Faillite occidentale de la gestion de la pandémie de COVID-19

 

Faillite occidentale de la gestion de la pandémie de COVID-19

L’accord secret d’achat de vaccins que la Commission européenne a signé avec Pfizer a été rendu public. Page 48, paragraphe 4 :

Traduit en termes clairs cela signifie :

•          Efficacité inconnue

•          Événements indésirables inconnus

•          Effets à long terme inconnus

J’ai écrit de nombreux articles sur l’inefficacité des masques, du confinement et de la vaccination à partir d’études statistiques personnelles.

Sur l’inefficacité des masques, la physique est en plus incontournable puisque sur le masque chirurgical, le plus efficace, sa maille fait 0,3µ et le coronavirus a une taille de 0,1µ. La maille peut être traversée par 9 coronavirus en même temps. Le masque a en plus l’inconvénient de multiplier par un facteur 20 à 25 le taux de CO2 dans l’air emprisonné, alors que le taux maximal à garantir dans les sous-marins est un facteur de 15. La superposition de deux masques ne diminue que de très peu l’ouverture de la maille mais gêne sensiblement la respiration. Le masque reste intéressant contre la propagation microbienne par le porteur en face de patients aux défenses immunitaires affaiblies, et impératif pour les opérations chirurgicales.

J’ai très tôt dénoncé l’efficacité du confinement généralisé à partir d’études statistiques comparatives entre les pays du monde. Ce confinement généralisé a même tendance à augmenter la propagation du virus dans les logements souvent mal aérés et l’augmentation de la probabilité de contacts de surface. De plus il a un effet destructeur sur l’économie du pays et a coûté à la France des centaines de milliards et la mise en danger des entreprises qui sont en train de faire faillite en ce moment pour une impossibilité de rembourser les prêts. Le confinement généralisé demande des mesures coercitives d’un autoritarisme sans faille qui est devenu insupportable dans certaines villes chinoises. Seul le confinement des gens malades ou testés positifs est raisonnable tout en sachant que la positivité des tests n’est sûre qu’à 65-70%.

Il y a exactement 3 ans l'un de mes articles montrait déjà combien la politique sanitaire était suicidaire pour la France. Dès le 12 janvier 2021, après une étude de l’étude statistique jointe au document de demande de mise en urgence sur le marché du vaccin Pfizer, j’ai dit que cette étude n’avait aucune valeur scientifique et ne prouvait en rien l’efficacité de 95% annoncée par le fabricant. Depuis cette date je n’ai pas cessé de publier des articles dans mon blog « libérerlafrance.blogspot.com » sur l’inefficacité de la vaccination et même sur sa nocivité par des études statistiques comparatives entre les différents pays du monde. J’ai même évalué à plus de 100.000 le surnombre de décès provoqués par la vaccination.

 

La nouvelle mascarade masques-confinement brise l’économie et nos libertés 04/11/20 :

https://34pourlafrance.blogspot.com/2020/11/la-nouvelle-mascarade-masques.html

La nouvelle mascarade masques-confinement brise l’économie et nos libertés 04/11/20

Une politique sanitaire digne de celles du Moyen-Âge et suicidaire 29/12/20 :

https://libererlafrance.blogspot.com/2020/12/une-politique-sanitaire-digne-de-celles.html

Fin du principe de prévention au nom de l’urgence 12/01/21 :

https://libererlafrance.blogspot.com/2023/08/desinformation-climatique-ou.html

COVID : Mensonges, occultations et contre-vérités : 18/02/21

https://libererlafrance.blogspot.com/2023/08/desinformation-climatique-ou.html

La guerre au virus ne fait-elle pas fausse route ? 14/03/21 :

https://libererlafrance.blogspot.com/2021/03/la-guerre-au-virus-ne-fait-elle-pas.html

Des vieux résistent à la vaccination, il va falloir les supprimer 28/05/21 :

https://libererlafrance.blogspot.com/2021/05/des-vieux-resistent-la-vaccination-il.html

Mensonges pour cacher l’arnaque du siècle 19/06/21 :

https://libererlafrance.blogspot.com/2021/06/mensonges-pour-cacher-larnaque-du-siecle.html

Tous Omicros de la propagande vaccinale de la peur au ventre 15/12/21 :

https://libererlafrance.blogspot.com/2021/12/tous-omicros-de-la-propagande-vaccinale.html  

