Accéder au contenu principal

Le grand combat des deux mondes s’ouvre aux yeux de tous

 

Le grand combat des deux mondes s’ouvre aux yeux de tous

Depuis les propos de Klaus Schwab, le pape de Davos, « Vous n’aurez plus rien, mais vous vivrez heureux », la lutte à mort de deux concepts civilisationnels s’est ouverte aux yeux de tous. Tout le monde ne tombe par des nues mais une grande partie de nos concitoyens est, soit incrédule ou non informée, soit ancrée dans une vision mondialiste, d’immigration musulmane, de transformation sociétale ou bien encore de combat pour la démocratie en Ukraine et ailleurs. Ces visions, des yeux fermés ou parcellaires, occultent une vision géopolitique qui les rassemble toutes. Ces visions parcellaires s’entrechoquent et créent des divergences d’opinion conduisant à une fracture dans la plupart des pays européens. Ces fractures génèrent des oppositions stériles d’une part, mais empêchent toute solution pérenne aux menaces qui pèsent sur notre pays d’autre part.

Un monde unipolaire tentaculaire sous l’égide étasunienne

Le mondialisme unipolaire et multi civilisationnel a une puissance financière privée détenue directement ou indirectement par toutes les grandes sociétés occidentales implantées dans le monde entier, ainsi que par les grands banquiers juifs-américains. Il a un bras militaire et économique aux Etats-Unis qui émet du dollar à volonté et l’a imposé comme unique monnaie des transactions internationales. Cette ploutocratie mondialiste a pu ainsi assujettir, par la menace, la corruption déguisée en aides financières et l’élimination des chefs d’Etat rebelles, une grande partie des 195 pays présents à l’ONU. Ils s’y assuraient jusqu’à présent des décisions qui leur soient favorables pour mener en particulier des guerres extérieures sous le prétexte de démocratie et de droits de l’homme. Si l’on retient les noms des Bush, père et fils, comme les instigateurs des grands combats américains dans le monde entier, c’est sous la Présidence d’Obama que le plus grand nombre d’ingérences guerrières a eu lieu… après avoir reçu le prix Nobel de la Paix. Toutes les ONG reliées à l’ONU sont plus ou moins sous contrôle des grandes fortunes, mais aussi l’OMS, le GIEC. Une partie Sud-Est asiatique et pacifique est sous la tutelle étasunienne, mais le lien est particulièrement efficace sur l’Europe avec l’OTAN et l’UE.

Le « camp du bien » face aux BRICS

Le monde unipolaire, sous contrôle plus ou moins fort des Etats-Unis et des puissances financières, est ébranlé par la naissance de partenariats entre pays hors de leur emprise ou cherchant à s’en dégager. C’est le cas de la Turquie, et des pays du Golf. L’alliance des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) dépasse le simple secteur économique. Elle a une vision d’union basée sur le respect de l’indépendance des nations et de la non-ingérence dans les affaires intérieures des pays. Cet aspect de l’alliance n’est évidemment pas signalé dans le monde de la démocratie et de la liberté des peuples, et permet l’ingérence en leur nom dans la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes. Cette alliance des BRICS permet d’y inclure des pays où la démocratie, au sens occidental du terme, peut s’effacer devant la nécessité de sortir du Tiers Monde au moins le temps d’y arriver. Mais dans notre monde la démocratie et les droits de l’Homme ont permis d’envoyer à trépas Kadhafi, Saddam Hussein et bien d’autres dictateurs où considérés comme tels au nom du « camp du Bien ». Il n’y a pourtant pas si longtemps que la France avait des rois et des empereurs et que les femmes n’avaient pas le droit de vote.

