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La guerre au virus ne fait-elle pas fausse route ?

 

La guerre au virus ne fait-elle pas fausse route ?

La réalité du virus n’est qu’une construction mathématique basée sur un réarrangement des images d’acides nucléiques observés au microscope électronique. Toute la science de la virologie est basée depuis 1954 sur l’affirmation de l’existence réelle des virus. La notion de vivant est devenue très floue car la frontière entre le non-vivant et le vivant est très ténue depuis même la naissance de notre univers. Cette affirmation n’a rien de choquant, il en est ainsi des avancées de la science. On émet des hypothèses et on les valide par la suite parce qu’elles expliquent un certain nombre de constats jusqu’alors inexpliqués. Dans la physique nucléaire sur la structure intime de la matière, on a ainsi fait d’énormes progrès dans la connaissance. Mais une hypothèse ne doit pas tenir très longtemps si elle ne permet plus de faire progresser la science, c’est-à-dire la compréhension du chercheur et dans l’ouverture de nouveaux champs d’exploration.

Si je me permets cette réflexion c’est que j’observe qu’un désarroi s’installe progressivement dans la pensée de ceux qui la pratique encore et même dans ceux qui agissent sur une épidémie qui semble les défier. Les recettes moyenâgeuses utilisées dès le début pour lutter contre la propagation de l’épidémie ont montré notre méconnaissance de moyens de lutte plus efficaces. Les tâtonnements ont été nombreux et les buts visés peu clairs en dehors de celui de la saturation des hôpitaux. On va d’ailleurs depuis le début sur des annonces de recettes miracles comme gestes barrières, confinement généralisé puis localisé, masques inutiles puis utiles, couvre-feu à 20h puis porté à 18h pour insuffisance d’impact sur les cas, fermeture des restaurants, des musées puis réouverture de certains, isolement chez soi puis avec masque, sortie dehors sans masque mais limitée, interdiction de consommation d’alcool, j’en passe et des meilleures. Tout ça pour nous aboutir à une recette miracle, celle de la vaccination avec des vaccins validés dans l’urgence donc sans les sécurités nécessaires sous prétexte d’une efficacité n’ayant que la certification du producteur. Aucune étude sérieuse et indépendante n’a pu être faite avant la validation par l’autorité sanitaire européenne. On a validé sur les documents du producteur !

Une étude publiée récemment par le Pr Ioannidis, épidémiologiste, docteur en médecine et chercheur à l’université de Stanford (Etats-Unis), remet en cause l’efficacité du confinement et des mesures de protection en général sur la propagation du virus. Cet épidémiologiste, sans doute le plus réputé au monde par la qualité de ses publications, présente une étude mondiale sur les deux phases principales de l’épidémie. Il en ressort que la cause principale des décès est liée aux comorbidités des personnes infectées. Le Pr Raoult prend en compte cette information et l’associe à la disparition de la grippe et autres affections par contagion par suite de nos précautions sanitaires exceptionnelles depuis le début de l’épidémie. Mais l’étude montre aussi que ces mesures sanitaires, dont le confinement, n’ont aucun effet notable sur le taux de mortalité et sur la propagation. Il peut affirmer cela en se servant de la diversité des mesures sanitaires dans le monde et en particulier entre les Etats de l’Amérique fédérale. Cette affirmation aurait dû avoir des conséquences énormes mais elle ne semble pourtant pas affecter la stratégie sanitaire française. Celle-ci continue à prôner le confinement même si sa généralisation finit par être considérée comme trop nuisible à l’économie.

Ce constat a pourtant une importance considérable car il bouleverse nos certitudes et signe notre échec dans la lutte préventive contre l’ennemi dans cette « guerre » déclarée par le Président Macron. La maladie est « sous contrôle » n’a plus de sens puisque nous sommes relégués dans une attitude défensive avec comme arme le traitement hospitalier et le mirage d’un vaccin boostant nos défenses immunitaires. La science de la virologie compte des variants mais elle bute sur la compréhension des moyens d’agression de l’ennemi qu’aucun barrage n’arrête. Cette impression d’une défaite scientifique m’a fait écouter le Pr Montagnier, prix Nobel de Médecine pour la découverte du virus du SIDA à propos des vaccins dits à ARN messager. Son affirmation selon laquelle nous ne connaissons que très peu de choses sur l’utilité des composants de l’ADN en dehors de sa signature individualisée qui aide la police dans ses enquêtes. Ajoutons à cela le fait que ce virus n’est qu’une image construite grâce au microscope électronique et aux logiciels de réarrangement des acides nucléiques détectés. L'image est une combinaison de deux techniques : la microscopie électronique à balayage (MEB), qui permet de visualiser la surface et la forme d'un échantillon en détectant les électrons qui rebondissent, et la microscopie à transmission qui permet d'observer l'organisation et la structure interne du virus. Elle a ensuite été colorisée artificiellement. On ne voit pas naturellement le virus comme les microbes mais une construction 3D produite par un logiciel informatique.