 Un premier bilan le 10/11/22 :

https://libererlafrance.blogspot.com/2022/11/la-politique-sanitaire-contre-la-covid.html

L’arnaque commence depuis à éclater au grand jour

Le vaccin COVID-19 est une affaire financière associée à une politique eugénique mondialiste affichée par Davos qui réunit les fortunes, les grands décideurs et les États occidentaux. Il apparaît de plus que le virus est une manipulation génétique humaine et le vaccin un traitement génétique ayant plus à voir avec une politique mondiale d’asservissement des esprits et d’eugénisme qu’avec une éradication d’un virus dangereux.

 

Un bilan sur 46 mois de pandémie

Il est temps de dresser un bilan de l’épisode pandémique COVID qui dure depuis le 3 janvier 2020. La banque de données mondiales OurWorldinData nous offre la matière pour examiner les données stockées jusqu’au 3 novembre 2023 soit sur 3 ans 10 mois. Mon analyse personnelle va se baser sur des graphiques à partir des données de cette banque, mises en forme pour permettre une réflexion et que je vais vous commenter. Commençons tout d’abord sur un large échantillon de 45 pays du monde pris sur tous les continents et ayant pratiqué des politiques de vaccination très différentes.

 

Il apparaît visuellement que non seulement la vaccination ne permet pas de diminuer le nombre de décès mais que l’évolution est exponentielle avec le taux de vaccination. Le Pérou, représenté ici culmine avec un haut taux de vaccination complète de 84,29% et un pourcentage de décès par million d’habitants de 6512. Il apparaît nettement que les pays africains se démarquent par leur faible pourcentage de décès et pourcentage de vaccination, Tunisie mise à part. A l’inverse l’Europe et les Amériques se distinguent par un fort taux de décès associé à un fort taux de vaccination. D’ailleurs au niveau mondial on a une très forte dispersion des décès/habitants autour d’un même fort taux de vaccination complète au-delà de 50%.

 

On peut néanmoins tracer une évolution moyenne en fonction du taux de vaccination. Cette courbe décrit bien l’évolution exponentielle des décès/habitants en fonction du taux de vaccination complète, comme l’a visuellement montré la figure précédente. A partir d‘un taux de 50% de vaccination, il y a un décollage des décès. Dès le taux de 60% les décès s’accélèrent. Il faut malheureusement admettre que non seulement la vaccination ne diminue pas, mais qu’elle s’accélère exponentiellement dès le taux de 60%. Le passage du taux de vaccination de 70% à 80% multiplie en moyenne par 3,6 la mortalité.

 C’est l’effet inverse de celui désiré. Plus on vaccine, plus on augmente la mortalité !

La même courbe peut être tracée sur les cas de personnes atteintes par le COVID. L’évolution exponentielle avec le taux de vaccination est visible mais elle est sensible dès le taux de 50% de vaccination. L'augmentation du taux de vaccination complète génère une augmentation du nombre de cas d’autant plus fortement que le taux de vaccination est élevé. Sur l’ensemble des pays du monde le passage du taux de vaccination de 70% à 80% multiplie en moyenne par 4 le nombre de cas !

C’est l’effet inverse de celui désiré. Plus on vaccine plus on augmente la contagiosité.

 

Il est intéressant de voir si l’effet de la vaccination agit différemment entre les cas et les décès. Le graphique représentant le rapport des décès par rapport aux cas montre une légère augmentation avec le taux de vaccination et la variation est de 0,036% entre 10% et 80% de taux de vaccination. Le rapport du nombre de cas par rapport au nombre de décès est de 75 au niveau mondial, ceci montre qu’à nombre égal de cas, le nombre de décès augmente en plus de 2,7% entre 10% et 80% de vaccinés complètement.

Plus on vaccine, plus la mortalité augmente plus vite que la contagiosité.

 

Le COVID dans le Monde.

