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Un mois d’octobre 2022 chaud et la propagande climatique repart

Ils ne peuvent pas s’en empêcher ! Désormais sûrs que la météo nationale va publier vers le 2 novembre que le mois d’octobre sera le mois le plus chaud jamais enregistré en France avec 3,3 °C de plus que la normale, les propagandistes du réchauffement climatique, désormais hypocritement nommé « changement climatique », propagent leur vérité par l’organisme mondial le moins contestable à savoir l’ONU. Celui-ci s’appuie sur son enfant le GIEC, groupement international qui évalue le réchauffement climatique par le CO2, son impact sur l’homme et l’environnement et propose les mesures nécessaires pour en diminuer l’impact. Il prédit une augmentation de température de +2,6°C en 2100. Les commentaires des médias mondialistes aux ordres s’en emparent évidemment avec délectation en parlant de la fournaise prévue à la fin du siècle. Ils font un lien implicite entre un phénomène météorologique mensuel en France avec une température globale (terres et océans) de la planète, ce que tout un chacun à tendance à faire parce que viscéralement on se prend toujours pour le centre du monde. Cet amalgame est une honte médiatique encouragée par ceux qui incitent à une propagande convenant à leurs propres intérêts. Il n’y a aucun argument scientifique qui donne le droit de tenter de justifier des prévisions climatiques alarmistes en s’appuyant sur un mois d’octobre chaud en France. Dois-je rappeler que d’une part l’on ne parle en climatologie que de température annuelle et non mensuelle, et que d’autre part la France ne représente que 0,1% de la surface terrestre. Donc la température globale d’octobre sera affectée par celle de la France de 0,28% (3,3/12/1000). La température globale des onze mois écoulés jusqu’en septembre est de +0,9°C, d’ailleurs stagnante depuis avril 2015. La température chaude de la France en octobre va pouvoir participer au réchauffement annuel de la planète à hauteur de +0,00025°C (0,9*0,00028) !

J’espère que ce petit calcul est encore accessible à une majorité de nos concitoyens et leur montre clairement le chantage médiatique implicite engendré par la concomitance d’un mois chaud en France et les prévisions climatiques à 78 ans devant nous. Je peux en plus ajouter que les prévisions du GIEC s’appuient sur un historique des températures mensuelles sur 50 ans en arrière. L’impact de la température d’octobre en France sur la prévision est donc encore 50 fois plus faible. Non la chaleur du mois d’octobre 2022 en France ne valide en rien la poursuite du réchauffement climatique. Ne vous laissez plus prendre à ce chantage implicite. En effet comme ce fut le cas entre 1998 et 2014, la température globale terres et océans reste constante à +0,9°C d’avril 2015 à septembre 2022 selon les mesures satellitaires de NOAA. L’impact des +3,3°C d’octobre en France ne dit donc rien de la valeur qui sera publiée au niveau global pour ce mois. Néanmoins je me dois de constater que cette prévision de l’ONU est moins alarmiste que celle de notre grand représentant scientifique du réchauffement, Jean Jouzel, qui a prévu jusqu’à +7°C en 2100 ! Il devait se référer aux prévisions du GIEC dans son rapport de 2010. On voit le repli parcouru par l’alarmisme du début du siècle à aujourd’hui devant la réalité mesurée des augmentations de la température globale qui deviennent de plus en plus faibles. Ceci doit expliquer le regain de propagande nécessaire pour maintenir l’urgence climatique dans les esprits, urgence qui permet de valider toutes les mesures contraignantes pour faire baisser le taux de CO2.

Affirmer qu’il y a eu un réchauffement de la température globale de 1978 jusqu’en 2015 à hauteur de 0,9°C, et que les activités humaines ont rejeté du CO2 dans l’atmosphère est une réalité que personne ne cherche à nier, mais il en est tout autre pour ce qui concerne la prévision climatique et l’impact de l’activité anthropique sur celui-ci. Contrairement à ce qui est officiellement admis, la part de l’impact anthropique est faible par rapport au réchauffement d’origine naturelle. Cela se trouve, pour qui sait chercher, dans le rapport du GIEC qui donne le coefficient de liaison entre la quantité de CO2 et la température. « Chaque mille milliards de tonnes d’émissions de CO2 cumulées devraient réchauffer la terre de 0,27°C à 0,63°C avec une meilleure estimation à 0,45°C » (Résumé pour les décideurs du rapport AR6 paragraphe D.1.1 page 28). On note au passage le flou puisque le coefficient varie de plus du double. On peut ainsi calculer l’impact des émissions anthropiques sur la température. L’écart à plus du double sur ce coefficient démontre bien la fragilité des prévisions surtout si l’on se base sur les émissions anthropiques dans l’atmosphère.  Dans le résumé de synthèse lu par les chefs d’Etat il apparaît aussi l’augmentation annuelle de température donnée à +0,02°C/an, seul coefficient en réalité retenu. C’est ce qui donne une augmentation de +2,6°C entre 1970 et 2100. On voit sur le graphique ci-dessus que la zone d’incertitude en bleu ne recouvre pas la simple prévision linéaire et statistique de l’évolution des températures depuis 1978 et la prévision retenue par l’ONU en octobre 2022 reste plus alarmiste.

