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Canicule-Incendies : tremplin de l’hystérie climatique et de l’abrutissement

 

Canicule-Incendies : tremplin de l’hystérie climatique et de l’abrutissement

Canicules en juillet et canicule en août avec une étendue à tout l’Ouest de la France et même au Jura créant des conditions favorables à de vastes incendies, il n’en fallait pas plus pour une propagande volontaire ou de bonne foi sur l’existence du réchauffement, changement ou dérèglement climatique. On a beau répéter que météorologie et climat ne s’intéressent pas au même espace-temps, que les records sont faits pour être battus, et qu’ils changent d’endroits en permanence, le message répété et assourdissant de la peur climatique ferme tout recul de la pensée. On pense et on agit dans l’urgence car le feu n’attend pas et le climat aussi. Mais la pensée n’est un raisonnement construit que quand elle s’abstrait de l’urgence et prend du recul. Or le recul en matière de climatologie n’est pas l’énoncé de records mais l’observation chiffrée de tendances réelles à long terme calquée en gros sur les cycles du chauffeur de la planète, le soleil. Les plus petits sont de l’ordre d’une trentaine et d’une soixantaine d’années, mais certains sont sur des centaines ou des milliers d’années. A ceux-ci s’ajoutent les fluctuations des grands courants marins en particulier du Pacifique dont l’influence et le cycle nous rapprochent de la météorologie, comme le El-Niño en 2016. Parler de dérèglement climatique n’a pas de sens puisque le climat n’a jamais été réglé, il varie d’une façon permanente sur des cycles plus ou moins longs qui se superposent, pas plus que de parler de changement climatique car le climat n’est pas une constante de température et d’hygrométrie, il varie depuis la nuit des temps. Ces deux mots de changement et de dérèglement ne sont qu’un masque du réchauffement climatique alors que le doute scientifique ne peut pas exister dans l’esprit des dirigeants qui veulent diriger le monde par la peur.

Avant d’aller plus loin, répétons encore une fois qu’il ne s’agit pas de nier le réchauffement observé mais de mettre en doute les prévisions climatiques alarmistes dont les conséquences sur la vie économique de la planète et l’impact sur notre psychisme sont immenses. Dans le premier cas c’est la politique énergétique, les transports, la vie économique qui sont affectés, dans le second c’est le psychisme des peuples qui l’est par la soumission et la désinformation. Alors regardons la réalité des chiffres dont nous disposons par des mesures directes dans les temps proches de nous, par les publications historiques dans un passé plus lointain et par les estimations scientifiques sur les temps où l’homme n’était pas présent sur la terre. La base de données satellitaires sur les températures du globe vient de nous donner l’écart de température de juillet 2022 par rapport à 1880.


Le message passé en boucle est que les incendies de juillet-août sont la preuve du réchauffement climatique et pire c’est que nous en aurons de plus en plus. Or par ailleurs on affirme que seulement 10% des incendies sont d’origine naturelle ! Nous n’avons pourtant aucun rapport sérieux sur les causes de ces incendies, qui brûlent encore, ni même sur l’étendue réelle de ceux-ci. Le chiffre final sera élevé mais il n’est pas dit qu’il
atteindra les 70 000 hectares brûlés dans la forêt landaise en 1947. D’ailleurs cet été fut particulièrement chaud dont j’ai des souvenirs précis car à minuit il n’était pas possible de poser la main sur la rambarde du pont traversant l’Allier à Vichy. Cette année est en plus particulièrement intéressante parce que des records de froid ont été vécus au mois de janvier. Le Rhin, la Loire étaient gelés et la température a atteint -23°à Romilly sur Seine dans l’Aube. Le port de Nantes était pris par les glaces et il neigeait au Castelet dans le Var. Mais le printemps fut particulièrement chaud, le 25 avril 1947 on observe une véritable canicule dans tout le sud-ouest avec 32° à Mont-de-Marsan. Notons au passage que le mois d'avril 2022 avec 4,6 °C se classe au 3e rang des mois d'avril les plus froids des cinquante dernières années derrière avril 1973 (3,8 °C) et avril 1986 (4,5 °C). Mais le printemps chaud 1947 s’est poursuivi du 29 mai au 4 juin 1947 avec 35 °C à Biarritz, et du 24 au 29 juin 1947 avec une forte chaleur, 38 °C à Paris et 40 °C à l’ombre à Auxerre. Les vagues de juin ont duré 10 jours. L’été 1947 a battu des records dans l’intensité des 3 vagues de chaleur (27/07-05/08, 14/08-20/08, 11/09-20/09), soit une durée de 34 jours de températures exceptionnelles dont 14 en juin et juillet, 11 jours en août, 9 jours en septembre. On peut comparer avec 2022 où on note 19 jours en juin-juillet et 12 jours en août pour l’instant soit 31 jours. L’été 2022 déjà se place dans les étés exceptionnels avec 2006 pour la durée sans atteindre encore l’intensité de chaleur de 2003. Ce qui le différencie c’est pour l’instant sa faible pluviométrie.