Ces vérités étant dites, il est utile de regarder l’évolution des cas, des décès et de la vaccination sur la période de 46 mois étudiée. Le premier constat, sur les décès lissés/ 10 millions d‘habitants figurés en rouge sur le graphique, est qu’ils passent par un maximum en fin janvier 2021 juste après le début de la vaccination. On note ensuite deux remontées liées à l’apparition de deux nouveaux variants à contagiosité croissante mais moins mortels. La période de décroissance des décès suit l’augmentation de la vaccination complète figurée en bleu. Ce constat semble en parfaite contradiction avec le constat précédent de croissance des décès avec le taux de vaccination. L’interprétation brutale d’un effet bénéfique de la vaccination sur les décès est en fait biaisée. L’écart entre les pays à forte mortalité et fort taux de vaccination (en gros l’Occident Ouest soit l’Europe et les Amériques Nord et Sud) et le reste du monde (en gros Afrique, Océanie et Asie) à faible mortalité et faible taux de vaccination est variable dans le temps. Ils n’évoluent pas à la même vitesse. On constate donc simplement que ces derniers, plus de 4 fois plus peuplés, imposent par leur poids sur le bilan global une descente du nombre de décès depuis le début de la vaccination. Autrement dit sans la vaccination le taux de décès aurait diminué beaucoup plus rapidement, même si les variants se sont successivement avérés moins mortels. Vacciner a bien globalement augmenté la mortalité sur la période d’après vaccination.

Plus on vaccine plus on ralentit la diminution des décès COVID.

 

L’Europe et l’erreur vaccinale

L’Europe fait partie des trois continents, que j’ai qualifié d’Occident ouest (Europe, Amériques du Nord et du Sud), qui ont été les plus touchés par la pandémie. Ses effets nous intéressent donc tout particulièrement. Il est remarquable que les cas en vert et les décès en rouge se suivent dans un rapport constant jusqu’à 64% de vaccinés complètement jusqu’au 22/10/21. Au-delà le taux de vaccination est sans effet sur la contagiosité jusqu’à mi-avril 2023. La diminution du nombre de décès suit la diminution du nombre de cas et de la dangerosité du variant. L’Europe reste un continent à forte mortalité COVID malgré une forte vaccination complète.

L’Europe est un des trois continents témoins de l’inefficacité du vaccin.

 

Des continents aux visions très contrastées sur la gestion de la pandémie

 

Il est temps de regarder plus précisément les bilans des 6 continents du monde et d’y associer notre pays en comparaison. Deux continents ont été de très loin les moins affectés par la pandémie, l’Afrique et l’Asie. Ils se distinguent pourtant entre eux sur le taux de vaccination en bleu avec une Afrique très faiblement vaccinée. On peut ajouter l’Océanie pour la faible mortalité malgré une très forte contagiosité dont il serait intéressant de rechercher la cause dans les mesures sanitaires comportementales. Ces trois continents constituent le reste du monde par rapport aux trois autres continents dits Occident ouest. Dans ces derniers les forts taux de décès et de vaccination complète y sont assez comparables mais pas les cas. L’Amérique du Sud affiche le plus grand nombre de décès et l’Europe le plus grand nombre de cas. D’ailleurs la France, figurée à droite affiche un nombre de cas/million d’habitants très supérieur à la moyenne européenne, ce qui n’est pas un satisfecit pour notre politique sanitaire. Pour l’Amérique du Sud le fort taux de décès relatif associé à un faible taux de cas met en cause le traitement clinique probablement très insuffisant hors la vaccination qui est d’ailleurs la plus élevée des 6 continents, ce qui n’arrange rien.

Les différences de taux de vaccination des continents

N’expliquent pas celles des cas et des décès.

 

Deux mondes qui s’opposent dans la gestion de la pandémie COVID

Il est temps de conclure avec une vision rassemblant les deux visions de la gestion vaccinale de la pandémie, celle de l’Occident ouest de 1,8 milliards d’individus et celle majoritaire du reste du monde de 6,2 milliards d’humains. L’Occident ouest présente un nombre de cas/habitants 4,7 fois supérieur à celui du reste du monde, et 9,1 fois supérieurs pour les décès alors que les taux de vaccination sont très comparables aux alentours de 65% de vaccination complète. Il est clair que le taux de vaccination semble être transparent aux résultats sur la contagiosité et la mortalité, ce qui montre déjà que son utilisation était inutile. Mais nous avons vu que l’étude pays par pays va plus loin en pointant l’augmentation de la mortalité et de la contagiosité. Il n’y a pas de contradiction car il ne s’agit plus ici d’individualiser par pays mais d’additionner les cas, les décès et les vaccinations avec des apports où la population de chaque pays n’est pas porteuse du même poids. Par exemple chaque pays a une voix à l’ONU et le résultat d’un vote serait sensiblement différent si chaque pays avait un nombre de bulletins de vote en rapport avec sa population. La Chine et l’Inde domineraient.