On n’a toujours pas trouvé de vaccin pour le SIDA après plus d’une dizaine d’années de recherche, et on dispose dans un délai de quelques mois de vaccins contre le COVID 19 alors que certains chercheurs pensent que ce virus pourrait être une « erreur » d’un laboratoire chinois de recherche sur le vaccin contre le SIDA. En réalité on ne dispose que des études publiées par les producteurs de vaccin dans une procédure de validation en urgence et d’une évaluation des effets secondaires sur une durée de deux mois pour l’instant. Il nous reste plus qu’à faire l’évaluation de l’efficacité sur le nombre de décès, les populations servant de cobayes sous prétexte que l’innocuité est assurée.


Or les données en notre possession le 12 mars ne permettent absolument pas de mettre en lumière l’efficacité des vaccins répandus sur la grande majorité des nations comme le montre le graphique ci-contre. On note d’abord que 5 pays, dont la France, s’agglutinent dans un cluster avec une augmentation de 40% à 45% du nombre de décès/jour et par million d’habitants sur la période de vaccination. Ils sont représentatifs d’un taux de vaccination autour de 10%, chiffre d’ailleurs moyen dans l’Union Européenne. Mais la différence est importante entre ce groupe et l’Allemagne (150%) et le Portugal (170%) qui sont loin de retrouver leur taux de mortalité du début de la vaccination. Les valeurs affichées sont calculées sur la moyenne des décès cumulés depuis le début de l’épidémie évalués sur la semaine précédant le début de la vaccination et celle du 6 au 12 mars. C’est la variation en % des décès/jour/million d’habitants et le taux de vaccination du 12 mars qui sont portés sur le graphique.

Dans les pays ayant vacciné par une dose autour de 10% de la population, on note une grande dispersion de l’augmentation du nombre de décès/million d’habitants. La Suède a une position moyenne à 62% et un taux de vaccination de 10%. Sans utiliser le confinement la Suède s’en tient toujours à une politique sanitaire basée sur l’immunisation collective. Si l’on s’intéresse aux pays ayant dépassé les 15% de vaccinés 1 dose, on doit d’abord parler du Chili qui avec 32% de taux de vaccination affiche une augmentation de 32% des décès, valeur plus basse que le cluster de 5 pays européens. Ceci pourrait laisser penser à une efficacité du vaccin mais ce taux d’augmentation de la mortalité est inférieur à celui de la Belgique à 17% avec un taux de vaccination de 9%.

Dans les pays ayant le plus vacciné il reste dans l’ordre croissant la Hongrie, la Serbie, les États-Unis, le Royaume-Uni, les Emirats Arabes Unis et Israël dont les taux de vaccination 1 dose s’échelonnent entre 16% et 106%. Ce dernier taux obtenu en Israël indique que l’on a dû vacciner une autre fois certains patients ayant déjà eu 2 doses. Pour ces 6 pays les taux d’augmentation du nombre de décès/jour/million d’habitants dans la période de vaccination varient entre 70% et 111%. Toutes ces valeurs sont très supérieures au cluster de pays ayant de l’ordre de 10% de vaccinés avec une valeur moyenne d’accroissement des décès/habitants de 40%. Les Émirats Arabes Unis qui ont vacciné 65% de leur population ont plus que doublé le taux de mortalité, donc au-dessus des 50% nécessaires au recul de l’épidémie, durant la période de vaccination. Il en est de même d’Israël, le champion de la vaccination et la référence pour Pfizer. Durant ces derniers jours d’ailleurs le nombre de décès/jour stagne et il diminue très lentement dans les Émirats Arabes Unis. A l’inverse les décès chutent brutalement au Portugal et depuis plus longtemps en Belgique. Enfin on ne peut passer sous silence le cas de la Palestine qi ne vaccine pas faute de vaccins et qui fait 5,5 fois mieux que sa voisine Israël sur l’augmentation du taux de mortalité.