En conclusion de cette comparaison on note que les étés chauds avec de grands incendies pouvaient exister déjà il y a 75 ans en arrière et que les variations extrêmes de froid et de chaud de température en 1947 montrent la grande variabilité du climat. Que pouvaient penser la population de cette époque sur l’avenir climatique en janvier puis à l’issue de l’été ? On prévoyait quoi ? Un refroidissement du globe ? Un réchauffement ? Dans les années avant 1970 il y avait des grands titres dans les journaux des prévisionnistes du refroidissement parce qu’en 1951, 1957 et 1965, on avait eu 3 records de froid sur la température globale depuis 1939. Le refroidissement faisait peur car il était synonyme de famines depuis 1870. Finalement, malgré de grandes variations annuelles la température globale est restée stable de 1945 à 1978. Pourtant on n’était pas sorti d’une utilisation croissante du charbon dans une économie revivifiée et les bâtiments de Paris méritaient un lavage des murs. La pollution augmentait régulièrement avec les cheminées d’usines encore dans les villes, avec celles des particuliers et des pots d’échappement des véhicules. Les bâtiments publics noircissaient au point qu’une politique de ravalement a été décidée en 1963. Comme beaucoup de choses dites sur l’environnement, il y a une vraie désinformation sur la pollution qui ne cesse de diminuer et atteint des niveaux très bas comme celle des particules fines diminuée par 26 depuis 1956. Il devient inutile d’aller plus loin. Quand on a pris pour référence zéro 5 villages français à 2000m d’altitude, on trouvera toujours de la pollution relative. Pourtant un récent sondage IFOP montre que 88% des Français et 93% des jeunes sont persuadés que la pollution augmente alors que les usines, les chauffages urbains, et même les récents véhicules diesels, ne polluent presque plus les villes. Les 7 principaux polluants (monoxyde de carbone, benzène, plomb, oxyde d’azote, ozone, particules fines, dioxyde de soufre) ont disparu à Paris où sont en voie de disparition selon les rapports officiels d’Airparif, l'observatoire de la qualité de l'air en Île-de-France. Les bâtiments n’ont plus eu besoin d’être ravalés, la pollution devrait quitter nos peurs mais ce sont nos esprits qui sont pollués comme pour les prévisions climatiques.


Revenons donc à l’évolution constatée par les mesures de 1880 à juillet 2022, publiées par la NOAA en tant qu’organisme de référence, et aux prévisions du GIEC jusqu’en 2060. Sur les mesures les plus récentes j’ai ajouté une prévision statistique linéaire sur l’ensemble des mesures depuis 1978. Après la période de stabilité de 1946 à 1978 pour les températures globales, il est indéniable que le globe a subi un réchauffement depuis cette période. Toutefois il n’y a aucune explication du démarrage du réchauffement subi en 1978 alors que le taux de CO2 n’a pas cessé d’augmenter depuis 1946. Le problème est que la prévision du GIEC, en particulier pour l’atteinte des          +1,5°C en 2032 suppose une accélération brutale du réchauffement alors que les dernières mesures depuis 2014-2015 à juillet 2022 montrent au contraire une stabilité des températures autour d’un palier de +0,9°C avec des variations mensuelles importantes. C’est plutôt vers 2056 que l’on se dirige pour les +1,5°C. Autrement dit l’urgence climatique peut être remise en cause.