La meilleure gestion de la maladie ne passait pas par la vaccination

mais par les traitements cliniques

 et la gestion comportementale des populations.

 

Bilan pandémique de notre pays face au Monde

 

On peut dresser pour finir le bilan pandémique de notre pays face au monde. Il est malheureusement peu flatteur même s’il y a pire comme au Pérou, au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Italie, en Espagne ou égal avec l’Espagne, mais il y a mieux proche de nous comme en Allemagne, aux Pays-Bas, en Irlande, en Suisse, au Luxembourg, au Maroc et en Algérie. Avec 11 fois plus de cas/habitant et 8,4 fois plus de décès que dans l’ensemble du monde, nous n’avons pas montré une capacité exemplaire de gestion de la pandémie malgré le dévouement indéniable de notre personnel de santé. Mais plus significatif encore, si la France avait suivi la politique de gestion sanitaire du reste du monde (Afrique, Asie, Océanie) nous n’aurions eu que 22.000 décès COVID au lieu de 168.000 le 03/11/23. Elle aurait de plus divisé par 4,7 la contagiosité. Cela aurait soulagé notre système sanitaire, permis l’économie de centaines de milliards, et évité des séquelles de santé dont certaines gravissimes. Ne parlons pas de la faible vaccination en Algérie qui aurait sans doute encore divisé par 2 le bilan des décès COVID.

En dehors de l’erreur vaccinale, il faut retenir comme facteur aggravant la mise à l’écart des médecins généralistes, l’interdiction d’utilisation de médicaments éprouvés, comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, et le confinement généralisé s’ajoutant au port du masque. Ces deux derniers sont des muselières sans efficacité. Le confinement individualisé aux testés positifs, et le confinement généralisé de courte durée et strictement localisé étaient suffisants. La filtration du virus par le masque était illusoire, sa maille même pour les masques chirurgicaux étant très supérieure à la taille du virus. En dehors des personnels de santé et principalement urgentistes et chirurgiens, le masque ne servait qu’à contenir une concentration de miasmes expulsés et de CO2 nuisibles à la santé. Ceci était de plus en plus évident dès que l’on a su que la contamination se faisait essentiellement par contact. Notre mauvaise gestion s’est traduite par plus de décès, plus de gens contaminés et de malades à vie, et des pertes économiques énormes allant de l’achat des vaccins à la paralysie de notre économie par le confinement.

La mise sur le marché en urgence de vaccins n'ayant rien prouvé de leur efficacité et de leur innocuité était une arnaque génocidaire basée sur une présentation de statistiques truquées comme je l’ai dénoncé dès ma lecture de ce document présenté à l’UE fin 2020. L’efficacité du vaccin Pfizer à 95% était un honteux mensonge scientifique. Compte-tenu de ce que ce bilan nous montre, on voit l’atrocité et l’imbécilité de l’expulsion des personnels de santé refusant de se faire vacciner ! On voit aussi combien la corruption a permis à de nombreux experts de la santé, et même à des médecins d’hôpitaux de répandre des propos alarmistes, de promouvoir un confinement et un masquage stricts, ainsi qu’une vaccination obligatoire pour les gens en activité ou en recherche d’emploi.  On a précipité des vieillards vers la mort physique et psychique. On a même masqué et vacciné des enfants aux conséquences graves sur leur psychisme et leur santé ! On découvre une surreprésentation des maladies cardiaques chez de jeunes adultes. Que dire du Conseil de l’Ordre des médecins qui juge encore ceux qui ont été des lanceurs d’alerte pour une autre gestion sanitaire ? Le fiasco humanitaire de la vaccination et plus largement de la gestion sanitaire, que les chiffres démontrent sans ambiguïté, sont toujours mis sous le tapis. C’est une honte qu’il faut dénoncer car la corruption qui tue n’a pas d’excuses.

La vaccination COVID est une arnaque financière

Qui cache de plus des buts d’asservissement

Des peuples, et d’eugénisme.

Claude Trouvé

09/11/23