Un monde multipolaire qui s’organise à marches forcées

Le camp multipolaire ne cesse de s’agrandir avec une organisation dite Organisation de Coopération de Shanghai dont le but global est la lutte contre l’impérialisme américain, leader et maître du monde occidental. L’OCS est une organisation intergouvernementale constituée par neuf pays : la Chine, l’Inde, l’Iran, le Kazakhstan, le Kirghizstan, l’Ouzbékistan, le Pakistan, la Russie et le Tadjikistan. Elle affiche pour ambition d’assurer la sécurité mutuelle de ses États-membres ainsi que de permettre leur développement économique et une coopération politique et militaire. A ce groupe vont s’ajouter des pays postulants et des intéressés assistant aux grandes réunions comme la dernière à Samarcande les 15-16 septembre 2022. Si le G7 réunit les pays parmi les plus puissants du monde, l’OCS montre aux yeux du monde que l’OCS réunit des pays en émergence du Tiers Monde autour de la Chine et de la Russie. La nouvelle déclaration d’emploi de forces à définir contre l’Ukraine par le G7 montre bien l’opposition nette avec l’OCS sur un sujet géopolitique majeur. Le G7 se réunit autour des États-Unis et l’OCS autour de la Russie et de la Chine.

L’alliance russo-chinoise

Cette partition ne s’est pas faite en une année mais elle a évolué sous l’impulsion russe, et rapidement chinoise. La Russie et la Chine, après des différents importants du temps de l’URSS, ont finalement réalisé leur complémentarité grâce à deux grands dirigeants que sont Poutine et XI Jinping au regard de leurs pays respectifs. La Russie s’impose à la Chine comme grand fournisseur de produits énergétiques, lesquels permettent à la Russie d’évoluer vers une économie puissante et autonome. Ils partagent une grande idée commune c’est l’organisation de la future Eurasie qui les pousse à des grands projets de communication Est-Ouest et Nord-Sud en commençant par l’Asie, un « remake » des routes de la soie avec un volet maritime qui inclue un lien avec l’Afrique. Ces projets prennent déjà forme et la Russie aura bientôt un débouché direct vers l’Océan Indien qui intéresse tous les pays traversés et créera un nouveau dynamisme économique. La Chine de son côté continue à relier des pays d’Est en Ouest à travers l’Asie pour pousser jusqu’à l’Europe. L’Eurasie est en marche.

L’épouvantail de l’Eurasie

C’est là une vision du monde qui est justement celle que les États-Unis veulent éviter à tout prix avec le monde occidental à leur côté. Ils savent que le continent américain est séparé de l’Eurasie par deux océans et que celle-ci leur volera la place de première puissance mondiale en régnant économiquement et démographiquement sur le monde. Même leur lien avec l’Amérique du Sud est très ténu géographiquement et peut isoler l’Amérique du Nord. La vielle hantise de voir l’Allemagne se relier économiquement à la Russie, entraînant avec elle la France et ses pays voisins, prend désormais une nouvelle dimension sans exclure la première qui reste une urgence matérialisée par la guerre OTAN-Russie qui prend corps. Ceci explique les incursions américaines autour de Taïwan, l’implication de l’OTAN depuis 2014 en Ukraine, la présence américaine en Syrie auprès des puits de pétroles et les tentatives désespérées pour garder un lien fort avec l’Arabie Saoudite et les pays du Golfe. Le trio États-Unis, Royaume-Uni et France, sans exclure Israël face à l’Iran, sont les forces militaires mobilisées pour le maintien de la vision unipolaire du monde. La défense coûte que coûte du dollar, régisseur des transactions monétaires en particulier sur l’énergie, est primordiale même si elle s’effrite progressivement avec les paiements en roubles, en yuans, ou même en autres monnaies grâce à la mise en place d’une plateforme de gestion des transactions multinationales concurrente du système SWIFT contrôlé par les Etats-Unis.

De l’empire germano-atlantiste à l’effondrement de l’Europe


États-Unis et Royaume-Uni sont unis dans une vision commune d’impérialisme anglo-saxon, mais dans la guerre en Ukraine, ce dernier pays est le plus acharné. C’est la vieille politique à laquelle s’est heurté Napoléon, celle de tout faire pour couper la France et l’Allemagne de la Russie. Il faut diviser ces deux pays pour ne jamais avoir une force européenne en mesure de contester la vision anglo-saxonne. Dans ce contexte la France s’est laissé absorber par l’OTAN et une UE aux ordres des puissances financières, et se doit d’accompagner les vues anglo-saxonnes. Elle a perdu définitivement son rôle d’équilibre entre les États-Unis et la Russie, et même son rôle de médiateur dans la guerre en Ukraine au profit du turc Erdogan. L’empire romain-germanique s’est transformé en empire germano-atlantisme. Ce qui est nouveau c’est que les États-Unis n’hésitent plus à plomber l’économie allemande, et à mener un combat d’affaiblissement de l’économie européenne. Le but est de pouvoir couper tout lien énergétique avec la Russie et toute tentative de création d’une armée européenne indépendante avec un lien militaire de plus en plus étroit entre les États-Unis et l’Allemagne qui accueille la plus importante base de l’OTAN.

