez dans la peur du dieu carbone.

Cette peur climatique n’est pourtant pas prouvée par les relevés de température sur l’ensemble du globe terrestre. Mais la doxa écologique fait fureur. Elle peut enthousiasmer les jeunes, en perte de repères, qui voient là l’occasion de sauver la planète, un but mobilisateur et un sentiment de puissance de l’homme sur la nature. C’est pourtant une attitude d’humilité que nous enseigne la nature contre laquelle l’homme se défend depuis qu’il est sur terre et les évènements extrêmes qui tuent sont là pour nous le rappeler et ridiculiser ceux qui se prennent pour le Dieu qu’ils ne sont pas.


Alors qu’en est-il de l’évolution récente des températures mesurées. Celles qui seront mentionnées ici sont celles de la référence mondiale satellitaire de la NOAA. La température globale en rouge de mai 2022 est en retrait par rapport à celle d’avril et elle est bien loin de la limite des +1,5°C en affichant 0,77°C ! Mais plus important encore les températures terrestres en bleu et celles globales en rouge n’évoluent plus depuis mars 2014 et fluctuent respectivement autour des moyennes de +1,39°C et de +0,90°C ! On est loin d’une évolution rapide des températures nécessitant une urgence malgré la croissance du taux de carbone anthropique sur ces 8 ans. On note qu’en effet l’évolution de la température des Terres est proche de la limite dite acceptable. Selon d’autres bases de données non satellitaires, dont celle retenue par le GIEC, on est arrivé au seuil des +1,5°C. Jusqu’à présent on parlait des températures globales associées à la limite des +1,5°C. On se permet aujourd’hui, dont le porte-parole français Jean Jouzel, de parler de la température terrestre que beaucoup assimilent à la température globale qui inclut aussi les océans. Or la température terrestre est supérieure de +0,5°C à la température globale, la référence mondiale. Cette confusion permet d’illustrer plus facilement l’urgence climatique puisque si on continue à ne rien faire, et d’annoncer ainsi un dépassement imminent de l’acceptable.

Notons tout-de-même que cette stabilité sur 8 ans (2014-2022) des températures terrestres et globales infirme le lien étroit avec les émissions de CO2 car celles-ci ont augmenté de 28%. Notons aussi que 52% de ces émissions dans le monde sont issues de 4 pays (Chine, Etats-Unis, Inde, Russie), qu’aucun de ces pays ne s’est avancé sur une diminution notable avant 2030, et que la France représente 0,9% du total mondial. Le lien étroit température-carbone n’est pas prouvé mais devenu incontestable, ce qui permet à la France de se pavaner en pays leader en divisant par 2 ses émissions de CO2 soit au plus une baisse du total mondial de 0,5%. Que de milliards dépensés peut-être pour rien alors que nous rentrons dans « une économie de guerre » selon le Président Macron.

Il ne s’agit pas, comme je n’ai cessé de le répéter, de nier le réchauffement climatique globale depuis les années 1850-1880, mais en réalité constaté depuis 44 ans. Il a eu lieu et la température globale a augmenté de +0,9°C depuis 1978 selon les mesures satellitaires, ou de +1,0°C selon les mesures au sol inégalement réparties, plus difficiles à collecter et à interpréter mais choisies par le GIEC. Il s’agit de nier le réchauffement déjà mesuré mais de montrer la fragilité des prévisions climatiques catastrophiques sans actions humaines urgentes. Personne ne fournit d’explication au fait que les émissions de carbone sont en constante augmentation depuis 1950 alors que les températures n’ont commencé à décoller qu’à partir de 1978, pas plus qu’à la stagnation des températures depuis 8 ans alors que les émissions de carbone ont globalement augmenté. « La science du climat est un domaine immense faisant appel à de multiples branches. Dans un domaine aussi complexe, en dehors de quelques scientifiques ayant une vision globale de la question, la plupart s’en tiennent à leur spécialité et n’ont pas les moyens de critiquer les autres spécialistes. Il en est ainsi dans plusieurs domaines comme par exemple l’évolution, théorie qui a connu, et connait encore, de nombreuses variantes chaque fois que se présente le mur de la réalité (les observations). »

Or l’observation de la réalité du moment ne coïncide pas avec les prévisions faites antérieurement.


Depuis 8 ans nous sommes sur une moyenne des températures de +0,9°C, et en mai 2022 nous sommes seulement à +0,77°C. La prévision du GIEC publiée en 2010 aurait dû donner une valeur mensuelle de +1,22°C en mai 2022 et les +1,5°C devraient être atteints en 2028. La dernière prévision de la COP26 de 2021 donnait +0,98°C en mai 2022 et la date de 2044 pour l’atteinte des +1,5°C. Par une simple évaluation statistique linéaire des températures depuis 1978 on obtient +0,91°C en mai 2022 et une date de 2056 pour l’atteinte des +1,5°C. Toutes les prévisions du GIEC sont donc trop alarmistes. Même son choix d’une augmentation probable de +0,2°C par décennie n’est pas validé, la valeur de +0.174°C/10 ans et la date de 2056 pour les +1,5°C est la plus probable à partir de la réalité des mesures satellitaires. L’urgence climatique pour 2030 n’a pas lieu d’être. « Il est un principe absolu de la science, c’est que toute hypothèse doit être réfutable, et que si les observations contredisent une hypothèse, celle-ci est évidemment fausse. »

 

Mais comment peut-on alors parler de consensus scientifique ?

