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L’insupportable politique sanitaire d’inspiration américaine contre la pandémie

 

L’insupportable politique sanitaire d’inspiration américaine contre la pandémie

La France a dépensé des sommes folles pour « maîtriser » la pandémie COVID-19 sans enrayer la propagation du virus et en impactant lourdement l’économie de notre pays. Mais le plus grave ce sont les conséquences physiques, psychiques et sociétales sur la santé de nos concitoyens. Les effets du musellement et du confinement sur le psychisme de nos enfants encombrent les cabinets des pédiatres et des psychiatres. Les cardiologues et les pneumologues constatent des effets graves causés par des mesures sanitaires et des traitements hospitaliers inadéquats dans la période précédant la vaccination à cause d’un confinement trop tardif et trop généralisé. Mais la vaccination sans discernement, rendue obligatoire pour les actifs mais imposée de fait aussi aux autres par des mesures restrictives de déplacement par le pass vaccinal, n’a pas apporté l’arrêt de la propagation du virus. De plus on découvre de plus en plus d’effets secondaires graves dans les premières semaines après l’injection. Ils tuent des sportifs en pleine condition physique et touchent même jusqu’au cycle menstruel des femmes avec un impact sur leur fécondité. La première vertu d’un vaccin est l’arrêt de la propagation de la maladie, mais aussi la seconde, affirmée tenue par l’État, est la diminution des effets graves du virus sur notre santé.

La poursuite de la vaccination depuis le 3 octobre dernier est donc l’affirmation de la conviction profonde de l’État sur les bienfaits escomptés. Depuis l’arrivée du vaccin Pfizer à Bruxelles pour l’acquisition d’un droit de mise sur le marché en urgence, j’ai écrit que les documents remis, démontrant une efficacité de 95%, étaient sans valeur statistique. Je l’ai dit parce que j’ai eu connaissance des documents remis aux autorités de l’UE, leur examen et mes connaissances statistiques dans le domaine médical m’en ont convaincu. Pour lever ce constat, il eut fallu que Pfizer fournisse la base ou les bases de données hospitalières dont sont extraites les données sur lesquelles il a bâti son étude. Or Pfizer s’y est refusé et pour cause. Sa propre base de données a été construite en fonction du résultat à obtenir et n'est pas une copie exhaustive des données hospitalières mais un tri dans celles-ci et une création très probable de données fictives pour obtenir le résultat escompté. Il est alors possible de produire des résultats inattaquables sur le plan statistique. C’est l’arnaque à laquelle s’est livré Pfizer ou l’art de faire raisonner juste sur des figures fausses ou truquées.

L’Union Européenne ne s’est pas fait prier pour mettre sur le marché un « vaccin » nouveau, court-circuitant les étapes intermédiaires qui auraient demandé encore de nombreuses années de vérification, et a proposé un traitement génétique encore jamais utilisé en masse sur les humains. On sait de plus les connivences existantes entre les lobbys pharmaceutique et l’UE. Je suis les évolutions des décès, des cas et des mesures sanitaires sur le monde entier depuis le début de l’épidémie et je n’ai cessé de publier que la plupart des mesures sanitaires prises étaient pour le moins inefficaces et qu’il en était de même du vaccin. Je viens de terminer une nouvelle étude statistique sur les données mondiales jusqu’au 4 octobre 2022 qui confirment mes constats précédents. Je la présente avec essentiellement des graphiques commentés susceptibles d’être facilement compris et très significatifs.

Un résultat désastreux de la politique vaccinale américaine et européenne

Ce graphique montre l’évolution des décès par million d’habitants dans chaque continent depuis le début de la vaccination dans le monde. Les losanges rouges marquent la date d’atteinte des 50% de population vaccinée complètement, chiffre retenu comme nécessaire pour obtenir un résultat sur le nombre de décès et la propagation du virus par les autorités sanitaires. On découvre que l’Afrique a 15 fois moins de décès que l’Amérique du Sud (championne de la vaccination) avec pourtant 3,4 fois moins de vaccinés complets. Pour l’Europe c’est 13,6 fois plus de décès que l’Afrique malgré 2,8 fois plus de vaccinés alors que l’on parlait en mars 2020 de centaines de millions de morts probables dans ce continent. Pour les autres continents que l’Afrique on voit que la vaccination n’est apparemment pas corrélée avec le taux de vaccination. Ainsi l’Asie se distingue avec une faible mortalité et une forte vaccination mais elle a aussi utilisé des traitements médicamenteux et le vaccin chinois est de nature classique à souche affaiblie. L’Océanie à l’inverse, peu impactée au début voit croître rapidement les décès dès le dépassement de 50% de vaccinés avec le traitement génétique. Enfin on voit que les trois continents ayant appliqué la même politique vaccinale de traitement génétique généralisée, et grosso modo la même politique sanitaire, ont les mêmes résultats désastreux sur les décès qui ne cessent de croître encore aujourd’hui.