Le graphique ci-contre des variations réelles mensuelles de 1978 à 2100, et celles lissées sur un an, présente la dernière prévision de l’ONU, la simple prévision par régression linéaire sur les températures réelles, et l’évaluation d’une prévision si on cessait aujourd’hui d’émettre du CO2 anthropique sur l’ensemble de la planète. Le coefficient de liaison température/CO2 est celui fourni plus haut par le GIEC. Il est évident que les prévisions du réchauffement climatique sont déjà au-dessus de la réalité et le coefficient de +0,02°C/an est plus élevé que celui donné par la régression linéaire sur les températures réelles depuis 1978. Il donne une urgence climatique à +1,5°C avant 2046. Pour ce qui concerne l’influence du CO2 anthropique, elle pourrait être beaucoup plus faible que la valeur de 0,02°C/an retenue par le GIEC, laissant la plus grande part à l’évolution naturelle. Sur la base du coefficient du rapport °C/tonnage CO2 retenu par le GIEC je l’avais évalué à 14% dans un précédent article. En effet la température a augmenté entre 1910 et 1945 suivant un rythme de +0,0171°C/an alors que le taux de CO2 anthropique dans l’atmosphère était bien inférieur à celui d’aujourd’hui. Cette valeur est comparable à celle obtenue par régression linéaire entre 1978 et septembre 2022 à savoir +0,0174°C/an avec des émissions anthropiques importantes de CO2 que l’on dit responsables du réchauffement climatique. Dans cette hypothèse l’apport du CO2 anthropique serait de 0,0003°C/an. Par rapport à l’augmentation de température 67 fois plus élevée avec 0,02°C/an prévue par le GIEC, on voit qu’alors nos efforts financiers énormes et planétaires pour limiter le CO2 anthropique seraient sans impact donc parfaitement illusoires sur le réchauffement. L’essentiel du réchauffement pourrait n’être dû qu’à la variation naturelle et non à celle de l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère !

On comprend qu’il n’y a pas pour l’instant consensus parmi les scientifiques qui travaillent sur le climat, contrairement à ce que l’on nous affirme où la référence du GIEC ne souffre plus de la moindre contradiction. La part de la variabilité naturelle du climat est de toutes les façons la plus importante car les flux de CO2 anthropique émis en 2019 et 2021 sont de 36 milliards de tonnes dont 44% seulement restent dans l’atmosphère selon le GEIC, soit 16 milliards de tonnes ou 0,5% de la masse totale. Ces émissions annuelles anthropiques dans l’atmosphère restent faibles par rapport au stock de 3 200 milliards de tonnes de CO2 entourant déjà notre globe. Selon le coefficient du GIEC de 0,45°C pour chaque millier de milliards de tonnes de CO2 dans l’atmosphère, cela limite drastiquement le pouvoir de l’humanité sur le climat à +0,007°C/an (0,45*16/1000) ! Les modèles mathématiques se révèlent très imparfaits voire inadéquats tant les variations climatiques s’avèrent chaotiques donc imprévisibles. Les facteurs qui interviennent sont extrêmement nombreux, et il apparaît de plus en plus que les différents cycles solaires, agissant en chaudière modulable de la planète, sont le premier moteur des variations climatiques. Ces méconnaissances scientifiques n’auraient pas de conséquences sur les habitants si les hommes ne s’imaginaient pas pouvoir être les sauveurs de la planète. En effet les conséquences sur la vie économique, la liberté des habitants sont énormes, car on ne parle plus qu’en centaines et en milliers de milliards dans les instances mondiales pour lutter contre le réchauffement climatique.