Ukraine et Taïwan, deux pays clés pour les États-Unis

La main mise étasunienne sur l’Ukraine, qui a débuté en 2014 d’une façon visible avec le coup d’état de Maïdan, a poussé l’OTAN aux portes de la Russie, exacerbé les divisions linguistiques et historiques préexistantes entre l’est et l’ouest de l’Ukraine et généré cette guerre non déclarée entre la Russie et l’OTAN. La présence militaire des forces navales américaines auprès de Taïwan, et désormais d’une façon visible dans les combattants sur le front ukrainien, montre la volonté américaine d’enserrer le bloc Chine-Russie dans une menace paralysante. La destruction définitive de la Russie comme puissance militaire et économique n’est que le prélude du tour de la Chine. Ce nouveau duo, qui fait tache d’huile, est porteur d’une vision multipolaire et d’un système monétaire diversifié hors hégémonie du dollar qui ne peut être accepté par les États-Unis. Cela signerait leur retour dans leurs frontières et la perte d’un leadership mondial.

Grand Reset ou grande bascule, un choix planétaire

La grande bascule n’a pas le même sens en occident que dans les autres pays du monde. C’est une autre conception des rapports internationaux qui affronte l’ordre mondial existant, celle du monde multipolaire qui rallie de plus en plus de pays. L’affrontement de ces deux conceptions ne peut plus être caché à ceux qui ouvrent les yeux et ferment leur poste de télévision ou qui n’y voient que l’utilité d’être au courant de ce qui nous arrive en France au jour le jour. Le monde des matières énergétiques s’oppose au monde des consommateurs énergétiques. Le monde du tous derrière les États-Unis et leurs interventions au nom de la liberté, de la démocratie et des droits de l’homme, s’oppose frontalement au monde du partenariat des nations et de la non-ingérence dans leurs affaires intérieures. Les nations peuvent désormais choisir leur camp. C’est le cas en particulier des pays de L’Opep qui rallient le monde multipolaire les uns après les autres derrière l’Arabie Saoudite. Cela signifie une domination énorme des pays possesseurs des matières énergétiques mais aussi démographique.

L’Europe, enjeu géostratégique

L’Europe ne va devenir qu’un énorme champ de bataille économique et militaire. Car la défense de l’ancien monde unipolaire demande la mainmise sur elle de la puissance économique et militaire des Etats-Unis, et il est clair que le schéma du monde multipolaire conduit à la constitution de l’Eurasie qui ne peut être en paix si deux visions du monde s’y affrontent. La seule question qui se pose est celle de l’attitude des États-Unis et des pays européens où les fractures sont de plus en plus visibles. La partie est de l’Europe reste traumatisée par les guerres territoriales russes en Pologne, en Roumanie et dans les pays baltes. L’Allemagne, pour des raisons énergétiques, se plie avec réticence aux pressions américaines pour couper ses liens avec la Russie. L’Italie a accueilli les bases américaines et leurs armes atomiques et traîne les pieds pour sortir de ce statuquo. Le Royaume-Uni s’adosse historiquement aux États-Unis remettant à plus tard son rôle de domination mondiale. La France, protégée encore par son indépendance nucléaire mais moins qu’elle l’affiche, suit l’Allemagne et manifeste son atlantisme en soutenant militairement l’Ukraine. Cette attitude la plonge, par suite de ses erreurs stratégiques, dans une crise énergétique où sa dépendance, aussi bien aux États-Unis qu’à l’Allemagne, devient paralysante. L’ensemble de pays européens va subir une crise énergétique et alimentaire, génératrice de troubles sociaux qui ont déjà commencé un peu partout.