Le traitement génétique ARNm est globalement nocif

L’affirmation que la vaccination a néanmoins fait baisser la mortalité est elle-même fausse. Il suffit pour cela de s’intéresser à la mortalité avant et après le début de la vaccination en se servant des décès par million d’habitants et par jour pour pouvoir comparer ces deux périodes différentes en nombre de jours. La période 1 avant vaccination est de 331 jours et la période 2 après vaccination est de 655 jours le 04/10/22. La base de données OurWorldindata permet de produire ce graphique avec un simple tableur Excel. Les décès/jour en brun de la période 2 après vaccination sont supérieurs à la période 1 avant vaccination dans tous les continents. On nous a pourtant dit que les variants dans cette période 2 était moins dangereux. La barre en bleu montre le pourcentage d’augmentation des décès de la période 2 par rapport à la période 1. Malgré une mortalité faible l’augmentation des décès est spectaculaire en Océanie où l’OMS a tardivement imposé l’injection du traitement génétique. Sur l’ensemble des continents la vaccination n’a pas fait reculer la mortalité même si elle décroit désormais avec la nocivité des variants successifs. Elle est même particulièrement nocive dans les continents à faible mortalité qui ont privilégié les traitements médicamenteux.

On peut même aller plus loin pour montrer les effets nocifs de la vaccination à condition de séparer le monde occidental (Europe + les Amériques) du reste du monde. On peut même donner une évaluation de la progression des décès avec la vaccination soit 29,1 décès/million d’habitants vaccinés complètement pour la partie occidentale et 5,2 pour le reste du monde. Évidemment on est en droit de penser que sans la vaccination les décès auraient continué à un rythme équivalent à la période sans vaccination. C’est la droite en pointillé sur le graphique. On voit que pour le monde occidental la vaccination a fait augmenter les décès de 56% et qu’ils sont multipliés par 3 dans le reste du monde. On pourrait presque parler de crime contre l’humanité en Océanie.

Aucun argument ne plaide en faveur de la vaccination et les affirmations de gain sur les décès par celle-ci ne résistent pas à une analyse planétaire et deviennent une propagande mercantile sans humanité. Il ne faut pas hésiter à parler d’une arnaque mondiale menée par les grands laboratoires, les grands profiteurs, dans le cadre d’une politique du Grand Reset dont le but est de maîtriser les populations et de se doter des moyens d’en gérer le nombre.

La vaccination ne réussit même pas à arrêter la propagation

Le premier but de stoppage de la propagation du virus n’est pas réalisé et les autorités doivent bon gré mal gré le reconnaître sans s’y attarder. Ils continuent à prôner la vaccination sur les plus fragiles. Des études récentes montrent que la vaccination est plus mortifère chez les personnes âgées, mais ceci n’appelle aucun débat au niveau des autorités sanitaires et on privilégie même leur vaccination une nouvelle fois. J’avais très humblement parlé du bon sens qui veut que si l’on ne veut pas faire tomber les prunes, on ne secoue pas le prunier quand elles sont mûres. J’en avais parlé lors de la vaccination obligatoire dans les EHPADs, on a vu le résultat. J’avais aussi pensé que leur confinement ne faisait qu’aggraver leur contamination réciproque. Mais bon tout cela ne faisait appel qu’au bon sens sans preuve scientifique. Hélas le bon sens ne perdure que chez les humbles.

Ceci m’amène à regarder le volet de la propagation du virus dont on se doute du résultat, vu la recrudescence actuelle, mais les chiffres peuvent amener d’autres constats intéressants. On va s’intéresser à la totalité de la période pandémique. Sur ce graphique on constate qu’une croissance brutale et très négative de la vaccination est très marquée au-delà des 50% de vaccinés, en particulier en Océanie où elle est spectaculaire alors qu’en Afrique, peu vaccinée, il y a une quasi-stagnation. On peut y voir plutôt une évolution de l’immunisation naturelle mais je ne m’avancerai pas plus loin dans ce domaine des épidémiologistes. Au contraire des États-Unis l’Europe se distingue particulièrement. On peut peut-être avancer que la diversité des politiques sanitaires dans les États américains y est pour quelque chose. L’Amérique du Sud se différencie nettement de l’Europe, et l’Asie croît bien moins vite que le monde occidental.

La France et l’Allemagne présentent les mêmes effets désastreux

Afin de lever tout doute sur la situation française, il faut se comparer à un grand pays voisin, ce graphique présente les résultats sur les décès et les cas de la France et de l’Allemagne. Ces deux pays n’échappant pas au constat fait sur l’Europe concernant l’inefficacité de la vaccination, ce graphique donne une nouvelle indication sur la différence entre la période de vaccination avant l’atteinte des 50% de vaccinés et la suivante jusqu’au 07/10/22. La date commune aux deux pays pour l’atteinte des 50% est le 01/09/21.  Malgré des différences sensibles entre les deux pays, les décès et cas par jour sur le couple de pays (barres vertes) montrent une croissance par jour des décès et des cas dans la période suivant la vaccination de 50% de la population. On passe de 0,303 à 0,328 pour les décès/jour/100 000 habitants et de 0,091 à 0,528 pour les cas/jour/500 habitants soit une augmentation des décès de 7,3% et 5,5 fois plus de cas. La vaccination de diminue pas les décès et ne jugule pas la propagation. On peut même avancer qu’elle aggrave le nombre de décès et de cas comme on a pu le constater sur l’étude planétaire décrite plus haut.