 De plus l’élévation du taux de carbone dans l’atmosphère n’a pas d’impact sur la santé humaine à l’inverse de l’oxyde de carbone et est très bénéfique pour le monde végétal. Il lutte contre la faim dans le monde en augmentant la productivité des plantes nourricières. Les observations satellitaires nous montrent que la planète reverdit. Avant 2016 et en 33 ans la superficie verte s’est agrandie de 30 fois la surface de la France. Quand la population mondiale augmente de 10% par an, n’est-ce pas le plus important ? L’augmentation du taux de carbone produit celle de la richesse du monde et une augmentation de 0,5°C est globalement favorable pour lutter contre la faim dans le monde. Le prix Nobel d’économie en 2018, William Nordhaus, a parlé d’un optimum économique à +3,5°C. N’oublions pas qu’au carbonifère, époque de végétation luxuriante et des grands vertébrés, la température était à +5°C. On va mourir de chaud ?  Savez-vous que 80% des décès pour des températures extrêmes sont provoquées par le froid ?

Il faudrait de longs exposés pour démanteler tous les mensonges de la propagande climatique, que ce soit sur les catastrophes naturelles, la montée des eaux, la fonte des glaces polaires, l’acidification des océans, etc. Sur ce dernier point, par exemple, on peut noter que les eaux maritimes sont toujours basiques et non acides comme dit dans la presse avec les conséquences inquiétantes qui s’ensuivent. La basicité diminue certes ce qui n’est pas la même chose et le plancton est en pleine croissance. Cela offre une évolution positive de la flore et de la faune marines. Le groupe 1, dit scientifique, du GIEC n’a jamais validé l’augmentation des catastrophes naturelles, pas plus que les assureurs, mais cela est repris dans le rapport de synthèse aux décideurs. On voit que le changement climatique s’appuie sur une pseudo science et est éminemment politique. On est devant une manipulation des peuples en particulier dans le monde occidental, car on voit que la Chine ne promet rien dans la diminution des émissions carbone et que l’Inde s’y est opposé lors de la dernière COP26 suivie en cela par des pays africains. Ces derniers ont compris que cette évolution est mortifère pour eux. Il y a déjà des centaines de milliards qui ont été dépensé par les pouvoirs publics pour le solaire et les éoliennes sans impact sur le taux de carbone. C’est l’évidence même au regard du bilan de la production électrique allemande.

Alors pourquoi tout ce cirque médiatique ?

Comme toujours il y une énorme affaire de gros sous avec la spéculation sur la taxe carbone qui extrait de la richesse des nations au profit des grandes sociétés spéculatrices et les grands marchés pour l’environnement. On bloque ainsi des sommes énormes pour tout ce qui va permettre de diminuer les émissions de carbone et on spécule avec les droits d’émettre du CO2 que l’on n’utilise pas. Pour soi-disant éviter un réchauffement de +0,5°C, c’est plus d’une centaine de milliers de milliards de dollars qui ont été envisagés lors de la COP26 dépensés jusqu’en 2050. Évidemment le financement est à prendre sur les recettes publiques et donc les taxes et les impôts. Si cela s’avère impossible, cela va être le cas, cela nourrira la dette à passer aux générations suivantes mais d’ici 2050 les grands ploutocrates, qui deviennent de plus en plus les décideurs, s’en mettront plein les poches.

Mais ce n’est pas tout et peut-être l’essentiel est-il dans la mise sous tutelle des peuples comme avec la pandémie. Les urgences climatique et pandémique permettent aux Etats de justifier l’augmentation de leur contrôle sur les sociétés. On peut ainsi réglementer tous les aspects de la vie des citoyens et de l’économie. Tout peut y passer, liberté d’expression, de déplacement, de chauffage, de consommation en particulier alimentaire, de santé et de vaccination. Les passes sanitaires, vaccinaux et celui envisagé de passe carbone ou de vignette verte pour circuler dans les grandes agglomérations, l’obligation de renoncer bientôt à la voiture à moteur thermique, la suppression imminente du cash, etc. sont autant de signes de cette volonté d’asservissement des peuples. Mais on peut ajouter une volonté de destruction de la politique familiale et de substitution par la politique du genre, génératrice de recul démographique, mais de compensation par une immigration civilisationnelle différente, de report des tâches régaliennes vers des entités de plus en plus éloignées des électeurs, mais relais favorables au mondialisme occidental comme l’UE. Là il faut citer cette phrase de Klauss Schwab, le patron de Davos et du Grand Reset, qui résume tout : « Vous ne possèderez plus rien, mais vous vivrez heureux ». Autrement dit vous vivrez servile comme le chien dans la fable de La Fontaine. Mais ils n’auront de chiens que ce qu’il leur en plaira, donc ce qui leur sera encore utile. On voit se profiler une gestion du nombre d’humains au profit de quelques millions de privilégiés au nom de la décroissance nécessaire pour ne pas épuiser les ressources limitées de la nature. C’est malheureusement le slogan écologiste qui joue alors le rôle d’idiot utile pour ce grand projet de Reset du monde occidental. Les écologistes respectables sont aussi manipulés, comme les bonnes âmes qui font tout pour accueillir la misère du monde sur notre territoire.