On ne peut absolument pas déduire de cette période de vaccination un effet du vaccin sur le nombre de décès/habitants. Sur ce deuxième graphique la variation naturelle du virus montre bien qu’elle se joue aussi des mesures sanitaires plus ou moins poussées dans les évolutions des décès entre le 25 août 2020 et le 12 mars 2021. Le Royaume-Uni, Israël, la Belgique se retrouvent au même niveau de 2,7 décès/jour/million d’habitants le 12 mars après des évolutions très différentes. La Suède fait même légèrement mieux avec 2,5 décès/jour/million d’habitants. Contrairement à l’information exagérément anxiogène fournie par le gouvernement et propagée par les médias, la France voit sa mortalité baisser significativement mais moins vite que plusieurs pays proches. Les Émirats Arabes Unis peu touchés par l’épidémie et fortement vaccinés ne montrent pas une baisse rapide des décès. Mais le plus significatif est la comparaison entre Israël et la Suède, pays assez comparables en population avec respectivement 9 et 10 millions d’habitants. Depuis le 9 février ces deux pays suivent la même trajectoire de décès journaliers et celle-ci tourne un peu à l’avantage de la Suède le 12 mars. On ne voit donc aucune différence entre la Suède non confinée et peu vaccinée et Israël aux strictes mesures de confinement, masques, passeport vert et vaccination autoritaire à 100% pour la première dose et 55% pour la deuxième. On atteint même 106% de première dose en Israël, personne n’y échappe donc ! La vitrine d’Israël, en phase de vaccination accélérée depuis près de 3 mois, présente au monde un bilan sans preuve d’efficacité de sa vaccination. Contrairement aux affirmations, sans d’ailleurs de publication publique des résultats d’une étude d’efficacité réelle, la vaccination ne montre pas plus d’effet jusqu’à présent que les mesures sanitaires prises dans un climat autoritaire.

A ces échecs sur les mesures sanitaires et sur la vaccination, on peut ajouter les incertitudes sur les tests où en gros on a 30% de faux positifs, et 30% de faux négatifs. Si on peut rattraper dans le circuit sanitaire les négatifs ayant les symptômes de l’épidémie, les autres circulent librement et sont potentiellement contagieux. Pour les faux positifs, la galère de l’auto-confinement les attend. A ce point d’ignorance où nous sommes, on peut se poser la question de savoir si nos malades du COVID ne sont pas en fait des patients ayant une très basse défense immunitaire pour des raisons allant du stress à des comorbidités graves. Les personnes âgées plus fréquemment atteintes par des comorbidités et par le stress offrent donc un terrain propice à la baisse de l’immunité naturelle. De fait ils sont les patients qui saturent nos lits de réanimation. La baisse de l’immunité naturelle ouvre notre corps à tous les agresseurs viraux et microbiens et le stress est connu comme un inhibiteur de cette défense. La politique angoissante du gouvernement va donc dans le mauvais sens. On peut en effet s’interroger sur le stress communiqué par les gouvernants des différents pays. Le Danemark est noté comme le pays du monde où la population se sent la plus heureuse, et il montre une grande résistance à l’épidémie avec dans la semaine du 6 au 12 mars un taux moyen de mortalité plus de 15 fois inférieur à la France et plus de 4 fois inférieur sur l’ensemble de l’épidémie. En Suède où les suédois vivent presque normalement dans un climat assez serein, le taux de mortalité sur la même semaine est près de 2 fois inférieur à la France et de -4% sur l’ensemble de l’épidémie.

La raison de la baisse plus lente des décès dans notre pays ne serait-il pas liée au stress entretenu dans notre population tout simplement ? L’entretien de l’immunité naturelle et de la joie de vivre ne sont-ils pas finalement la clé de notre résistance à des agresseurs multiformes dont le COVID et ses variants qui s’attaquent justement à cette immunité naturelle ? C’est une voie qui semble beaucoup plus prometteuse mais beaucoup moins lucrative pour Big Pharma. L’application du principe de prévention à base de maintien du niveau de l’immunité naturelle et la pratique du traitement hospitalier le plus tôt possible sur les symptomatiques apparaissent bien comme les voies les plus efficaces. Les traitements dont l’innocuité est prouvée depuis longtemps et qui s’avèrent efficaces pour diminuer la charge virale sur notre système immunitaire a du sens et du bon sens. Big Pharma nous entraîne dans une voie suicidaire où de nombreux pays l’accompagnent, pays à qui on fait croire que pour sortir de cette épidémie « point de salut hors du vaccin ». Ceci vole de bouche en bouche et de médias en médias dans une sorte d’aveuglement collectif. Achèteriez-vous une voiture dont tous les tests nécessaires et réglementaires n’ont pas été effectués pour raison d’urgence de mise sur le marché ? Sûrement non. Mais pour un vaccin c’est oui ?

De plus en plus la compréhension de l’épidémie

Met en doute tous les moyens de lutte

A l’exception du traitement précoce.

Notre immunité naturelle revient

Au centre du débat sanitaire.

L’autoritarisme sanitaire

Appliqué aveuglément

Doit enfin se taire !

Claude Trouvé

13/03/21

Commentaires

  1. >>On n’a toujours pas trouvé de vaccin pour le SIDA après plus d’une dizaine d’années de recherche<<
    En fait c'est une trentaine d'années de rechersches infructueuses qui sont en cours .

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  2. Analyse trés pertinete et bien documentée / Merci.

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