D’ailleurs une vue sur les variations mensuelles depuis mars 2014 donne une autre vision.
Sur ce graphique il est porté les évolutions des températures mensuelles des Terres, des Océans et du Globe. On constate des grandes différences entre les températures moyennes sur cette période. En particulier les températures des Terres sont plus élevées de +0,4°C à +0,5°C que les températures globales. Ceci permet parfois, comme l’a fait Jean Jouzel, de parler d’urgence climatique en parlant de température terrestre ce qui nous rapproche de 2027 pour les +1,5°C, en profitant de la confusion possible entre température terrestre et température globale. On voit que les températures globales et océanes sont remarquablement stables à respectivement +0,90°C et +0,71°C avec une évolution légèrement négative pour les océans. A contrario l’évolution des températures terrestres est en évolution ascendante et franchit la barre des +1,5°C en mars 2027 passant de +1,44°C, température prévisible en juillet 2022 à +1,60°C en 2035 soit une augmentation des températures de +0,16°C entre ces deux dates. Si l’on applique cet écart sur la température réelle de juillet 2022 à +1,26°C, celle de 2035 devient +1,42°C et la barre des +1,5°C n’est toujours pas franchie, et ne le serait qu’en 2041. Toutes ces spéculations, sans autre constat scientifique autre que l’évolution des températures laissent beaucoup d’incertitude sur l’urgence climatique et sur la qualité des prévisions à 23 ans avec une période de mesure de 8 ans et demi. Mais si j’ai joué ce jeu c’est pour montrer que notre mémoire de l’évolution récente des températures s’arrête très vite et que c’est l’année, voire la saison ou même le mois en cours qui marque les esprits. Qui se souvient que 2016 avec +0,99°C de moyenne fut l’année la plus chaude sur notre globe, soit +0,15°C qu’en 2021 ? En choisissant les moments propices à la propagande de la peur du réchauffement comme les étés chauds associés aux incendies on peut marquer les esprits sans souffrir de la moindre contestation. L’évidence spatio-temporelle de l’état chaud en France, illustrée par nos suées, nos pertes de sommeil et des reportages journaliers sur les incendies suffit pour rendre urgente la lutte contre le réchauffement de la planète. Qui se souvient de l’offensive hivernale marquée en début du mois d’avril de cette année avec un net refroidissement et des chutes de neige jusqu’en plaine ?


Si nous élargissons notre constat à l’Europe, la température annuelle globale des Terres, prise entre août et juillet, oscille autour de +1,38°C et celle de l’Europe autour de +1,67°C. Sur la même période pour la France on a une moyenne de 1,42°C. Même si c’est sur une période courte, le paramètre espace (France, Europe, Monde) donne une dispersion de près de 0,3°C entre ces 3 entités de l’évolution moyenne des températures.


Après cette diversion sur le risque pris à faire des prévisions à partir d’une période courte, et celui d'acquiescer à des certitudes sur des évènements vécus dans des laps de temps très courts comme les canicules et les incendies, il nous faut revenir à l’incertitude qui pèse sur la centaine de modèles mathématiques dans lesquels le GIEC a choisi un modèle moyen. Choisir une moyenne parmi des modèles, contestables par leur comparaison avec les mesures réelles au fur et à mesure des dates prévisionnelles annoncées, n’est pas une certitude de validité. Le graphique ci-contre le montre puisque la simple prévision linéaire sur les données de la période de réchauffement de 1978 à juillet 2022 ne s’inscrit pas dans le cône d’incertitude des températures globales. La plus basse prévision du GIEC donne 2,7°C, la plus haute 6,7°C, et la régression linéaire 2,26°C. Pour cette dernière l’atteinte du +1,5°C se produit en 2056 et celle du +2°C en 2080. L’urgence climatique serait bien mise à mal. Quel présomptueux peut réellement prévoir ce que sera 2080 ? Alors que peu d’adultes d’aujourd’hui vivront cette date, les alarmistes d’aujourd’hui ont beau jeu d’affoler les populations. Il est illusoire et dangereux de faire des prévisions pour la fin du siècle et d’enclencher des processus socio-économiques dangereux et très onéreux (150 000 milliards d’ici 2030 selon la COP 26). La France endettée, qui ne participe que pour 0,9% à la production anthropique mondiale de CO2, veut pourtant jouer les premiers rôles dans cette incertitude scientifique.