Des solutions énergétiques moins coûteuses existent

L’écologisme et le révisionnisme jouent consciemment ou inconsciemment le jeu du Grand Reset du Nouvel Ordre Mondial à la sauce occidentale sous l’abri de la puissance monétaire et militaire des États-Unis. La France suiveuse se tire des balles dans le pied. La consommation électrique française étant stable depuis 2015 et la France étant normalement exportatrice à hauteur de 8% avant l’arrêt de Fessenheim, nous n’avons pas besoin de nouveaux réacteurs nucléaires et encore moins d’énergies renouvelables et du renforcement du réseau électrique qu’ils nécessitent, énergies dont l’intermittence aléatoire doit être comblée par des centrales à gaz ou des dégradations de puissance de nos réacteurs nucléaires. La mise en service de l’EPR de Flamanville en 2023 suffit largement. Nous n’avons besoin que de re-caréner les 24 réacteurs nucléaires qui le nécessitent avec un nouveau bail de 20 ans pour le moins, soit une dépense totale de 24 milliards. Après l’hydroélectricité, le kWh nucléaire est le moins cher et celui des éoliennes en mer le plus cher avec le kWh solaire. L’âge des centrales nucléaires américaines de même type a été repoussé à 60 ans et on parle de 80. Nous n’avons pas besoin de nous mettre dans les mains de l’industrie chinoise avec la voiture électrique sous prétexte de « neutralité carbone », et de plomber l’industrie automobile française qui ne pourra pas lutter sans d’importantes subventions de l’État qu’il nous faudra bien payer. Les voitures chinoises vont inonder le marché comme les éoliennes et les panneaux solaires. Nous avons à inciter nos constructeurs automobiles à aller vers la consommation du 1 ou 2 litres de gazole aux cent kilomètres, objectif atteignable, et nous diviserons par 2 ou 3 la consommation de pétrole sans devoir augmenter la production électrique et les investissements de recharges électriques, sur tout le territoire, capables d’assurer les heures et les jours de pointe. Plein d’autres solutions existent mais quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage.

L’urgence climatique est un attrape-nigaud et un excellent soporifique

L’actualité française étale devant nos yeux la manipulation médiatique sur un public docile permettant de dire tout et son contraire grâce à des affirmations péremptoires mais dans un but caché. On nous prévoit un hiver froid à cause du courant froid El Niña du Pacifique qui va se manifester, et par ailleurs un réchauffement anthropique insupportable jusqu’en 2100. On ne maîtrisera pas la variabilité naturelle du climat car dans le pire des cas la température globale n’augmenterait que de 0,2°C d’ici 2050 par effet anthropique si l’on ne fait rien. Cela pourrait paraître troublant mais on fait passer le premier pour nous préparer à la sobriété énergétique, qui cache une impéritie étatique ou un plan machiavélique pour la sortie du nucléaire, et on enfonce « en même temps » un peu plus le couvercle pour étouffer toute tendance à se poser des questions sur l’urgence climatique et toutes les conséquences désagréables que l’on va nous faire subir. Mes chers concitoyens, si vous n’êtes pas encore prisonniers d’un individualisme forcené du type « après moi le déluge », ouvrez les yeux et dites-vous que tout ce que les médias mainstream déversent comme information est en accord avec un plan occidental mondial auquel est astreint le passe-plat Macron et toutes les actions publiques actuelles. Ce plan n’a rien à faire de notre bonheur, il ne s’intéresse qu’aux riches planétaires, mais il sait distribuer au bon moment les bonbons qui vous amèneront des réconforts passagers afin que vous préfériez vos pantoufles aux combats risqués d’une révolte populaire. C’est cela la manipulation des peuples dont seule l’ire peut inquiéter les puissants.

« Nous savons qu’ils mentent, ils savent qu’ils mentent, ils savent même que nous savons qu’ils mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent, ils savent bien sûr que nous savons certainement qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent, mais ils continuent à mentir » (Pierre Gosselin)

Le peuple qui perd le droit de choisir son avenir

Ne peut qu’être la proie de tous ceux

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De prédateurs.

Claude Trouvé

29/10/22

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