Le graphique suivant résume les évolutions respectives de la pandémie et de la vaccination pour ces deux pays. On constate d’une part des évolutions parallèles mais nettement en notre défaveur, et d’autre part l’accélération de la propagation après la vaccination de 50% des populations et une progression constante des décès.

Nos voisins du Maghreb entretiennent des relations et des échanges humains et économiques importants, et l’évolution de la pandémie est une preuve de plus de l’inutilité de la vaccination. En effet un seul pays, la Tunisie, suit une évolution des décès proche de la France. L’Algérie, le Maroc et l’Afrique, peu vaccinés, sont globalement très peu touchés par la pandémie. Or la Tunisie est le pays qui a suivi les mêmes consignes de vaccination et surtout de politique sanitaire que la Fr

On peut multiplier les exemples montrant l’inutilité, pour le moins, de la vaccination alors que la politique sanitaire hors vaccination apparaît comme primordiale. On peut citer de nombreux facteurs comme l’inutilité des masques, hors utilisation en chirurgie et dentisterie, dangereux pour la santé psychique des enfants, alors que la propagation se fait surtout par contact ce qui rend le lavage des mains beaucoup plus efficace. Le confinement généralisé des non contaminés s’avère une erreur. La surveillance aux frontières s’avère lourde et inefficace. L’implication des médecins généralistes a été inutilement freinée alors qu’ils ont un rôle majeur de tri et de désengorgement des urgences dans une pandémie. Les traitements médicamenteux interdits d’emploi ont prouvé leur utilité préventive et curative. Ainsi l’interdiction de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine, retirée des pharmacies et classée produit vénéneux, reste un crime, car ils ont fait leurs preuves d’efficacité et de faible coût dans de nombreux pays d’Afrique et d’Asie. Elle n’a eu pour but que de protéger la vente d’autres médicaments puis des vaccins par les grands laboratoires. La France n'est pas le plus mauvais élève du monde occidental, mais loin d’être le meilleur, car elle a suivi une politique qui s’avère mortifère sous l’impulsion américaine du Dr Faucy.

L’évolution actuelle de la pandémie ne justifie en rien de continuer les mesures de coercition et de vaccination.

La nocivité des variants du virus de Wuhan sont de moins en moins mortels et ne justifient plus une politique sanitaire de pandémie. La mortalité à 0,06% de ce virus est moins importante que celle du tabac, et même de la grippe 2018-2019 (les chiffres fournis pour la grippe sont donnés pour une période de 12 mois afin de permettre les comparaisons sur une base annuelle). La durée d’une période grippale de 8 semaines est d’ailleurs similaire à celle du passage des différents variants du COVID-19. Le graphique de gauche montre que le nombre de 0,66 décès/million d’habitants lissé sur une semaine le 07/10/22 a été déjà constaté les 05/09/22, 27/06/22, 19/11/21, 03/08/21 entre autres. Il en est de même du nombre de cas dont la vitesse de croissance est la plus faible depuis novembre 2021. L’affolement et les mesures coercitives ne sont pas nécessaires. Il est temps de ne plus continuer avec des vaccins mis sur le marché en urgence et court-circuitant les étapes finales de validation d’autant plus que les effets secondaires sont de plus en plus notoires et au-dessus normalement de ceux constatés par les vaccins à souche affaiblie. Le musellement et le confinement n’ont plus lieu d’être.

Le fiasco des politiques sanitaires utilisées dans le monde occidental crève les yeux et particulièrement en Europe. Le déni et la propagande vaccinale sont devenus un crime que peu de gens osent dénoncer. Que la propagande ait rendu les peuples soumis et apeurés, en est une bonne raison. Mais le plus grave c’est de voir des scientifiques de la santé publique continuer à dire des balivernes soit par ignorance soit par compromission puisqu’il n’y a pas d’autre alternative explicative. Pour ce qui concerne l’État, il est évident qu’il est l’agent d’une politique qui part du monde unipolaire américain et des grandes fortunes en passant par l’OMS financé indirectement par Blackrock, grâce à des partenaires comme Bill Gates, en passant par l’UE et sa compromission avec les grands laboratoires.

La vaccination par traitement génétique en particulier

Appliquée au COVID-19 et en mesure d’urgence

Est une arnaque, un crime contre l’humanité

Qui détruit la santé physique et psychique

Appauvrit les peuples aux seuls profits

Des grandes fortunes et des labos

Liés au Grand Reset de Davos

Unipolaire et étasunien.

Claude Trouvé

08/10/22

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