Pour terminer sur l’importance de l’apport anthropique du CO2, en adoptant le lien CO2-température du GIEC, il faut l’isoler de l’évolution naturelle des températures dans les mesures d’évolution de la température globale. Or de 1910 à 1945, la température s’est élevée de +0,49°C soit de +0,01358°C/an comme on le voit sur le graphique ci-contre, alors que les émissions de carbone étaient à un niveau très faible.

Sur la droite de régression calculée sur les mesures de 1978 à juillet 2022 on trouve une évolution mensuelle de 0,01743°C/an. Ceci voudrait dire que la différence entre l’évolution sans apport de CO2 anthropique et avec apport est faible, évaluée ici à 0,00385°C/an (0,01743-0,01358) . Si on prolonge ces calculs jusqu’en 2100 on trouve un écart de température de +2,259°C pour l’évolution avec apport de CO2 et +1,921°C sans apport soit une différence en 2100 de +0,338°C dû au CO2 anthropique ! Si la France continue à participer pour 0,9% à l’apport mondial de CO2 anthropique elle contribuera en 2100 à augmenter la température de +0,003°C (0,338*0,009). Si tout cela vous semble pure fantaisie, je vous conseille de lire le livre du physicien Claude Gervais de l’Université de Tours mais surtout expert accrédité auprès du GIEC en tant que reviewver. Dans son livre « Impasses climatiques », édité chez l’Artilleur, il arrive à + 0,14°C en 2050 par des calculs scientifiques beaucoup plus élaborés. Mon calcul sur les bases d’évolution des températures entre 1910 et 1945 donne un écart de +0,15°C en 2050 qui pourrait être attribué au CO2 anthropique.


Cette différence est illustrée sur le graphique suivant. Il faut donc conclure que le CO2 anthropique n’est au mieux que pour 15% dans le « réchauffement climatique ».  85% au moins du « réchauffement climatique » est d’origine naturelle, et on est en droit de penser qu’il n’est pas sûr
que son influence ne soit pas en réalité négligeable. En effet de 1945 à 1978, soit 31 ans,  l’accroissement du CO2 anthropopique n’a pas fait croître la température globale. Nous sommes peut-être devant un accroissement plus rapide que dans la période 1910-1945, sans que cela préjuge de la suite puisque la température globale n’évolue plus depuis mars 2014 avec des variations mensuelles importantes autour de +0,9°C.

L’emballement des esprits devant les phénomènes naturels exceptionnels, incendies, inondations, pluies diluviennes, sécheresses, ouragans, tornades, grêles, orages violents, etc,. fait toujours mettre en avant des records ici ou là. Le « je n’ai jamais vu çà » n’a pas de valeur en climatologie dont l’unité de mesure de temps et l’espace exploré ne sont pas accessibles à l’actualité météorologique ni même au court terme à l’échelle humaine.