« Si un groupe de pression suffisamment puissant en vient à diffuser une théorie fausse, il s’arrange, comme de nos jours, pour le faire avec des arguments suffisamment flous pour échapper à l’obligation de réfutabilité (Karl Popper). Il en est ainsi de la théorie du Réchauffement/Changement/Dérèglement climatique. » C’est ainsi que toutes les voix dissonantes sont rendues aphones ou inaudibles par le jeu des médias et des grands diffuseurs sur les réseaux sociaux. « En 2001 déjà, 30 000 scientifiques, dont des pointures comme Richard Lindzen avaient signé l’Oregon Petition condamnant les conclusions des réchauffistes et proclamant qu’il n’y avait pas d’urgence climatique. Là encore, les médias firent silence. Plus tard plusieurs signataires mondialement respectés virent leurs comptes fermés sur les réseaux sociaux, révélant ainsi qu’il existait une Police de la Pensée, une sorte de Ministère de la Vérité exercé par des entreprises théoriquement privées comme Facebook, twitter, etc… »

Il n’y a pas de consensus scientifique car la climatologie est loin d’avoir révélé tous ses secrets, c’est une science balbutiante qui cherche les paramètres influents sur le climat et leurs influences respectives. Or ils sont incroyablement nombreux et interdépendants. Qui mène la danse ? Le carbone ? Le soleil ? L’étude des carottes glaciaires révèle l’évolution des températures depuis les ères glaciaires et donne le taux de CO2 piégé. 800 ans séparent l’élévation des taux de CO2 et des températures. Les deux évoluent bien successivement dans le même sens. Mais l’évolution des températures précède et non suit celle des taux de CO2. C’est l’élévation de température qui produit celle du CO2 et non l’inverse. Donc c’est bien la température qui pilote le taux de dégazage de CO2 des océans (loi de Henry). Troublant non ? Est-ce différent avec le CO2 anthropique ? Y-a-t ’il un effet retard beaucoup plus rapide ? Quel est l’impact réel de la vapeur d’eau et des nuages ? Quelle est l’influence des cycles solaires ? Rien de tout cela rien n’est réellement maîtrisé d’où une floraison de modèles mathématiques dont le seul point commun est l’importance primordiale donnée au carbone comme étant le responsable du réchauffement climatique. Comme le taux de carbone ne cesse d’augmenter, les températures vont suivre pour notre plus grand malheur. Il y a des centaines de modèles mathématiques prévisionnels dont aucun ne peut se prévaloir d’avoir fait des prévisions validées par la réalité des observations. Ils n’ont aucune valeur prévisionnelle pour l’instant, pas plus que ma prévision statistique linéaire, car elles supposent une évolution sans rupture brutale. Celle-ci n’est pas prévisible sauf à partir des cycles solaires s’ils ont une importance qui dépasse celle du CO2, ce qui n’est pas le cas dans la doxa actuelle.

Bien malin qui peut scientifiquement prouver l’évolution des températures jusqu’à la fin du siècle. Est bien présomptueux celui qui affirme que si l’on ne fait rien la température à la fin du siècle sera de +4°C supérieure à celle de 1978, et qui de plus se fait fort de la ramener à +2°C par une action humaine. Certains climatologues renommés prévoient un refroidissement au-delà des années 30. Il faudra dépasser largement cette date pour confronter leur théorie prévisionnelle à la réalité, mais leurs études attendent d’être vérifiées alors que celles du GIEC ont déjà montré que le modèle retenu était très imparfait voire faux.

Les prévisions successives du GIEC ont ouvert un large éventail de prévisions qui devait d’une part leur permettre d’apeurer et de mobiliser les peuples, et d’autre part leur permettre de ne jamais être pris en défaut. Ce stratagème risque fort d’être insuffisant si l’on en croit l’évolution actuelle constatée en ce joli mois de mai 2022. La figure ci-contre montre que la prévision statistique linéaire en pointillés orange avec +2,26°C en 2100 est légèrement inférieure au cône prévisionnel des évolutions possibles les plus basses des températures. On voit en effet qu’au cours des prévisions du GIEC depuis 2010 les valeurs possibles pour 2100 vont de +2,5°C à +6,7°C.

 

Le réchauffement ne demande plus de justification tant le matraquage scientifico-médiatique a été asséné sur les peuples du monde à haute fréquence depuis 40 ans et qu’une omerta a été maintenue sur la contestation. Les déclarations souvent mesurées du GIEC sont traduites dans des affirmations péremptoires dans le document de 40 pages remis aux chefs d’Etat. Ces derniers en font des directives climatiques incontestables. Cela devient alors une dictature climatique comme la dictature sanitaire. La première s’appuie sur le GIEC, la seconde sur l’OMS, largement instrumentalisées par les grandes puissances militaro-financières qui construisent leur monde à eux dans le groupe Bilderberg et les réunions de Davos. Son président Klauss Schwab, fondateur de ce Forum International économique, se comporte comme le maître des maîtres du monde. Sa réunion annuelle rassemble 2500 invités avec les plus grands Chefs d’État, le monde occidental de la Finance, les plus importantes multinationales, et les plus grands influenceurs dans les domaines de la sécurité, de la santé et de l’énergie. Pratiquement rien des grandes évolutions souhaitées du monde ne leur échappe, y compris la maîtrise de l’information acceptable par le livre-programme contenant le Grand Reset (la Grande réinitialisation en français). L’implantation des énergies renouvelables, le traçage des individus et la vaccination en font partie.

Le réchauffement climatique et la pandémie

Sont les puissants moteurs du Grand Reset

Et étouffent la voix des peuples libres

Fondus dans le multiculturalisme,

Dans le mondialisme unipolaire

Et la soumission obligatoire

Aux dictatures sanitaires,

Economico-sociales,

Sécuritaires,

Culturelles

Et

Climatiques.

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