L’affaiblissement de l’Europe devient un enjeu partagé désormais par les deux mondes qui s’affrontent. Il n’y a pas la place pour un troisième larron dans cet affrontement dont l’issue à terme répond aux lois de la démographie et des ressources minières et énergétiques. Les deux visions sont irréconciliables et la guerre est là pour faire mettre le genou à terre de l’un d’entre eux. La menace nucléaire reste inenvisageable et signifie suicide pour une grande partie de la planète. Mais la désespérance d’un puissant peut toujours s’appuyer sur ce renoncement effrayant « après moi le déluge ». L’avenir de la France est sombre car ses dirigeants s’accrochent au mondialisme et se plient aux injonctions de la ploutocratie occidentale, traumatisent et appauvrissent leur peuple en prenant des décisions qui ne sont pas celles qui améliorent le sort de leurs concitoyens mais satisfont des intérêts géostratégiques et économiques qui ne sont pas les siens.

La France s’enfonce dans la dépendance au monde d’hier

Le débat fondamental sur notre appartenance souhaitable ou non à l’UE et à l’OTAN est quasiment interdit en France, puisqu’il est le seul qui permet d’envisager de reprendre les rênes de notre destin. L’émancipation des peuples est contradictoire avec le monde unipolaire. De plus la propagande sur les bienfaits illusoires de l’UE ne cesse de nous abrutir et de nous empêcher de penser plus loin que nos besoins immédiats, nombrilistes et corporatistes. La simple peur de quitter l’euro suffit à convaincre la plupart des électeurs de la nécessité d’y rester car chacun juge en regardant son porte-monnaie. Il faut une volonté et un courage politique pour faire raisonner les Français comme les Norvégiens, Suisses et les Britanniques. Il faut de l’abnégation d’un politique pour oser perdre des électeurs avec un message qui va au-delà des convictions profondes inculquées par les politiciens depuis Maastricht. Les plus courageux flirtent avec l’idée mais ne s’y résolvent pas. Si la situation reste ainsi, rien ne pourra changer tant que le cadenas de l’UE et du monde occidental financier et économique bloquera toute tentative de sortie de la nasse dans laquelle nous sommes. Les tenants des bonnes idées sur le contrôle de l’immigration, par exemple, n’ont aucune chance de réaliser leurs propositions car la politique migratoire appartient à l’UE, et elle est multi-civilisationnelle.

Les deux autres voies de sortie qui restent, c’est l’effondrement de l’UE sur elle-même et la révolution des peuples. Les États-Unis feront tout pour faire survivre l’UE qu’ils ont porté sur les fonts baptismaux et garder un vassal utile et économiquement important en chasse gardée. La révolution des peuples européens est en marche mais rien ne garantit qu’elle soit antimondialiste et prête à sortir de l’UE et de l’OTAN. Ce n’est pas de l’Union Européenne dont la France a besoin mais d’une grande coalition politique réunissant tous les souverainistes et les amoureux de la France indépendante. On en est encore loin. La France se désindustrialise, ne se suffit plus pour s’alimenter, et donne des armes de pointe à un pays avec lequel elle n’a aucun lien stratégique au nom de la démocratie et de la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes. Elle oublie que ce droit est revendiqué par une Ukraine russophone, humiliée et bombardée depuis huit ans qui a payé le prix du sang de 15 000 morts.

Une France corrompue, déstructurée et politiquement paralysée

La France devient corrompue, on l’a vu avec les intervenants sur la COVID, elle se gangstérise, s’insécurise et s’accommode d’une civilisation historiquement expansionniste qui la ronge détruisant au passage tout ce qui fait son identité depuis des siècles. Le mondialisme la soutient car elle est porteuse de la destruction de l’Europe jusqu’au point où leurs intérêts divergeront. Ce n’est pas pour rien que la propagande européenne met en image la mixité civilisationnelle avec insistance et contrôle la France de toute dérive immédiatement classée de racisme. Qui peut penser que le choix du Ministre de l’Éducation Nationale soit anodin ? Son passage aux Etats-Unis n’y est pas étranger. La politique américaine est celle du chaos en Europe et ceci explique le comportement de notre élite au pouvoir jusque dans le pourrissement voulu par inaction rapide dès la grève dans les raffineries. Macron est depuis longtemps un simple passe-plat. Il reste des valeurs gauche-droite, complémentaires d’ailleurs, mais il n’y a plus de politique de gauche et de droite. Il y a une appartenance au monde unipolaire ou non. Pour l’instant aucun parti politique représenté à l’Assemblée nationale n’affiche une réelle volonté d’en sortir.