Mais la peur inculquée ne l’est pas par hasard car des intérêts financiers énormes sont en jeu et les peuples sont conditionnés pour valider les orientations politiques prises au niveau au moins du monde occidental. Mobiliser 150 000 milliards de dollars selon le vœu de la COP 26 pour gagner au mieux 0,338°C sur le réchauffement par une croissance zéro de la production anthropique de CO2, c’est mettre le prix du 0,1°C gagné à 44 380 millards de dollars, soit 43 500 milliards d’euros aujourd’hui. Le PIB français de 2937,5 milliards de dollars représente 3% du PIB mondial en 2021, donc les 150 000 milliards de dollars exigeraient une quote-part de la France à hauteur de 4 500 milliards pendant 8 ans avant 2030, soit 562,5 milliards de dollars/an où 551 milliards d’euros/an. Or les recettes budgétaires françaises sont de 451 milliards d’euros. On voit que ces dépenses sont de la pure folie puisque la France ne fera baisser la température que de +0,003°C en 2100 par son propre effort zéro carbone. Même si notre quote-part est basée sur nos 0,9% d’émission de CO2, c’est 165 milliards d’euros qu’il faudrait engager chaque année pour la neutralité carbone, soit plus de 36% des recettes budgétaires et plus que le solde budgétaire de -154 milliards d’euros. Ceci reviendrait à plus que doubler notre déficit budgétaire qui ne pourra que s’ajouter à notre dette dépassant déjà les 115% du PIB.

Malheureusement les conséquences de cette folie touchent déjà notre vie quotidienne en particulier sur la lutte contre les émissions carbone des véhicules avec la course à la voiture électrique et la fin du diesel. Les véhicules du monde ajoutent 16 gigatonnes de CO2 chaque année aux 3 200 Gt existants dans l’air soit 0,05%. Les véhicules en Europe émettent 0,3 milliards de tonnes de CO2 chaque année et représentent donc 0,002% des émissions mondiales annuelles ! Que veut-on ? La mort de notre industrie automobile ? Après quoi court-on ? Après la pollution ? Selon Airparif les émissions de particules fines dans l’agglomération parisienne étaient de 180 microgrammes par mètre cube en 1956, et de 7 en 2020, soit 26 fois moins ! Le ravalement des bâtiments publics de 1963 est toujours intact, l’air y est beaucoup plus pur. Au moment où on pille les pauvres pour une élite ploutocratique qui veut diriger le monde, on peut rappeller les prédictions contenues dans le Programme des Nations Unies pour l’environnement en 1989. Il prévoyait une montée des océans d’un mètre et une élévation des températures entre +1°C et +7°C en 2020 si la tendance au réchauffement climatique n’était pas inversée avant l’an 2000. Cela conduisait à 50 millions de réfugiés climatiques ! Ce scénario climatique s’est traduit par une montée des océans de seulement 20 centimètres entre 1900 et 2018, soit à peine 2mm/an, et les réfugiés actuels sont ceux de la misère. En 2021 la température globale moyenne était de +0,84°C, bien loin des +7°C qui ont marqué les esprits !  Le constat de l’échec des prédictions de l’ONU en 1989 n’ont eu aucun impact sur les certitudes d’aujourd’hui. Les oiseaux de mauvaise augure continuent leurs méfaits sur les peuples par la propagande de la peur qui s’appuie sur une science climatique balbutiante et muselée où même 900 scientifiques contestataires de haut niveau tirent la sonnette d’alarme sur la folie climatique mais n’ont évidemment aucune réponse sur leur lettre au Secrétaire général de l’ONU. 

Le drame qu'empêcher les pays en voie de développement d’utiliser des énergies fossiles ce serait les condamner à la misère, donc à la mort. En 2011 à Glasgow ils ont dit non à la "neutralité carbone". L’écologie dogmatique tue. Pourtant le carbone est vital pour les plantes et donc pour nous. Réjouissons-nous car grâce en partie au carbone des énergies fossiles la planète reverdit et la productivité agricole progresse. N’oublions jamais les famines des périodes froides de notre histoire.

Si la tolérance naît du doute, qu’on enseigne à douter

Des modèles et des utopies, à récuser les prophètes de salut,

les annonciateurs de catastrophes.

Appelons de nos vœux, la venue des sceptiques,

S’ils doivent éteindre le fanatisme !

(Raymond Aron)

Claude Trouvé

18/08/22

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