Le combat inévitable de deux mondes


La France se retrouve engluée dans un combat titanesque entre deux mondes, celui unipolaire d’hier de l’impérialisme américain d’un mondialisme géré par le dollar et la puissance militaire américaine, celui de demain multipolaire d’une Eurasie économiquement intégrée respectant l’identité des nations et rejetant l’ingérence dans les affaires intérieures des Etats. A cette dernière l’Afrique y est invitée pour sortir du Tiers Monde ainsi que l’Amérique du Sud encore sous tutelle américaine. Il est facile de comprendre que les États-Unis, maîtres du monde occidental, ne peuvent rien lâcher sur l’Ukraine et pousseront la chair à canons de Kiev jusqu’au bout pour tuer toute velléité de construction de l’Eurasie. La destruction économique de l’Europe, que nous accompagnons dans une folie d’autodestruction antidémocratique, permet d’éliminer des concurrents gênants et de leur livrer un continent de chair à canons et de consommateurs. Les États-Unis ont perdu lamentablement Kaboul, ils ne peuvent pas perdre Kiev. Les Russes ne peuvent même plus espérer la paix sans une zone tampon ukrainienne, car les États-Unis veulent définitivement détruire la Russie considérée comme danger permanent sur l’Europe. De ce fait ils poussent la Russie vers la constitution d’une Eurasie, but affiché de la Chine qui voudrait voir se terminer la guerre en Ukraine. Le grand projet chinois se matérialise dans les couloirs transeurasiens auxquels les États-Unis ont les mêmes raisons de s’y opposer.

Rien ne peut plus arrêter le grand combat des deux mondes

L’Europe est devenu un enjeu stratégique essentiel

Qui décidera du vainqueur de cet affrontement.

La guerre nucléaire tuerait les deux camps

Elle restera une menace du désespoir.

En restant dans le camp du « bien »

La France signe pour longtemps

La phase la plus sombre

De son histoire.

Claude Trouvé

15/10/22

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Vaccination COVID et contradictions sur son efficacité

  Vaccination COVID et contradictions sur son efficacité C’est reparti ! Le virus ? Rien d’affolant pour l’instant mais la propagande de la vaccination mise toujours sur la réinitialisation de la peur comme le conducteur de locomotive qui remettait du charbon pour que la pression vapeur ne retombe pas. La manipulation des masses demande de tenir les tenir au chaud dans les creusets de la peur. La peur climatique commençait à voir son bateau catastrophique prendre l’eau rafraichissante dès la fin de 2019 au vu de la discordance qui s’aggravait entre les prévisions du GIEC et les mesures de températures globales mesurées. Le virus est donc tombé à point nommé (?) pour reporter l’attention des masses sur un virus nouveau parmi les nombreux qui se créent en permanence par mutation interne ou recombinaison avec d’autres types de virus. Le spectre d’une épidémie qui isolerait, parquerait, musèlerait de nouveau des millions de personnes comme à Wuhan suffit à créer le réflexe du « jamais

Les chiffres parlent et les mensonges israéliens apparaissent au grand jour

  Les chiffres parlent et les mensonges israéliens apparaissent au grand jour La presse française continue son œuvre de désinformation sur la réalité des faits dans le conflit israélo-palestinien. Les images et les chiffres servis à satiété sur le massacre des Israéliens dès le 7 octobre et les images nous ont été livrées par les médias comme des certitudes ne souffrant aucune contestation. Une manifestation importante cornaquée par le gouvernement et la bienpensante politique a réuni une France plutôt conservatrice mêlant des pro-israéliens, des humanistes horrifiés, et des apeurés sur la tournure des évènements en France. La présence des musulmans et des autorités musulmanes a été faible. Le nombre limité de participants, vu l’incitation de l’exécutif, cache néanmoins mal une profonde division du pays et son malaise d’identité et de sécurité. Celui-ci vient de la non-intégration d’un nombre croissant de musulmans et d’émigrés clandestins ou non, la plupart sans travail, de la volon

Désinformation climatique ou manipulation médiatique_3